Thursday, September 10, 2009

ALERTE: Menaces de mort contre trois femmes journalistes



CA RECOMMENCE !!!

Rappellons le meurtre du journaliste Koko


Menaces de mort adréessées à trois journalistes féminines des Radios Okapi et Maendeleo



Jeudi 10 Septembre 2009 12 h 44


Bonjour à tous et à toutes,


Des menaces de mort ont été proférées de manière répétée, ces derniers jours contre 3 jounalistes femmes. Ce texto reçu d'un numéro de téléphone portable (0813753026) INJOIGNABLE POUR LE MOMENT est ainsi libellé [ en Swahili]:


Je traduis: "Vous avez pris les mauvaises habitudes de vous immiscer dans ce qui ne vous regarde pas pour montrer que vous êtes intouchables, maintenant certains d'entre vous vont mourir pour que vous la boucliez. Nous venons d'avoir l'autorisation de commencer par Kadi; puis Kamuntu puis Namuto: une balle dans la tête".


Kadi Adzuba est journaliste à Radio Okapi, Bukavu 0997717015


Jolly Kamuntu est journaliste à Radio Maendeleo à Bukavu 0997799263


Delphine Namuto est journaliste à Radio Okapi à Bukavu 0997704393


Nous prenons ces menaces au sérieux.


Kizito MUSHIZI


Directeur de Radio Maendeleo, Coordinateur du Réseau des radios et télévisions communautaires à l'est du Congo (RATECO), Président sectionnaire du l'Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC), Conseiller à l'Organisation des Médias d'Afrique Centrale (OMAC), CONTACT: +243 (0)815196863 +243 (0)997708810 +243 (0)853717885




Pour rappel...Parce que la mémoire est une faculté qui oublie!



Bukavu : meurtre du journaliste Koko, une marche des étudiants pour dénoncer le regain de l'insécurité



Le journaliste Bruno Koko de Radio Star assassiné le week-end dernier dans la ville de Bukavu était en même temps un étudiant. Ses camarades réunis au sein d'une plate-forme dénommée Collège provincial des étudiants du Sud-Kivu, ont organisé mercredi une marche pacifique pour dénoncer le regain de l'insécurité observé dans cette ville, rapporte Radio Okapi


Bruno Koko , le journaliste de Radio Star assassiné à Bukavu

Ils étaient un millier d'étudiants à avoir pris d'assaut la grande artère de Bukavu. Sur les bandéroles et les calicots, on pouvait lire des phrases telles que "Nous en avons assez avec l'insécurité dans la ville de Bukavu", " Nous voulons la justice pour les victimes assassinées", "Nous demandons à la police de faire son travail", "Nous ne voulons plus de morts", "Nous sommes fatigués de pleurer nos frères et amis".

Les manifestants ont ensuite déposé leur mémo au gouvernorat de province et à l'assemblée provinciale. Dans ce mémo, ils dénoncent le meurtre des sept de leurs collègues au courant de cette année et des cas de viols perpétrés par des hommes armés dans les homes des étudiantes, ainsi que les actes d'intimidation et vols organisés à l'aide d'armes à feu dans de différentes familles à travers la ville. Le vice-gouveneur Kibal Nkol, qui a reçu ces étudiants, a rassuré que des dispositions sont prises au niveau du gouvernement provincial pour combattre l'insécurité dans la ville de Bukavu.

Selon le porte parole honoraire du Collège provincial des étudiants, il s'agit d'un acte de solidarité envers le collègue Koko Chirambiza tué, mais aussi envers tous les étudiants assassinés au cours de cette année.

Pour rappel, Bruno Koko, 24 ans, journaliste présentateur du journal en Swahili à la Radio Star, une radio locale émettant de Bukavu, a été poignardé dans la nuit de samedi à dimanche au quartier Kasali dans la commune de Kadutu alors qu'il rentrait chez lui. Selon le témoignage d'un de ses amis avec qui il était samedi soir, ils ont été attaqués par 8 personnes bien armées.Son ami a reçu juste un coup de poing, mais Bruno a été poursuivi jusqu'à être poignardé. c'est le troisième journaliste a être assassiné au chef lieu de la province du Sud Kivu, après Didace Namujimbo en novembre 2008, et Serge Maheshe en juin 2007, tous deux de Radio Okapi.

Copyright Radio Okapi

Norvege: Ils ont tue un Congolais


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ILS ON TUE UN CONGOLAIS



Correspondance de Norvege: Il y a une pétition qui circule au sujet de deux Novergiens qui sont entrés frauduleusement au Congo et ils ont tués un chauffeur citoyen congolais. Ils ont été jugés et condamnés á mort mais la couverture de la presse norvegienne fut impartiale et negative en parlant negativement du Congo au lieu de mettre l'accent sur le meurtre du chauffeur. D'après le ministre norvegien des affaires étrangères, Tambwe Muamba et Kabila ont promis de relacher ces deux meurtriers. Le problème n'est pas qu'ils soient condamnés a etre exécutés mais il existe des lois opposables a tous et surtout cela ne doit pas être une occasion de ridiculiser un peuple. Pouvez-vous la faire circuler á travers vos reseaux. Les initiateurs de la pétition sont des jeunes congolais qu'il faut soutenir. Voici le lien

http://www.petition.fm/petitions/breakthesilence/1000/


Merci pour ton soutien et ta signature


TEXTE DE LA PETITION

Abedi kasongo était un père, un mari qui avait du mal à trouver un travail correcte pour nourrir sa famille. Abedi était un oncle, Abedi était un frère.
Ne pensant qu'à une chose: sa famille, ses enfants, sa patrie. Rien ne pouvait l'arrêter! Rien, oui, jusqu'à ce jour où Abedi a été froidement assassiné par son employeur! Il venait de trouver du travail. Il pensait pouvoir alors vivre heureux! Il pensait que ses employeurs étaient des honnêtes gens! Il s'est aperçu de leur malhonnêteté!


Ce sont des mercenaires pour qui prendre la vie d'un homme noir, de ces cousins africains, de frères congolais n'avait aucune signification! Abedi a été tué parce qu'il a découvert le complot. Abedi était un patriote, qui est mort pour avoir osé dire aux blancs que ce qu'ils faisaient était mauvais! Ils l'ont tué! Des mercenaires venus du Nord, venus du froid, ont abattu un homme au sang chaud!


Nous ne voulons pas que ces personnes soient punies par notre haine mais par les lois qui définissent que chaque humain ne peut en aucun cas être tué parce qu'il est noir, parce qu'il a osé dire à un blanc les quarte vérités, et de cela dans son propre pays!

Nous voulons que ces agresseurs soient jugés par les lois de notre pays qui est souverain et régit par une constitution! Nous voulons que ces hommes soient jugés par les hommes obéissant à la volonté de Dieu!
Nous appelons tous ceux qui sont congolais, africains, noirs et tous ceux à travers le monde qui se sentent concernés, de signer cette pétition au nom de de la Justice, car nous voulons rester non violent ; nous ne sommes pas des barbares!

Abedi Kasongo était une personne aussi ordinaire que toi!

Faite une difference! Signez la petition!

BRISEZ LE SILENCE!





BRISEZ LE SILENCE!

Un camerounais president de la RDC en 2001 ? Il parle TRES BIEN en lieu et place des congolais.

 
Le Journaliste camerounais Charles Onana est un Exemple pour les Congolais  


Le jounaliste-essayiste congolais Charles Onana. Photo d'archives

"Un camerounais parle en lieu et place des congolais. Le jour qu'il posera sa candidature à la présidence du Congo; qui osera lui interdire? Le pays est déjà dirigé par pas mal d'étrangers ; question qu'il demande la nationalité congolaise.
Il met sa vie en danger en disant tout haut ce que des intellectuels corrompus du Congo n'osent pas».

Telle est la réaction d'un compatriote au vu des actions spectaculaires que Charles Onana ne cesse de mener sur terrain en faveur de la RDC, notre chère patrie.

Mgr Desmond Tutu, Prix Nobel de la Paix a déclaré a propos du Congo : «Il faut être fou pour ne pas s'inquiéter de ce qui se passe au Congo».

D'aucuns n'ignorent que, depuis plus d'une décennie, RDC a cesse d'être un Etat au sens strict du terme, pour emprunter les termes de Koffi Annan.

La souveraineté de la RDC et son intégrité territoriale sont complètement bafouées, ses ressources font l'objet d'un pillage systématique, et sa population se trouve a la merci des hommes sans foi ni loi.

Le Congo est devenu le théâtre des combats les plus meurtriers, des viols aux dimensions épouvantes, des crimes et souffrances d'une ampleur on ne peut plus indescriptible.

Tous les experts s'accordent pour affirmer que la catastrophe humanitaire en RDC est la plus grave que l'humanité n'ait connue jamais connue depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Mais, ce qui est étonnant et très révoltant dans cette histoire c'est l'attitude des dirigeants congolais face aux multiples défis auxquels le Congo, leur pays, se trouve confronte.

Le Congo est entrain de traverser une page tragique de son histoire. La maison
«Congo» brule, les fondations de la nation sont bousculées, la survie du peuple se trouve menacée, mais fort est de constater que les dirigeants ne font preuve d'aucun sens du danger.

Ceci nous rappelle l'histoire du bateau Titanic. Alors que le danger était bien perceptible, le bateau Titanic commençait à prendre de l'eau, mais fort est de constater qu'il y avait encore un groupe d'individus qui continuaient à jouer de la musique et à danser comme si de rien n'était.

Le Rwanda et l'Ouganda ont causé à la nation congolaise des préjudices incommensurables. Au mépris des lois internationales qui régissent les rapports entre Etats, le Congo s'est vu, à maintes reprises, agresse par des troupes rwandaises et ougandaises.

Les congolais ont subi des traitements infrahumains sur leur propre territoire : tortures, exactions de toutes sortes, massacres, mutilations, viols et que sais-je encore. Plus de six millions des citoyens congolais ont perdu leur vie des suites de cette guerre d'agression et de ses séquelles.

Il est malheureux de constater que des crimes de guerre et crimes contre l'humanité ont, bel et bien, été commis en RDC par les troupes rwandaises et ougandaises. Ce sont des faits historiques et vérifiables.

Mais fort est de constater que les congolais ont été tues sur leur propre territoire sans la moindre réaction de ceux-là mêmes qui passent pour de garants de la nation et du bien-être du peuple congolais.

Et qui pis est, jusqu'ici, ils sont légion ces soi-disant leaders congolais qui n'ont jamais pris leur courage en mains pour condamner l'agression du Congo par le Rwanda et l'Ouganda et exiger que justice soit faite.

Pis encore, depuis le déclenchement de cette crise en RDC, nous avons vu le chef de l'Etat du Congo, les députés, sénateurs, ministres, et conseillers à la présidence de la république faire, au frais de l'Etat congolais, le tour du monde pour leurs intérêts mesquins et personnels.

Mais, par contre, nous n'avons vu aucun officiel congolais sillonner le monde pour désamorcer la propagande mensongère des dirigeants Tutsis rwandais qui ont fait le tour du monde pour expliquer a la communauté internationale que la guerre au Congo comme était une guerre préventive qui avait pour objectif démanteler et mettre hors d'état de nuire les milices hutus rwandais qui se préparaient a déstabiliser le gouvernement rwandais et perpétrer un second génocide a partir du territoire congolais.

L'on se rappelle que lors du contentieux belgo-zaïrois, Mobutu (le Congo) avait à l'époque dépêché en Belgique les meilleurs de ses fils pour défendre les intérêts de la patrie. Mais, sous Joseph Kabila, alors que le pays est sans ambages en danger, il n'y a aucune action de grande envergure pour dénoncer des injustices flagrantes dont souffre la RDC.

Les quelques délégués de Joseph Kabila qui vont représenter le Congo a l'étranger ont pour mission de dédouaner pratiquement nos agresseurs.

Mbusa Nyamuisi avait comme mission de dire à la communauté internationale que la guerre au Congo était une guerre ethnique. N'a-t-on pas entendu She Okitundu clamer haut et fort que le Congo souffre à cause de l'incapacité des congolais à accepter les frères Tutsis comme citoyens congolais. Aujourd'hui, Alexis Thambwe Mwamba a comme mission d'aller à annoncer à la communauté internationale que le Rwanda ne représente plus un danger pour la RDC.

Tous les hommes avertis, informes et avises savent qu'a l'époque, la RDC avait introduit une plainte contre le Rwanda et l'Ouganda pour avoir agresse le Congo, pille ses ressources et commis des atrocités sur le territoire congolais.

Mais, quelle n'était pas notre surprise d'apprendre plus tard que la RDC avait déjà retiré sa plainte contre le Rwanda. Qui a ordonné cela et pour quelles raisons ?

Quant a l'Ouganda, il avait été somme de verser des dommages et intérêts qui se chiffraient en termes des milliards de dollar américain pour les préjudices qu'il a cause a la république démocratique du Congo.

A ce que je sache, l'Ouganda n'a jamais versé, jusqu'à preuve du contraire, un seul rond à la RDC et ce dossier semble avoir été classe sans suite. Et qui pis est, l'on n'a plus jamais entendu parler de ce dossier ni du côté du Parlement et moins encore du cote du Sénat. Personne n'a fait le suivi de ce dossier. Personne ne se préoccupe des droits de congolais.

Et, pourtant, le Congo a un président de la République, un gouvernement, un parlement et un Senat. Et, il semble que tous ont été portes au pouvoir pour représenter la nation congolaise et pour défendre pour les intérêts supérieurs de la nation.

Ce qui se passe en RDC est une honte sans nom. Le Congo constitue l'exemple le plus éloquent d'un problème réel qui risque bien de compromettre très sérieusement l'avenir et le développement de l'Afrique si l'on n'y prend point garde. L'inconscience et l'irresponsabilité de la classe dirigeante africaine est une menace sérieuse a la survie de l'espèce humaine en Afrique.

L'Afrique est assassinée, pillée, polluée, et violée avec la complicité de ceux-là qui devaient la protéger. C'est révoltant !

De nos jours, les plus grands et redoutables ennemis de l'Afrique se révèlent être ses propres dirigeants ; des dirigeants corrompus, malléables, irresponsables, égoïstes et ennemis du bien public. Pour l'argent et leurs intérêts mesquins et personnels, ils sont prêts à accepter n'importe quelle compromission.

Interpellé par le sort des congolais que les dirigeants ont sacrifié à l'autel des intérêts égoïstes et mesquins, un frère africain d'origine camerounaise s'est levé pour dénoncer cette sale canaille qui est entrain de mettre à genoux un géant de l'Afrique avec la complicité des africains véreux.

Charles Onana est ce journaliste africain d'origine camerounaise qui a pris très à cœur la situation qui prévaut actuellement en RDC et en a fait son cheval de bataille.

Charles Onana a passé son temps à faire des investigations sur la crise qui sévit en RDC et est arrivé à la conclusion que la guerre au Congo est la partie visible d'un vaste complot contre la RDC. A la suite et à l'exemple de Cassement et Edmund Dene Morel, Charles Onana, preuves à l'appui, a lancé une vaste campagne de sensibilisation en faveur de RDC.

Que des conférences n'a-t-il pas donné à ce propos, que d'interviews n'a-t-il pas accordé, que des livres n'a-t-il pas publié pour la cause du Congo ? Seul et avec ses petits moyens, Charles Onana se bat pour que la voix des congolais se fasse entendre.

Charles Onana a bravé la peur en osant dire tout haut ce que bien des dirigeants congolais disent tout bas et tout simplement essaient de taire. Charles Onana a pris le risque de porter à l'attention du grand public des dossiers trop compromettants ; des dossiers qui mettent en cause l'implication des pays comme les Etats-Unis, la Grande Bretagne pour ne citer que celle des multinationales dans la crise qui sévit en RDC.

Pour avoir pris le courage de dire tout haut des vérités qui déragent, Charles Onana a été traduit en justice par le président Paul Kagame, mais étant donné que la vérité est très têtue, le procès s'est soldé en faveur de Charles Onana.

C'est bien ce genre de dévouement et sacrifice, ce degré de patriotisme et de nationalisme que l'on attendait du chef de l'Etat, des députés, et sénateurs congolais qui ont juré de défendre la nation et sa souveraineté.

Charles Onana a fait preuve de beaucoup plus de patriotisme que tous ceux qui prétendent représenter les congolais ; ceux-là mêmes qui sont payes et même trop bien payes pour défendre les intérêts de congolais.

Compte tenu de ce qui précède, l'on est en droit de se poser la question de savoir qui d'eux (Chef de l'Etat, députés et sénateurs) et Charles Onana mérite bien d'être citoyen congolais ? Et, Qui d'eux et Charles Onana peut valablement représenter la RDC ?

Il ne fait l'ombre d'aucun doute que Charles Onana est plus digne d'être Congolais que la plupart des dirigeants congolais.

Il est important de savoir que le fait d'être détenteur d'un passeport congolais ne fait pas de nous de bons citoyens congolais.

Car, tous ceux qui trahissent aujourd'hui le Congo sont porteurs d'un passeport congolais et bien plus ils circulent avec un passeport diplomatique livre la RDC qui leur confère certains privilèges que tous les congolais n'ont pas. Mais, ils sont ennemis du Congo et sont entrain de scier la branche sur laquelle ils sont assis.

Les vrais congolais ? C'est par les actions que vous les reconnaitrez.

Mukelenge Kasiala
© Congoindépendant 2003-2009

Délivrance du passeport biométrique

Délivrance du passeport biométrique :

Le ministre Thambwe désavoué?  


Le Premier ministre congolais Adolphe Muzito. Photo d'archives.

Le Premier ministre Adolphe Muzito a décidé, en lieu et place du chef du département des Affaires étrangères, de simplifier la procédure de délivrance du passeport biométrique. Le certificat de nationalité et l'extrait de casier judiciaire ne seront plus exigés aux usagers. Cette démarche inhabituelle prend le relief d'un désavoeu face au tollé suscité par la gestion "chaotique" du nouveau titre de voyage.

Aux termes d'une signée par le Premier ministre, la procédure de délivrance du nouveau passeport a été "simplifiée". Tout requérant, détenteur d'une carte d'électeur, ne sera plus tenu de rapporter le certificat de nationalité ainsi qu'un extrait du casier judiciaire. Une deuxième note émanant du ministre des Affaires étrangères apporte un "correctif sur le sort de l'ancien passeport : pendant le délai d'attente, le requérant pourra voyager avec son ancien passeport dont la validité est désormais légalisée. Un vrai casse-tête chinois pour les légations étrangères présentes à Kinshasa lesquelles se méfient comme de la peste des documents officiels délivrés par les autorités administratives congolaises.

Dans sa note circulaire précitée datée 31 août dernier adressée au ministre de la Justice et des Affaires étrangères, le Premier ministre Adolphe Muzito est monté au créneau pour préciser à l'adresse de ces deux membres du gouvernement que "la carte d'électeur est la pièce d'identité nationale et suffit donc pour attester la nationalité". Le "Premier" de souligner que "l'exigence d'un extrait du casier judiciaire pour l'obtention d'un passeport ne se justifie pas".

Dans sa note verbale adressée aux missions diplomatiques accréditées à Kinshasa, le chef de la diplomatie congolaise, Alexis Thambwe Mwamba, précise, près de six mois après la mise en circulation du passeport biométrique, "que tous les passeports congolais, anciens et nouveaux, ont cours légal jusqu'à nouvel ordre". Lors de la présentation du même passeport, fin mars, Thambwe déclarait que "la durée de validité des anciens passeports ordinaires est de six mois à dater du 1er avril 2009".

"Le ministre est responsable de son département. Il applique le programme gouvernemental dans son ministère, sous la direction et la coordination du Premier ministre", énonce l'article 93 de la Constitution. L'intervention du chef du gouvernement congolais dans ce dossier purement administratif traduit une volonté de mettre fin au chahut que suscite par la gestion du nouveau passeport.

On rappelle que le directeur de la Chancellerie du ministère des Affaires étrangères et son collègue du ministère de la Justice ont été récemment interpellés dans une affaire de délivrance de "vrais-faux" certificats de nationalité.

A Kinshasa, des voyageurs souhaitent voir une "déconcentration" de la "distribution" du passeport. "Les autorités diplomatiques de notre pays ont élevé la délivrance du passeport au rang de mystère alors qu'il ne s'agit que d'un titre de voyage, s'enrageait un homme d'affaires. Sous d'autres cieux, le passeport est délivré par des fonctionnaires communaux".

Madeleine Wassembinya (avec APA)
© Congoindépendant 2003-2009

 

Tuesday, September 08, 2009

Oscar Kashala Face a la Nation

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Dr. Oscar Kashala
Face a La Nation Congolaise
Samedi 12 Septembre 2009 a 14H (heure de Kinshasa)


Dr. Oscar Kashala, a travers une interview marathon, s'adresse le 12 Sepetembre 2009 a la nation congolaise. Il explicitera les enjeux de l'election presidentielle en 2011 et la necessite d'un changement de regime. Il stigmatisera les risques a laisser le pays entre les mains des aventuriers et incompetents.

Dr. Oscar Kashala
FACE A LA NATION
Samedi 12 Septembre 2009
15 H00 heure de Kinshasa
www.CongonetRadio.com/direct
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