Thursday, March 01, 2012

LOBITCH KENGO (rwandais) AU SECOURS DE KABILA KANAMBE (rwandais)

2012/3/1 gustave <gustave_lipo@yahoo.com>
 

KENGO LANCE SA CANNE À PÊCHE COMME CANDIDAT INCONTOURNABLE À LA PRIMATURE DE LA MODERNITÉ. KABILA MORDRA-T-IL À L'HAMEÇON ?

 

QUEL HÉRITAGE KENGO A-T-IL LAISSÉ AU PEUPLE CONGOLAIS DEPUIS  ET JUSQU'ALORS ?

La présente analyse, n'implique que la responsabilité de l'auteur lui-même dont je suis.

«Kengo ne peut être un récidiviste ni pour un ticket présidentiel, ni pour la primature. Politiquement parlant, c'est une véritable vipère humaine qui n'embrasse que ses propres intérêts financiers. Il trimbale un gros obus, sur son passé de fidèle allié et lieutenant du maréchal Mobutu, dont il fut Premier ministre à trois reprises (1982-1986 ; 1988-1990 et 1996-1997), Procureur Général de la République, Ambassadeur, membre du Bureau Politique et du Comité Central du MPR. Ainsi, recherche-t-il à s'affermir radicalement la bénédiction des USA et de toute la Communauté internationale, afin que sa candidature manquée à la présidentielle soit soutenue à la primature, pourtant un maniaque déjà vomit par l'opinion congolaise. »

Trois fois au poste de Premier ministre. N'est-il pas suffisant pour céder aussi la place aux autres et surtout à la jeunesse montante car, rien ne prouve sa compétence à ce poste puisque, aucun Congolais ne peut vanter le moindre prix Nobel de son héritage national. L'homme politique qui a fait son temps au rythme du XXème siècle sans succès.

Et j'ajoute l'autre approche dont : Kengo tombe toujours dans les affaires politiques Congolaises comme : «une mèche de cheveux qui tombe dans la soupe.» Qui en voudrait encore avaler cette mèche? S'il est parvenu à le faire avaler à maintes reprises à Mobutu et une fois à Kabila en devenant Président du Sénat, je ne pense pas que Kabila avait bien digéré ce premier coup et j'en suis sûr que Kengo aura à absorber cette fois-ci sa propre mèche car,  Kabila dit : «Assez c'est assez, c'est le moment de la modernité.»

Kengo, champion de décorticage à peigne fin de tous les dires des hauts dignitaires étrangers pour les tailler à sa propre mesure, veut encore cette fois-ci induire Kabila dans l'erreur, en l'enfonçant encore un plus gros clou sous le pied sous le terme du Président Obama (…Gouvernement inclusif…)  Il essaie de faire comprendre vainement à Kabila que c'est lui le maître de l'opposition, c'est lui l'homme de la rigueur pour la modernité donc, le siège de la primature lui convient parfaitement. Mon cher vieux Renard Léon Kengo peine perdue, Kabila a déjà compris vos magouilles.

Kengo s'était fait membre de l'ex AMP, non parce qu'il était convaincu de l'idéologie de Kabila. Selon ses pensées de manipulateur, il avait bien planifié et calculé pour les élections présidentielles de 2011. En gros son projet de société était, occuper le siège de la magistrature suprême à la place de Kabila, par tous les moyens.

KENGO ISOLÉ DE PROJET DE LA MODERNITÉ DE KABILA.

Kabila n'est pas Mobutu. Premier ministre pendant 7 ans (1982-1986= 4 ans; 1988-1990=2 ans; 1996-1997= 1 an; au total : 4+2+1=7). Sans compter les autres postes de haut niveau pendant le règne de Mobutu. Aucun héritage de la part de ce monsieur au peuple Congolais, si ce n'est que de s'enrichir au dépend de ce dernier. En plus, il est parvenu à dribler une fois de plus Kabila en devenant Président du Sénat. À 77 ans, ne pense-t-il toujours pas à la retraite, pour s'occuper de ses progénitures ? pense-t-il être toujours l'homme à la rigueur le plus rusé et comme, il se trouve au milieu des jeunes il se croit toujours plus habile ?

Selon moi, Kengo n'est qu'une vieille grenouille qui veut se faire gros comme un éléphant et à la fin il va éclater sans qu'on lui perce même une simple aiguille.

Kabila n'est pas aussi bête qu'il le croit. Kengo n'a aucune position fixe. Après la chute de Mobutu, qu'était-il devenu ?

À l'arrivée de M'zee Kabila en 1997, Kengo disparu de la circulation en RDC, à destination de la Belgique. Il réapparut en 2006 derrière et au côté de Jean-Pierre Bemba dans sa campagne présidentielle en 2006 pour combattre avec acharnement Kabila. Et remarquez bien chers lecteurs : « Battre campagne au côté de Bemba, en ne  s'adhérant jamais au mouvement politique de Bemba. N'est-il pas louche ?»

À vous,  les membres de la MP et de la PPRD d'en juger, et d'en discuter avec le RAÏS. »  

En janvier 2007, Kengo fut élu au Sénat à partir de l'Équateur. Il posa ensuite sa candidature pour la présidence du sénat en tant qu'indépendant et remporta une victoire surprenante contre Léonard She Okitundu, le candidat de l'Alliance de la Majorité Présidentielle ou AMP.

Reconnu comme Sénateur sous la bannière de Bemba et de son parti (sans pourtant avoir adhérer dans MLC). Quant à la candidature à la Présidence du Sénat, il devient INDÉPENDANT. Ceci ça s'appelle de l'ingratitude. Et jusqu'ici, on dirait que tout le monde est envoûté par ses manœuvres aussi mesquines. Après son élection comme Président du Sénat, le voici adhérer au clan d'AMP. Est-ce-que, vous les membres de MP et du PPRD comprenez ou pas ?

D'un autre côté, comme tous les Kabilistes ne jurent maintenant que par modernité, si on considère le quota sur l'équilibre régional, national…, on ne peut pas toujours confier ce poste à Kengo pour la quatrième fois lui, qui est issu de l'Équateur. Dans le clan de MP; il n'existe pas vraiment un autre candidat compétent et valable d'une autre province pour ce poste ? Cette fois-ci par exemple un ressortissant de la Province Orientale ? C'est juste un constat de la modernité !

Il est clair que : La majorité des Congolais et Congolaises, membre ou pas de clan Kabila, ne veut pas de Kengo comme Premier Ministre. Je dis plus haut ce que les autres confrères et consœurs le disent tout bas. Je suis nationaliste et pour la meilleure démocratie il faut être transparent. Cet avis n'influence à rien la décision de la Majorité Présidentielle, du PPRD et même pas du Président Kabila, s'ils veulent bien de Kengo comme Premier ministre. D'ailleurs on n'ira pas aux urnes pour voter un premier ministre.

En 2011, à la veuille des élections, il se crée un parti et se camouffle dans le camp de l'opposition. Ayant été découvert par les opposants que c'est une puce dangereuse, il n'a plus de choix que se présenter seul comme candidat à la présidentielle sans les alliés de Fatima contre Kabila. Après échec, il est le premier à clamer l'annulation des élections et aujourd'hui il revient à la charge. Quelle audace ?

Gustave Botela Lipo.

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