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mercredi 28 octobre 2009 |
Le droit de la Presse du Congo menacé : L'éditeur Marcel Ngoy convoqué au Tribunal |
Le confrère Marcel Ngoy, éditeur du quotidien La Prospérité, paraissant à Kinshasa, est convoqué le 2 novembre 2009 au Tribunal de paix dans la commune de Ngaliema. Selon un communiqué du Journalistes pour la promotion et la défense des droits de l'homme (JPDH), on lui reproche d'avoir publié dans l'édition N°1743, du mercredi 21 octobre 2009, un article intitulé « Ogefrem : Emile Ngoy et Roger Andende libérés ». Dans le corps du texte l'incriminé repris dans une citation directe « Aux dernières nouvelles, l'auteur de la cabale serait identifié. A en croire nos sources, celui-ci n'est autre que le Président du conseil d'administration de l'Ogefrem, en la personne de M. Roger Bumba Monga Ngoy qui passait son temps à distraire l'opinion, voire les instances judiciaires par les bulletins d'information, (BI), dont lui seul détenait le secret ». L'éditeur Ngoy a déclaré à cette Organisation non gouvernementale de protection des droits de la personne qu'il est, en outre, poursuivi pour avoir publié « l'acte de notification d'un arrêt » dans l'affaire opposant M. Mbumba à M. Mokako dans la même parution. Tout en reconnaissant à M. Mbumba son droit le plus légitime de s'adresser aux tribunaux de droit commun, JPDH invite la partie lésée à envoyer au journal jugé « fautif », conformément à la loi sur la presse de la Rdc, un droit de réponse en vue d'éclairer la lanterne de l'opinion sur les allégations contenues dans l'article mis en cause ou réorienter la plainte auprès de la commission de discipline et d'Éthique professionnelle de l'Union nationale de la presse du Congo, qui est au tribunal de tous les journalistes exerçants sur le territoire de la République démocratique du Congo. Onassis Mutombo |
ALERTE: Un Kabiliste attaque la presse et demande 100.000 dollars !!! (cent mille dollars)
UN KABILISTE MENTEUR ET ... CUPIDE !!!
Monsieur Bumba Monga veut frauduleusement et facilement obtenir 100.000 dollars !!!
Que vaut la reputation d'un collabo kabiliste: Cent mille dollars a Kinshasa ???
Marcel Ngoyi, éditeur du journal la prospérité de Kinshasa a envoyé le message ci-dessous afin de le soutenir dans le conflit qui l'oppose à un gestionnaire d'une entreprise publique congolaise. Ci-dessous, à l'intention de nos aimables lecteurs, son message. La presse en RD Congo étant un parent pauvre, son affaiblissement ne profite pas à la population.
Si monsieur Bumba Monga souhaite diffuser un droit de réponse, celui-ci sera diffusé. Le plus important est que le congolais accède à toute l'information, sans censure.
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Chers amis,Un Président du Conseil d'Administration de l'Ogefrem cité par La Prospérité, pour avoir été condamné par la Cour Suprême de Justice, en date du 7 octobre dernier, a décidé de saisir le Tribunal de Paix de Ngaliema, dans une citation directe contre Ngoyi Marcel, l'Editeur. Alors que l'arrêt rendu le rend coupable de faux et usage de faux, de dénonciation calomnieuse ainsi que d'autres faits répréhensibles. L'homme devait payer à Docteur Jacques Mokako, un Député élu de Bumba, à l'Equateur, en RDC, une somme de 10.000 USD. Il devait, en plus, subir une peine de trois mois assortie d'un sursis de douze mois. Les frais de procédure, y compris. L'homme estime que le fait, pour La Prospérité, de commenter sommairement cet article, est une imputation dommageable pour laquelle il veut gagner 100.000 USD de dommages et intérêts. Veuillez trouver, ci-après, la réaction du journal. Il n'y a qu'une chaîne de solidarité qui peut barrer la route à cette infamie. __ Marcel Ngoyi
http://www.laprosperiteonline.net/show.php?id=2853&rubrique=La%20Une
Condamné par la Cour Suprême de Justice
Bumba Monga cherche 100.000 USD sur le dos de La Prospérité !
* C'est tout un feuilleton qui s'ouvre pour le Journal La Prospérité. M. Bumba Monga Ngoy, Président du Conseil d'Administration de l'Ogefrem et Professeur d'Université de son état, résidant au bloc G14, Plateau de l'Université de Kinshasa, dans la commune de Lemba, a assigné en justice, par citation directe, l'Editeur- Directeur Général du Journal La Prospérité, M. Marcel Ngoyi Ngoyi Kyengi. Par une requête en abréviation de délai adressée au Président du Tribunal de paix de Kinshasa Ngaliema, il sollicite la comparution de l'Editeur Marcel Ngoyi à l'audience publique du 2 novembre 2009 siégeant en matières répressives, au 1er degré. Dans ses allégations, le Conseil de M. Bumba Monga soutient que les écrits publiés par La Prospérité à son sujet dans l'édition n°1743 du mercredi 21 octobre 2009, à la page 12, sont faux et de nature à entamer sa crédibilité. Pour toutes ces raisons, il réclame que lui soit payé l'équivalent en Franc Congolais de 100.000 dollars américains pour le préjudice qu'il aurait subi. Usant d'un raccourci, l'homme a vite oublié que les faits sont par nature têtus. Que La Prospérité, qui dispose de plusieurs sources fiables tant au niveau local, national qu'international, s'est basée sur des faits réels, concrets et appuyés par des documents attestant que M. Bumba a bel et bien été condamné pour faux et usage de faux par la Cour Suprême de Justice, dans son arrêt du 7 octobre 2009 dont il a reçu la notification, le 16 octobre dernier. Il ne s'agit donc pas d'une vue d'esprit, ni d'une simple invention. Les fins limiers du Journal La Prospérité ont tout simplement montré leur dextérité pour informer l'opinion. Ce dont on ne peut les reprocher. La Prospérité a d'ores et déjà saisi ses Avocats, par une Procuration spéciale, à cette fin. M. Bumba s'est peut-être trompé d'adresse.
C'est décidément un homme aux abois qui voudrait induire tout le monde en erreur et même les Cours et Tribunaux de la République Démocratique du Congo. Malheur à lui parce qu'il ne sera suivi ni par l'opinion, encore moins par le Tribunal de Paix de Ngaliema où il est allé porter son affaire, par citation directe, contre l'Editeur-Directeur Général du Journal La Prospérité, M. Marcel Ngoyi Ngoyi Kyengi. Lui, c'est M. Bumba Monga Ngoy Roger, Président du Conseil d'Administration de l'Ogefrem et Professeur d'Université de son état, résidant au bloc G14, Plateau de l'Université de Kinshasa, dans la commune de Lemba. Et, dans sa requête en abréviation de délai, du 26 octobre 2009, adressée au Président du Tribunal de paix pour citer M. Marcel Ngoyi, il allègue, par le biais de son Conseil, que les écrits publiés par La Prospérité en date du 21 octobre 2009 lui auraient causé un préjudice énorme en ce qu'ils ont gravement altéré ses relations professionnelles et terni son image de marque comme Président du Conseil d'Administration de l'Ogefrem. En conséquence, il demande au Tribunal de céans de dire établie en fait comme en droit, l'infraction d'imputation dommageable telle que prévue et punie par l'article 74 du CPL II et que, par ailleurs, lui soit alloué la somme de l'équivalent en Franc Congolais de 100.000 dollars américains pour le préjudice qu'il aurait subi.
Démarche irrationnelle
« C'est à la sueur de ton front que tu gagneras ton pain », dit la sagesse. Pourquoi M. Bumba Monga n'a-t-il pas voulu faire sienne cette sagesse que de chercher un gain facile sur le dos du Journal La Prospérité alors que le travail accompli par ses fins limiers dans la collecte, le traitement et la publication ou la diffusion de l'information n'a fait qu'aider l'opinion tant nationale qu'internationale à connaître les agissements peu corrects de certains responsables du pays ? En effet, il n'est un secret pour personne que lorsqu'un citoyen se sent lésé par les écrits d'un Journal, il a le loisir d'adresser un droit de réponse en bonne et due forme. Celui-ci devant être publié dans les mêmes formes que le texte publié qui l'a provoqué. C'est la procédure requise en la matière et que M. Bumba n'a pas voulu respecter. Par contre, il a fait un raccourci pour se faire de l'argent. Erreur !
Un arrêt pèse sur la tête de Bumba
L'homme s'est trompé d'adresse. Le sérieux de La Prospérité est connu. Dans cette affaire, les Avocats sont, depuis hier, dans la soirée, mobilisés. La vérité éclatera au grand jour, lors du procès. Le moment venu, il aura à faire à la dextérité des fins limiers de La Prospérité qui n'ont fait que rapporter des faits réels, concrets et appuyés par des documents attestant que M. Bumba a bel et bien été condamné pour faux et usage de faux par la Cour Suprême de Justice, dans son arrêt du 7 octobre 2009. Il ne s'agit donc pas d'une simple vue d'esprit, ni d'une invention, ni encore moins d'une machination. D'ailleurs, dans le dossier Emile Ngoy et Roger Andende, l'homme a été très actif au point même de déclarer, lors de son audition au Tribunal de Grande Instance de la Gombe, qu'il n'avait jamais été condamné. A ce niveau, La Prospérité promet d'y revenir avec force détails, pour que personne n'en ignore. Ça ne fait que commencer.
La Pros.
Près d'un demi-siècle après son indépendance, le Congo (République Démocratique) est à la croisée des chemins de son histoire. La question de sa survie dans sa forme actuelle et du statut de ses ressources naturelles est de plus en plus évoquée dans plusieurs cercles internationaux et aussi par des dirigeants de certaines puissances occidentales. Comme si le Congo était à refonder. Ce livre vient à point pour comprendre l'actualité et se projeter dans l'avenir. En faisant un aperçu de l'histoire, il décrit les véritables enjeux et les péripéties des événements importants qui ont marqué l'histoire passée et récente du Congo. Il apporte des nouveaux éléments de discussion pour leur compréhension, comme le tout premier témoignage public de Jonas Mukamba sur l'assassinat de Patrice Lumumba. Un drame qui continue de tourmenter les esprits, et semble n'avoir pas encore livré tous ses secrets. -4è- | |||||||||
La maîtrise des ressources naturelles va constituer le coeur des futurs conflits planétaires, car elle conditionnera de plus en plus la croissance indispensable des nations habituées à subvenir facilement à leurs besoins grâce à des ressources que l'on croyait abondantes et donc pérennes. Mais, il n'en sera plus ainsi demain. Tout d'abord aux besoins industriels et démographiques des vieilles puissances vont s'ajouter ceux des nouveaux géants planétaires (BRIC : Brésil, Russie, Inde, Chine) dont les ambitions apparaissent énormes, au moment même où l'offre mondiale de ces ressources va connaître inexorablement un pic et leur disponibilité décroître. De cette nouvelle configuration surgiront des tensions. L'Afrique, par la diversité de ses ressources, est appelée à devenir le prochain champ de bataille du monde. Quant à la Chine, ses besoins insatiables engendreront une rivalité planétaire, obligeant ce pays à sécuriser ses approvisionnements et les routes empruntées. -4è- Jean-Pierre Estival est Docteur d'Etat ès sciences économiques, diplômé IEP et ESCAE, et il s'est spécialisé à l'université de Cergy Pontoise dans le domaine de la guerre économique, après une longue carrière dans le domaine géostratégique des transports internationaux où il a été amené à intervenir à des niveaux élevés dans le cadre de missions institutionnelles sous l'égide d'organismes internationaux dans une quinzaine de pays. |
La problématique de criminalisation de l'économie et le pillage des ressources naturelles en RDC que l'auteur analyse dans ce livre sous l'angle des conséquences juridiques tant au niveau national qu'international, a pour but de sensibiliser l'opinion nationale, internationale, les organismes internationaux et les institutions judiciaires sur ce que l'ONU a présenté comme la cause principale des poursuites des deux guerres qui ont causé plus de 4 millions de morts en RDC. Ce livre est l'aboutissement de recherches effectuées et soutenues par l'auteur dans le cadre d'un Diplôme d'études approfondies de droit (Master 2) à l'Université de Paris La Sorbonne en 2003. L'auteur met en lumière les vrais enjeux des guerres en RDC, les filières d'exploitation nationales et internationales, les raisons des contradictions des procédures et décisions des institutions judiciaires internationales, la complaisance de l'ONU, l'inaction de la justice congolaise, la dangerosité des trafics de tout genre (armes, uranium, coltan, blanchiment d'argent, financement de terrorisme,....), l'implication des hautes autorités du pays et le rôle néfaste des multinationales occidentales dans la guerre et le pillage. Tout au long des analyses profondes, documentées et très argumentées, l'auteur livre au lecteur des révélations sur la complicité des autorités congolaises dans le blocage de résolution de la question du pillage des ressources naturelles devant l'ONU, la Cour Internationale de Justice et la Cour Pénale Internationale. Parmi ces révélations, l'auteur explique comment les autorités congolaises, qui savaient que le Rwanda n'a pas reconnu la compétence d'office de la Cour Internationale de Justice en matière contentieuse, ont omis d'évoquer les dispositions internationales appropriées pour contraindre la Cour à statuer convenablement sur le dossier congolais comme ses statuts l'autorisent. - 4e de couverture - Né en 1974, Jean-Paul Mopo est titulaire d'une licence en Droit économique et social et d'un DEA en études internationales et africaines (option Droit) de l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne où il est actuellement Doctorant en Droit. Il est l'auteur de plusieurs travaux et articles sur les Grands Lacs et les diasporas africaines en France. Militant associatif, d'abord en Afrique dans les ONG de défense des droits humains puis en France à la Cimade il est Visiteur des zones d'attente des étrangers en instance dans les frontières françaises pour le compte de la même association et correspondant de l'agence de presse internationale Syfia International. |
Messieurs,Est-ce vrai que le ministre des affaires etrangeres a signe une decision invalidant les anciens passeports congolais qu'il avait pourtant salutairement << ressuscites>> en reponse positive aux preoccupations des citoyens congolais ?
Est-ce une rumeur ?Salutations patriotiques.Guy-Gerard PandajikaCongonet Radio
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Rebelle est un de ces termes qu'on a pris l'habitude de ne voir collé que sur le front de tous ces assoiffés de pouvoir, petits et grands, dans la brousse africaine, fusil en bandoulière. L'entendre désigner un politicien européen n'est pas courant.
Pourtant, dans la crise qui secoue actuellement le parti belge MR, le journal de la télévision privée RTL-TVI vient de traiter notre ami Louis Michel de rebelle !
Lisez :
Reynders a affronté ses "rebelles"
La légitimité de Didier Reynders à la tête du MR est mise à mal. Le président a débuté les discussions "sans tabou" avec les membres du parti. Il a commencé avec les "rebelles" jeudi soir. Sans grandes conclusions de part et d'autres, même si la discussion fut "franche et ouverte".
Louis Michel a-t-il été contaminé par ses fréquentations de la région des Grands-Lacs africains? Après tout là bas, la plupart des dirigeants actuels sont des anciens rebelles.
Didier Reinders est donc averti.
Cheik FITA
Bruxelles, le 25 octobre 2009
SOURCES ET LIENS :
http://www.rtlinfo.be/info/belgique/politique/280800/reynders-a-affronte-ses--rebelles-
http://www.rtlinfo.be/info/belgique/politique/280800/reynders-a-affronte-ses--rebelles-#videoPlayer