Wednesday, October 21, 2009

ALERTE: Kabila veut tuer le colonel Bofate ...

Le colonel Bofate faussement accusé de "conspiration"
ALERTE: Kabila veut tuer le colonel Bofate accusé de "conspiration"




Des éléments de la garde prétorienne de Joseph Kabila, rebaptisés "Garde républicaine". Photo d'archives


Commandant en second de la garde présidentielle (milice a majorité katangaise de Joseph Kabila), le colonel Floribert Bofate Lihamba a été arrêté à Lubumbashi et transféré à Kinshasa où il serait ...

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Epoustoufflant !!!
Que dire de plus apres cette eblouissnte performance ?
Eh, vous les celibataires, ne cherchez pas son numero de telephone.
Elle est deja mariee.



Une africaine sans os. Toute en chair !
Vos commentaires sont les bienvenus
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Eblouissant ! Les blancs ne savent pas danser ???

VIDEO A VOIR ABSOLUMENT
Vos commentaires sont les bienvenus

Qui, a part bien evidement Louis Michel, a dit que les Blancs n'avaient pas d'ancetres Noirs et qu'ils ne savaient pas dancer ?

Cette jeune blonde talentueuse prouve qu'elle a bien en elle des genes de la fameuse Tante Lucie dont la descendance se retrouve partout sur cette planete. Vos reactions et commentaires sont les bienvenues ici ou en ecrivant a: congonetradio@gmail.com


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Tuesday, October 20, 2009

ALERTE: Kabila veut tuerLe colonel Bofate accusé de "conspiration"

Garde présidentielle : Le colonel Bofate accusé de "conspiration"  
 
 


Des éléments de la garde prétorienne de Joseph Kabila, rebaptisés "Garde républicaine". Photo d'archives
 

 

Commandant en second de la garde présidentielle (Garde républicaine) de Joseph Kabila, le colonel Floribert Bofate Lihamba a été arrêté à Lubumbashi et transféré à Kinshasa où il serait détenu en un lieu secret. Dans un communiqué daté 20 octobre 2009, l'association de défense des droits humains «La Voix des Sans-Voix» donne la nouvelle et dit craindre pour la vie et la sécurité de cet ancien officier parachutiste des ex-Forces armées zaïroises.

Le colonel Bofate Lihamba, commandant second de la garde prétorienne de Joseph Kabila, a été «enlevé», autrement dit arrêté sans mandat, le lundi 12 octobre à son domicile à Lubumbashi. L'interpellation a été précédée par une perquisition «de fond en comble» de sa résidence…par des éléments de la garde présidentielle ou garde républicaine assistés par des agents de l'ANR (Agence nationale de renseignements). Vingt-deux appareils de communication de marque «Motorola» et trois ordinateurs auraient été saisis par les enquêteurs. Selon le communiqué de la «VSV», Bofate a été transféré, mercredi 14 octobre, à Kinshasa où il serait détenu en un lieu secret.

Que reproche-t-on à cet officier supérieur des FARDC (Forces armées de la RD Congo). «Il serait suspecté de «fomenter un coup d'Etat» contre le régime en place, en République Démocratique du Congo», précise ce communiqué. La VSV dit craindre «pour la vie et la sécurité» du colonel Bofate. L'homme souffrirait de l'hypertension artérielle.

Originaire de la province de l'Equateur, Floribert Bofate Lihamba est issu de la 10ème promotion de l'EFO (Ecole de formation des officiers) à Kananga. Il a par la suite rejoint le corps des parachutistes de Ceta (Centre d'entraînement des troupes aéroportées). «C'est un excellent combattant, commente un ancien officier ex-Faz. Il a été «coopté» dans l'armée nationale par le président Laurent-Désiré Kabila.» Selon une source militaire, le «Mzee» portait le colonel Bofate en haute estime pour le travail qu'il avait accompli à Lubumbashi. Et d'ajouter : «Bofate était souvent à couteaux tirés avec son chef hiérarchique le général Banze. Et pourtant, les deux hommes se connaissent bien d'autant plus que Banze est sorti de la 9ème promotion de l'EFO.» Notons que Banze est natif du Katanga. Quel est en définitive le problème? Un officier FARDC joint au téléphone à Kinshasa d'asséner sans langue de bois : «Sous Mobutu, les soldats appartenant à l'ethnie Ngbandi considéraient la Division spéciale présidentielle comme leur chasse-gardée. Aujourd'hui, les «katangais» estiment que les Bangala n'ont pas de place au sein de la garde présidentielle dite garde républicaine.»

Une fois n'est pas coutume, en lieu et place des «recommandations» habituelles, cette association de défense des droits de l'Homme "exige" du chef de l'Etat, en sa qualité notamment de commandant suprême de l'armée, de clarifier «la localisation» du colonel Floribert Bofate Lihamba afin que les "membres de sa famille, les avocats, les médecins, les défenseurs des droits humains et les humanitaires" puissent lui rendre visite.

Questions : Où est passé le colonel Floribert Bofate Lihamba ? Pourquoi ne le défère-t-on pas devant une juridiction compétente afin qu'il fasse valoir son droit de la défense ?

B. Amba Wetshi


Ci-après le texte intégral du communiqué de «La Voix des Sans-Voix » :


Texto :


COMMUNIQUE DE PRESSE N°067/RDC/VSV/CD/2009


Pour la localisation du colonel Floribert Bofate Lihamba, Commandant second de la Garde Républicaine (GR)


La Voix des Sans Voix pour les Droits de l'Homme (VSV) exprime ses vives inquiétudes consécutives à l'enlèvement à Lubumbashi, province du Katanga, au transfert et à la détention au secret à Kinshasa du colonel Floribert BOFATE LIHAMBA, commandant second de la Garde Républicaine (GR).

Selon les informations parvenues à la VSV, colonel Floribert BOFATE LIHAMBA aurait, auparavant, été assigné en résidence surveillée à Lubumbashi avant son transfert à Kinshasa, mercredi 14 octobre 2009. Il serait suspecté de « fomenter un coup d'Etat » contre le régime en place, en République Démocratique du Congo.

Lundi 12 octobre 2009, vers 11h00, sa résidence, sise n° 15, avenue Pumbu, commune de Gombe, aurait été perquisitionnée de fond en comble par des militaires de la Garde Républicaine et des agents de services de sécurité dont l'Agence Nationale des Renseignements (ANR). A l'issue de la fouille systématique de la maison, un carton contenant vingt-deux (22) appareils de communication de marque Motorola et trois ordinateurs auraient été emportés.

Toutes proportions gardées, la VSV craint pour la vie et la sécurité de la victime et des membres de sa famille déjà traumatisés, surtout, entre autres, par le fait que le colonel souffrirait de l'hypertension. Sa détention au secret, privé de toute visite, est susceptible de contribuer à la détérioration de sa santé, en violation de l'article 18, alinéa 5 de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui stipule «Tout détenu doit bénéficier d'un traitement qui préserve sa vie, sa santé physique et mentale ainsi que sa dignité».


Eu égard à ce qui précède, la VSV exige du chef de l'Etat, Commandant Suprême des FARDC et Magistrat Suprême d'ordonner:

- la localisation du colonel Floribert Bofate Lihamba et les visites par les membres de famille, les avocats, les médecins, les défenseurs des droits humains, les humanitaires…

- la libération immédiate et sans condition de la victime, sinon sa présentation devant les juridictions compétentes, en cas de griefs sérieux à sa charge, pour l'organisation d'un procès public juste et équitable;

- la sécurisation de la victime et des membres de sa famille.



Fait à Kinshasa, le 20 octobre 2009.

La VOIX DES SANS VOIX POUR LES DROITS DE L'HOMME (VSV)
© Congoindépendant 2003-2009

 

Sunday, October 18, 2009

Balkanisation de la RDC :

Par  Le Potentiel, Edition en ligne n°4812 du Lundi 19 Octobre 2009

 
Balkanisation de la RDC :
changement de méthodes

 

Floraison d'études sur la problématique du développement des pays africains. Quatre thèses ont tendance a émergé pour expliquer cette situation : étendue géographique, densité démographique, ressources naturelles et montée en puissance de l'ethnicisme. Des théories qui vont à l'encore des objectifs de l'Union africaine de réussir l'intégration sous-régionale, tant sur le plan économique et politique, mais qui favorise la création des « Etats nains ». Le Soudan, le Nigeria, l'Angola et la RDC sont visés. Comme pour dire , la balkanisation a la peau dure.


Depuis vendredi 16 octobre, des manœuvres militaires conjointes « EAC – Etats-Unis » se déroulent en Ouganda, principalement à Kitgum. Durée de la manoeuvre dix jours, sous la supervision du Commandement africain de l'armée américaine, AFRICOM. Baptisé « Feu naturel 10 », cet exercice connaît la participation de plus de 1.200 soldats burundais, kenyans,, ougandais, rwandais tanzaniens, tous pays membres de la Communauté de l' Afrique de l' Est et américains bien sûr. L'objectif de cet exercice militaire vise à répondre aux urgences humanitaires compliquées telles les séismes, inondations et glissements de terrain.


Selon Béatrice Kiraso, secrétaire générale adjoint de la EAC, « l'exercice va promouvoir la coopération et la fédération de l' EAC ».


Curieusement, 10 jours plutôt, toujours à Kampala, le président Museveni appelait les pays d'Afrique « à former un système de défense territoriale unifié pour protéger le continent contre les menaces de sécurité extérieures ». « Les plus grandes menaces pour l'Afrique viennent de l'extérieur, c'est ce danger qui a causé notre colonisation », a-t-il déclaré. Que s'est-il passé entre les dix jours pour qu'il y ait cette manoeuvre supervisée « de l'extérieur » ?


Au moment où l'on attend une réponse à cette interrogation, la gestion de la situation sécuritaire revient à la sur face. Outre des études qui se multiplient, certaines structures ne lâchent pas prise pour proposer des solutions à la situation dans les deux Kivu et dans la Province orientale.


Pole Institute, basé à Goma, balaie d'un revers de la main les résultats accomplis par les FARDC et la MONUC dans le cadre de l' opération Kimia II. Pour cet institut, il s'agit d'un échec. « Contrairement aux opérations conjointes rwando-congolaises au Nord Kivu où finalement il y aurait très peu d'affrontements militaires réels, les FDLR renforcées par les éléments de FNL-Burundi dans le Sud-kivu se sont engagées dans des combats atroces contre les FARDC et le rapport de forces bascule souvent d'un côté comme de l' autre. Le Rwanda se dit prêt à donner un coup de main si le gouvernement de Kinshasa le lui demande, mais jusqu' à présent, ce dernier préfère tester ses propres forces dans un environnement sud-kivutien opposé à toute intervention militaire de l' armée rwandaise sur son territoire », souligne un rapport de Pole Institute.


Au même moment, le Caucus des députés nationaux du Sud Kivu ont adressé une motion incidentielle à l'Assemblée nationale. Ils insurgent contre les propos d'un des leurs qui leur fait porter le chapeau de l'insécurité au Kivu. Mais par contre, ils pointent du doigt le gouvernement, la hiérarchie militaire des FARDC de ne pas faire mieux pour ramener la paix dans cette partie du pays. Ils dénoncent le dépeuplement des populations locales et sont inquiets de ce retour massif des « Congolais » au risque d'aggraver les conflits fonciers. Ils sont étonnés d'entendre certains compatriotes se « déclarer fatigués de la question du Kivu » comme s'ils prêtaient le flanc aux acteurs de la balkanisation de la RDC.


Création des « Etats nains »


Tout se passe comme si les acteurs de la balkanisation ont changé de tactique. Ils poussent les « Congolais à se haïr » pour se « fatiguer » avant qu'ils ne portent l'estocade pour assouvir leurs destins machiavéliques. Tenez.


Selon une étude élaborée par « The Brookings Intitution » et publiée par Global Poverty dans le cadre du développement de l' Afrique, plusieurs causes seraient à la base du retard que connaît plusieurs pays africains. Il s'agit de l'étendue géographique, de la densité démographique, des ressources naturelles et de la montée de l ethnicisme.


Plus un pays est grand, souligne cette étude, plus la gouvernance est difficile. Il en est de même du nombre élevé de la population. Cette situation se répercute ensuite sur la gestion des ressources naturelles et favorise des conflits interethniques. Pour eux, seuls les « petits Etats » sont bien gouvernés en Afrique.


Deux faits à relever dans ces études qui ne visent que la balkanisation des Etats africains. D'où sont visés ; le Nigeria, le Soudan, l'Angola et la RDC.


Deux faits, disions-nous, nous interpellent. Pourquoi seulement les pays de l'Afrique subsaharienne alors qu'en Afrique septentrionale existent des pays aux immenses dimensions géographiques avec des importantes ressources naturelles ?

Ce qui est vrai, c'est que cette théorie est celle de la politique des « Etats nains » pour créer des Etats à l'image des pays du balkan avec l'effondrement de l'empire soviétique. Mais a-t-on résolu le problème de la cohabitation pacifique ? La Tchétchénie, le Kosovo, la Belorusse, la Georgie, etc…sont là autant des cas qui doivent nous interpeller.


D'autre part, cette théorie va à l' encontre des préoccupations de l'Union africaine. Cette organisation régionale recommande l' intégration économique et politique dans le but d' accélérer le développement du continent africain. Ce serait donc une erreur monumentale de faire croire à une certaine communauté internationale la création des « Etats nains » favoriserait le développement de l' Afrique.


En cherchant aujourd'hui à s'appuyer sur la décentralisation pour obtenir ce résultats des « Etats nains », l'on est en train de commettre un « crime contre l' humanité » en Afrique. C'est chercher à ce que certains Etats parias africains étendent leurs dimensions géographiques sur d'autres Or, on ne peut jamais résoudre la situation d'un Etat africain en créant de la confusion dans un autre Etat voisin. Ce serait jouer au pyromane et toute l'Afrique y perdrait. Les Congolais doivent être vigilants avec cette abondance d'études, ce travail des ape au plan national et ces exercices militaires comme si un « tsunami » s'annonce déjà dans la région de l' Afrique des Grands Lacs pour emporter avec tout la RDC. Le complot est toujours là. Seule la tactique est en train de changer.



 

Manoeuvres militires Gabon-Ouganda


L'Africom s'implante petit-à-petit en Afrique

Par Freddy mulumba kabuayi

Le Potentiel

Edition en ligne n°4812 du Lundi 19 Octobre 2009


Les forces armées provenant des cinq pays membres de la Communauté de l'Afrique de l'Est (EAC) et le commandement africain de l'armée américaine (AFRICOM) ont, selon l'agence Chine nouvelle, débuté le vendredi 16 octobre 2009 à Kitgum une manoeuvre conjointe de dix jours, en vue de renforcer la coopération entre eux durant les urgences humanitaires compliquées.


Inaugurant l'exercice militaire baptisé «Feu naturel 10» dans le camp de Pajimo, le ministre ougandais de la Défense, Chrispus Kiyonga, a indiqué que plus de 1.200 soldats burundais kenyans, ougandais, rwandais, tanzaniens et américains participeront à la manoeuvre, visant à mieux répondre aux urgences humanitaires compliquées telles que séismes, inondations et glissements de terrain sur leur territoire. Béatrice Kiraso, la sous-secrétaire générale de l'EAC,chargée de la fédération politique, a déclaré que l'exercice va promouvoir la coopération et la fédération de l'EAC dans la région. «C'est une grande manoeuvre alors que nous nous dirigeons vers la fédération politique. La manoeuvre renforcera la capacité des armées des pays est-africains dans le traitement des désastres et des urgences humanitaires», a-t-elle souligné.


Jerry Lanier, l'ambassadeur des Etats-Unis en Ouganda, a fait savoir que les Etats-Unis poursuivront leur coopération avec les pays est-africains dans la construction de la paix et de la sécurité dans la région.


En dépit de ce discours séduisant sous prétexte de la recherche de la paix et de la stabilité régionale, un analyste estime que le commandement africain de l'armée américaine (AFRICOM) prend, dans le contexte de la nouvelle géopolitique, progressivement ses racines en Afrique. Il déplore,cependant,le fait que la République démocratique du Congo, située au cœur du continent, n'ait pas été concernée par ces différentes manœuvres militaires des armées américaines et africaines.


Ce qui lui fait dire que ces opérations constitueraient une menace pour la balkanisation du Congo démocratique.

Le metro au Japon (VIDEO A VOIR ABSOLUMENT !!! )

Ceci se passe chaque jour a Tokyo du lundi au dimanche, 7 jours sur 7.
Au Japon, faut vraiment aimer le travail pour apprecier la partie "boulot" dans la formule
Metro-Boulot-Dodo.
Au fait, le travail est une religion au Japon. C'est la route qui mene au paradis. On comprend alors qu'aucun japonais ne veuille louper le depart !
A New York, c'est le contraire, ils appellent cela "hell" (l'enfer).
Comme quoi, tout est relatif dans la vie :)
Prudent et dubitatif, au Japon, j'ai choisi la campagne
et le velo pour aller au paradis "boulot"

Lambert Ngoi

Un officiel congolais sans argent a Bruxelles: vagabond !

On 10/19/09, Mwalimu Gabriel <mwalimugabriel@gmail.com> wrote:
L'ADGA de la RTNC sans frais de mission à Bruxelles


Lambert Mende Omalanga, ministre congolais de la Communication et Médias. Photo d'archives.

Depuis plusieurs jours, l'administrateur délégué général adjoint de la RTNC (Radio télévision nationale congolaise) et son accompagnateur sont incapable d'acquitter les frais de séjour dans un petit hôtel bruxellois.
Les deux hommes ont, en effet, quitté Kinshasa sans avoir perçu les frais de mission. Ils logent depuis une semaine dans un hôtel bruxellois sans savoir comment acquitter les frais. Aux dernières nouvelles, ils étaient descendus dans un hôtel pour le moins miteux à un jet de pierre du «Marché du Midi». Il s'agirait de l'hôtel de France où ils partageraient le même lit. Le départ de Bruxelles est prévu dimanche 18 octobre.
Kinshasa. Correspondance particulière.

L'administrateur délégué général adjoint de la RTNC, Ernest Kabila Ilunga, se trouve depuis une semaine en mission officielle à Bruxelles. Il est accompagné de Prosper Loleke, conseiller juridique au cabinet du ministre de la Communication et des médias. But de la mission : vérifier la destination donnée aux montants payés par les abonnés des émissions de la télévision publique congolaise captée via le satellite.

Selon des sources à Kinshasa, les frais de connection à la RTNC seraient perçus par un ressortissant congolais non autrement identifié. L'homme travaillerait pour le compte de…l'administrateur délégué général de la RTNC. Inimaginable !

L'Adga Kabila et le conseiller juridique Loleke ont été mandatés par le ministre Lambert Mende Omalanga afin de mettre fin à cette «situation chaotique».

C'est ici que l'histoire prend une tournure burlesque. Les deux hommes ont, en effet, quitté Kinshasa sans avoir perçu les frais de mission. Ils logent depuis une semaine dans un hôtel bruxellois sans savoir comment acquitter les frais. Aux dernières nouvelles, ils étaient descendus dans un hôtel pour le moins miteux à un jet de pierre du «Marché du Midi». Il s'agirait de l'hôtel de France où ils partageraient le même lit. Le départ de Bruxelles est prévu dimanche 18 octobre.

En désespoir de cause, l'Adga Kabila serait à la recherche d'un "homme de bonne volonté" pour obtenir un "prêt" remboursable à Kinshasa. Interdiction de rire.




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