Monday, May 11, 2009

__ Trop de bruits inutiles a l'UDPS(-exterieure)

Chers Compatriotes de la RD Congo,
La betise et la mediocrite continuent et s'amplifient a l'UDPS au sein de la diaspora.

Les forums internet de l'UDPS a l'etranger sont des coquilles vides ou des tonneaux qui amplifient leurs propres bruits dans l'indifference totale du peuple congolais au Congo
- PARLEMENTAIRES-DEBOUT: 546 membres inscrits seulement depuis le 6 Janvier 2001
http://groups.yahoo.com/group/udps-list/
- UDPS-LIST: 449 membres inscrits seulement depuis le 23 Aout 2000
http://fr.groups.yahoo.com/group/PARLEMENTAIRE_DEBOUT_DE_UDPS/


Au lieu d'avoir honte avec de telles statistiques, les "cadres" de l'UDPS se tapent la poitrine comme des primates drogues. Des attitudes de primairien que l'on croyait Joseph Kabila Kanambe seul etre capable.http://www.congoindependant.com/une240205.htm


Les "cadres" de ce parti en voie demembrement (si Tshisekedi ne reprend pas les choses en mains) se complaisent dans des rivalites de bas etage. Les "listes" au label UDPS sur internet se sont lancees dans un "tournoi" de popularite qui frise l'idiotie. En effet, les deux listes (UDPS-List et Parlementaires_debout), toutes deux sur Yahoo, totalisent ensemble moins de 1.000 personnes inscrites sur plus de 500,000 exiles "politiques" se reconnaissant membres ou sympathisants de l'UDPS. Les contributions ecrites sur ces forums proviennet d'une cionquantaine de personnes seulement. C'est l'evidence meme d'un mediocre travail de rassemblement realise sur plusieurs annees. Avec ce genrede resultas negatifs, il est normal et meme urgent de chercher ailleurs qu'a l'UDPS-exterieure des patriotes capables de diriger la nation congolaise demain. Au lieu de constater leur echec total sur le plan de la mobilisation de leurs "bases", ces "cadres" (irresponsables ?) passent leur temps a prendre leurs illusions pour la realite. La desillution ne tardera pas.
Les forums de l'UDPS
- PARLEMENTAIRES-DEBOUT: 546 membres inscrits seulement depuis le 6 Janvier 2001
- UDPS-LIST: 449 membres inscrits seulement depuis le 23 Aout 2000

Au lieu d'avoir honte de telles statistiques, les "cadres" de l'UDPS se tapent la poitrine comme des primates drogues. Des attitudes de primairien que l'on croyait Joseph Kabila Kanambe seul etre capable.

Nous vous convions a absolument lire l'article ci-dessous, issu de l'UDPS-Beltchika (ou UDPS-Righini selon certains), qui vous donnera une idee du niveau de mesquinerie et de bassesse auquel l'UDPS a ete amenee. C'est tragique !!! http://www.udpsonline.com/article.php?id_art=1344

Devrait-on alors s'etonner du colossal echec du "Congres de l'UDPS" tenu le mois passe sous les arbres du jardin de la residence de M. FX Beltchika a Righini, a Kinshasa ?
Les patriotes Tshisekedistes doivent reprendre et reanimer le parti de Tshisekedi ou en creer un autre devant refleter les valeurs humaines et democratiques defendues par Etienne Tshisekedi au prix de nombreux sacrifices tout au long de son dur et eprouvant combat politique en RD Congo pour le bien du peuple congolais tout entier.

L'UDPS est aujourd'hui de facto divisee en trois entites se reclamant toutes, etrangement, de M. Etienne Tshisekedi.
- UDPS-National (dirigee par Valentin Mubake assiste par Francois Mpuila, Claude Kiringa, Leonard Mpoyi). Certains l'ont denomme: UDPS-Mubake
- UDPS-Beltchika (dirigee FX Beltchika, Pascal Beltchika, JJ Mukendi, Aka Mansia, Jacques Matanda, Marc Kapend). Certains l'ont denomme: UDPS-Righini
- UDPS-Mutanda (dirigee par Alexis Mutanda, Felix Tshisekedi, Albert Moleka) .Certains l'ont denomme: UDPS-Limete
La confusion est totale a l'UDPS. La derive est permanente. Le peuple congolais et les federations de l'UDPS en RDC ne se retrouvent dans aucune de ces 3 nebuleuses qui rivalisent dans leur ardeur a "negocier" avec la dictature tutsi-rwandaise au pouvoir a Kinshasa. (Lire et ecouter a ce sujet les echanges revelateurs de hauts "cadres" de l'UDPS: http://www.congonetradio.com/udps-debat-mpuila-mukendi20090504_copy(1).html)

Lambert Ngoi
Citoyen de la RD Congo
Japon


UDPSonline.com

STATISTIQUE: PARLEMENTAIRES_ DEBOUT CONTRE UDPS_ LIST: EBELE A ZÉRO

2009-05-11 20:16:41

Par Willy Fram Mbiyyah ( Toutou )

Udpsonline


Photos-Archives : De gauche à droite , le "sorcier" Claude Kiringa (modérateur de la liste Udps_List) et le "frondeur" Ferdinand N'Kashama (modérateur de la liste Parlementaires_Debout, UDPS-Beltchika)

STATISTIQUE: PARLEMENTAIRES_ DEBOUT CONTRE UDPS_ LIST: EBELE A ZÉRO 2009-05-11 20:16:41 Par Willy Fram Mbiyyah ( Toutou ) , President Federal de l'UDPS-GreceUdpsonline http://www.udpsonline.com/article.php?id_art=1344

La démocratie est la loi de la majorité et la protection de la minorité , cela doit rentrer dans les cranes des Udpsiens dignes de leurs noms . Ce que je vais vous faire voir est qu'elle se manifeste partout où un groupe des gens se rassemblent pour un débat d'idées . Et dans le cas présent , cette majorité se dessine même sur les listes de l'Udps . Il y a quelques temps un compatriote avait lancé un appel au boycott de la liste extrémiste “UDPS_ LIST” puis le Dr François Tshipamba Mpuila , représentant du G16 avait déclaré certains sites et listes non affiliés à l'UDPS et qu'ils devraient cessés d'utiliser le label du Parti. Depuis que tous les pro-congrès ont été bannis sur Udps_list à cause de leur appartennance et soutien au Congrès
Voilà que cette liste ( Udps_List , longtemps considérée comme protectrice des valeurs démocratiques et des courants de pensées sombre et sèche du jour le jour à cause du monologue et de son caractère laconique qui la caractérisent présentement . Nous demandons aux ténors de cette liste de revoir leur calcul avant la descente aux enfers de cette dernière .
A vous de juger ce rapport statistique du nombre de participants aux deux listes Parlementaires_debout et Udps_list pour les 10 premiers jours du moi de mai 2009. Date Parlementaires_Debout Udps_List

Ajoutez à cela le fait que les manifestations organisées par Monsieur Alexis Mutanda l'ancien Secrétaire Général avaient connu une participation quasi nulle et que la délégation suédoise habituée au bain de foule lors de ses passages à l'UDPS et aussi au sur-plein des salles lors des récentes séminaires s'est retrouvée devant des chaises vides cette fois- ci. Voilà ce qui a poussé la chef de délégation Mme Ingrid à déclarer que le Congrès avait eu lieu et que tout les combattants devaient en respecter les résolutions.
Faut-il encore un dessin?
Les choses sont claires comme l'eau de roche et la vérité nous a déjà affranchis comme le dit souvent notre ami Mike Mwakadi, le grand combattant de l'Udps/Londres .

*

Joseph Kabila a peur de mourir !!!

Joseph Kabila a peur de mourir.
Il en veut aussi à l'Occident et blâme ses collaborateurs...  
 

Le commissaire européen Louis Michel congratulant le "président élu" le 6 décembre 2006. Depuis, beaucoup d'eau a coulé sous le pont.
 
Joseph Kabila en veut à l'Occident et blâme ses collaborateurs...  
Dans une interview exclusive accordée au quotidien bruxellois «Le Soir», daté du 9 au 10 mai, Joseph Kabila parle notamment de la reconstruction, de la situation au Kivu et des relations avec le monde occidental. Le «rais» donne l'impression de se livrer à une fuite en avant qui consiste à épingler les «responsables» de l'échec, désormais inévitable, de ses «Cinq chantiers». Il reproche aux Occidentaux des promesses non-tenues. C'est ainsi qu'il a fait appel aux Chinois. Il récidive ses critiques à l'endroit de ses collaborateurs. Mais reconnaît que la lutte contre la corruption mené depuis 2001 a échoué. Joseph termine l'entretien en évoquant la fin tragique de ses «ascendants»…

Analyse

Joseph Kabila s'est-il trompé de priorités dans le cadre de ses «Cinq chantiers» ? Pendant que des entreprises chinoises sont occupées à transformer le Boulevard du 30 juin à Kinshasa en une autoroute à plusieurs bandes en pleine ville - et que le «raïs» s'est rendu la semaine dernière à Matadi pour lancer les travaux de la réhabilitation du tronçon routier Matadi-Moanda, les besoins de la grande majorité de la population en eau et électricité restent insatisfaits. N'est-ce pas que l'eau est synonyme de la vie?

A en croire le quotidien «Le Soir», lors du passage du cortège présidentiel dans le chef-lieu de la province du Bas-Congo, la foule a applaudi «avec une sorte de prudente circonspection». Des Mamans congolaises présentes devant le bâtiment de l'Onatra ont, elles, crié «bien fort pour que le président entende leurs récriminations : l'eau potable manque (…).» Un vrai dialogue de sourds qui ne peut survenir que lorsque les gouvernants ne sont pas à l'écoute des véritables attentes des citoyens. Kabila, paraît satisfait. «A Kinshasa, à l'Est, partout dans le pays, les travaux ont commencé», clame-t-il.

«Umoja Wetu»

Selon le «raïs», c'est l'instabilité dans les provinces du Kivu qui ont empêché les pouvoirs publics congolais à «faire autre chose» en s'occupant de la reconstruction. Comme pour reconnaître que c'est le Rwanda de Paul Kagame qui tirait les ficelles, il lance : «Tout comme nous, les Rwandais se sont rendu compte qu'on ne pouvait plus continuer comme cela, que la guerre, finalement, on ne la gagne jamais.» Kabila a néanmoins reconnu que des «forces qui veulent saboter le processus de paix» subsistent encore. Un aveu implicite que l'opération conjointe «Umoja Wetu» n'est pas parvenue à anéantir les combattants hutus des FDLR. L'Accord gouvernement-CNDP, encore moins.

Deux mois après cette opération militaire, les observateurs sont unanimes à reconnaître que la situation humanitaire dans la province du Nord Kivu ne cesse de se détériorer. Et ce, en dépit du soutien logistique consenti aux FARDC par la Mission de l'Onu au Congo. La province du Sud-Kivu n'est pas épargnée. Le bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) fait état d'un «climat de terreur» entretenu dans ces deux provinces tant par des éléments des FDLR et des combattants Mai Mai que par les forces gouvernementales". Joseph Kabila se veut optimiste. Selon lui, ceux qui menacent la paix à l'Est ne constituent qu'une «minorité». Pour lui, le moment est venu de mener «la lutte contre la pauvreté». «Car finalement, ajoute-t-il, c'est la pauvreté qui nous conduit à la guerre et vice versa.» Au nom de la lutte contre la pauvreté, ne fallait-il pas privilégier le «chantier» eau et électricité ?

«Elu» en novembre 2006, Joseph Kabila se trouve bientôt à mi-mandat. Les prochaines élections sont prévues en 2011. Pourra-t-il opérer des miracles en moins de deux ans ? Comme pour se consoler, le «raïs» se lance dans des propos pour le moins irrationnels : «Je préfère dire qu'il nous reste quatre ans. Quatre ans si on travaille 24 heures sur 24, ce que nous sommes en train de faire». Et pourtant, depuis son arrivée à la tête de l'Etat congolais, Joseph n'a jamais donné de lui l'image d'un «bosseur». Dans son édition daté 26 juin 2006, le quotidien français «Le Monde» n'avait-il pas qualifié le numéro un Congolais de «jeune président dilettante» ? Un président attiré par les aspects frivoles d'une fonction qu'il assimile à un divertissement et non une charge. Les «Cinq chantiers» inachevés ? Qu'importe ! «Le chemin à faire est encore long, mais l'essentiel est d'avoir commencé, fait-il remarquer. D'ici la fin de cette année, on verra un vrai changement.» En attendant, le président est à la recherche «des gens déterminés, dynamiques» pour l'épauler.

Des boucs émissaires

C'est ici que Joseph commence sa plaidoirie pro domo pour justifier l'échec qui profile à l'horizon. Il lui faut des «responsables». Il y a d'abord, ses collaborateurs. Question : Vous avez récemment souligné que vous aviez peu de collaborateurs fiables. Serait-ce vous qui les choisiriez mal ? Réponse frisant une naïveté puérile : «Pour choisir quelqu'un, il faut avoir une bonne connaissance de la personne. Et pour avoir cette connaissance, il faut travailler avec cette personne…Je ne peux pas changer mes conseillers tous les trois mois, il faut donner le temps aux gens… ». Le «raïs» de resservir sa phrase controversée prononcée dans l'interview accordée au «New York Times» : «Pour transformer un pays comme le Congo, il ne faut pas compter sur mille personnes, il faut avoir dix, quinze personnes bien déterminées.» Pourquoi ne trouve-t-il pas ces dix ou quinze oiseaux rares ?

Joseph Kabila ne devrait-il pas chercher les causes des «insuffisances» des ses «hommes» dans les critères de sélection? Ces critères sont-ils objectifs ou fondés sur le clientélisme politique, le tribalisme et le régionalisme ? En Belgique, les membres de cabinets politiques sont recrutés comme dans une entreprise privée. C'est-à-dire sur base du C.V. C'est un l'élément fondamental qui permet de présumer que l'impétrant correspond au profil exigé. L'examen du C.V est suivi par une entrevue ou interview avec le chef de cabinet. Le prétendant à un poste est parfois invité à coucher par écrit les actions à mener dans la cadre de la fonction. Il est donc parfaitement erroné d'affirmer, comme le fait le «raïs», que pour choisir un collaborateur, il faut bien le connaître. Et que pour avoir cette connaissance il faut travailler avec la personne.

Oracle

Huit années après son arrivée au sommet de l'Etat, Joseph se trouve encore au point de départ consistant à chercher dix à quinze hommes capables de l'aider à changer la société congolaise en combattant la corruption. Quand pourra-t-il se mettre au travail? Pour combler cette lacune, Kabila dit avoir trouvé la solution. Il va nommer un conseiller «en charge de la bonne gouvernance, de la lutte contre la corruption» au sein de son cabinet. «Sa nomination fera partie des changements que je compte opérer d'ici le mois de juin», annonce-t-il comme un oracle. «Je vais chercher les quinze personnes qu'il me faut et les mettre à la bonne place.»

Il apparaît que le monde occidental passe pour le second «responsable» des déboires du «raïs». En cause, des promesses non-tenues. «Il n'y a eu que des discours», « il y a eu plus de promesses que des réalités» souligne-t-il. Et d'expliquer que c'est ainsi, qu'il a arrêté ses voyages en Europe. «(…), le tourisme ne m'intéresse pas». Question de la journaliste : Comment expliquez-vous que les Occidentaux semblent beaucoup plus critique à votre égard que durant la transition? Réponse: «Peut-être se sont-ils rendu compte que je n'étais pas aussi maniable qu'ils le croyaient, que je ne reçois d'ordres de personne, sauf de mon peuple. Je ne veux exécuter que la volonté de notre population, qui souhaite la paix, la reconstruction et le développement du pays, la stabilité.»

Joseph semble répondre indirectement à la communauté internationale. Celle-ci lui reproche l'impunité accordée aux groupes armés opérant aux Nord-Kivu et surtout le refus de transférer le «général» Bosco Ntaganda à la CPI (Cour pénale internationale) à La Haye. La semaine dernière, Amnesty International a relancé la question dans une lettre ouverte adressée au chef d'Etat congolais. Sur un ton de défi, celui-ci note que «d'autres partenaires s'intéressent beaucoup au Congo». C'est le cas, selon lui, notamment de la Chine, de la Corée du Sud, de la Russie, du Brésil. Kabila termine cet entretien par une phrase pour le moins étrange : «Je me dis souvent que mon arrière-grand-père a été assassiné, mon grand-père aussi, mon père également, comme vous le savez. On se pose toujours beaucoup de questions… ».

B.A.W
© Congoindépendant 2003-2009

Sunday, May 10, 2009

LIMETE: La 14ème Rue SE MEURT ! Où EST LE TRAITRE COLLABOANDRE KIMBUTA ?

KINSHASA : LA 14ème RUE -LIMETE SE MEURT ! Où EST ANDRE KIMBUTA ?  

Source : La Prospérité

Kinshasa, le 09/05/2009

Ce sont des choses considérées parfois comme banales. Mais, en réalité, elles concernent la vie des populations. A Limeté, plus personne ne peut comprendre ce qui arrive. Au jour le jour, la 14ème rue, à Limete Industriel, se meurt. Ni André Kimbuta Yango, le Gouverneur, ni Roger Busima Kataala de l'Agence des Grands Travaux, n'y est visible. Les autorités de l'Ovd et de l'Office des Routes, sont, apparemment loin, de suivre de près, la situation alarmante que traverse la population de Kingabwa. C'est un pire des calvaires qui ne dit pas son nom, en pleine renaissance clamée par les autorités, à l'aune des chantiers de la République. Après la pluie, dit-on, c'est le beau temps. A Kinshasa, par contre, c'est la désolation. Vous ne pouvez compter que du doigt, quelques quartiers où il y a un accès facile des eaux de pluies. A Limete, un véritable lac s'est créé, depuis un certain temps, vers le tronçon d'entrée de la 14ème rue, non loin du boulevard Lumumba, sur l'axe menant vers la grande avenue des poids lourds. Une situation qui inquiète de plus en plus, les habitants de ce coin qui, pourtant, avaient applaudi de deux mains, à l'annonce de la nouvelle que l'Hôtel de ville de Kinshasa y avait initié les travaux de réhabilitations.

 

En fait, toutes les bordures et autres repères sont perdus compte tenu de l'état fortement endommagé de l'avenue. Des véhicules ne savent plus accéder ou encore sortir de la chaussée. Actuellement, ce sont les taxis Moto qui desservent la ligne. Désormais, les transporteurs des véhicules ou taximen, eux, réfléchissent deux fois avant d'emprunter cette voie devenue périlleuse. Lorsqu'il pleut, c'est encore pire. Pour assurer la traversée, les jeunes garçons, habitant les parages exposent leur dos à la aux passants considérés, ici, comme une clientèle potentielle, en des temps durs. En l'absence du paiement de 100 FC, aucune personne de Kingabwa, ne peut atteindre le Boulevard Lumumba, sans se mouiller la jupe ou le pantalon.

 

Les chaussures, n'en parlons, même pas ! Normalement, les travaux de réhabilitation de cette chaussée devaient se passer depuis deux ans. l'Hôtel de ville de Kinshasa avait stocké la caillasse et du sable depuis l'année passée, mais rien n'est fait jusqu'à ce jour. Chose curieuse, ces matériaux stockés, ont fini par disparaître suite à l'escalade de l'insécurité qui a gagné les esprits dans la Ville-Province de kinshasa. La population de Kingabwa espère que la réhabilitation de la 14ème rue/Limete, est aussi inscrite dans les priorités de cinq chantiers de Joseph Kabila Kabange.

Josiane Nzabi

UDPS : simplement inacceptable !



UDPS : simplement inacceptable !
Sûr de lui, Francois Mpuila ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Il a menacé de mettre sur la place publique les preuves de son assertion. Mis en difficulté, Mukendi wa Mulumba a tenté d’esquiver avant d’acquiescer en affirmant que des personnalités de la mouvance kabilisitique avaient versé des contributions financières dans le compte du congrès en raison de la sympathie qu’ils éprouvaient( !) pour la personne d’Etienne Tshisekedi.


D’aucuns ont trouvé sans intérêt le débat ayant opposé sur Raki ( Radio Kongo Internationale) François Mpuila Tshipamba, représentant de l’Udps en Belgique et au Luxembourg à Jean-Joseph Mukendi wa Mulumba, l’un des organisateurs du très problématique congrès de l’UDPS tenu le mois dernier à Kinshasa-Lemba, au quartier Gombele, ex-Righini.

Sans chercher à tourner le couteau dans la plaie béante qui divise aujourd’hui plus qu’hier les membres de l’Udps ainsi que l’a illustré le rude débat entre Mpuila et Mukendi que l’on peut qualifié de duel aux couteaux entre deux udpsiens que tout oppose désormais, à Congoone on est d’avis que la manifestation d’une certaine vérité a été malgré tout au rendez-vous.
Et comment en serait-il autrement quand un brillant avocat comme Mukendi wa Mulumba a, tout en refusant le statut d’accusé, invité Mpuila Tshipamba à ne pas jouer au procureur, rôle dans lequel a pourtant semblé excellé, comme un boxeur professionnel, le représentant de l’Udps au Belux en administrant des directs à l’estomac destiné à couper le souffle ?
Au-delà de la querelle sur la légitimité du congrès de Righini dont les organisateurs, accusés d’avoir sacralisé l’autorité du chef du parti pour avoir ignoré sa décision de dissoudre le Comité organisateur du congrès, soutiennent que ladite décision ne leur semble pas l’œuvre du président national, François Mpuila a jeté un véritable pavé dans la mare.

Sans aller par le dos de la cuillère, le représentant de l’Udps au Belux a accusé les organisateurs du congrès de Righini d’avoir organisé plutôt une messe noire avec l’argent du pouvoir kabiliste.
Sûr de lui, Mpuila ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Il a menacé de mettre sur la place publique les preuves de son assertion. Mis en difficulté, Mukendi wa Mulumba a tenté d’esquiver avant d’acquiescer en affirmant que des personnalités de la mouvance kabilisitique avaient versé des contributions financières dans le compte du congrès en raison de la sympathie qu’ils éprouvaient( !) pour la personne d’Etienne Tshisekedi.

Ce scoop n’en est pas un pour Congoone dont les rédacteurs savaient depuis près d’une année qu’une personnalité bien placée du Pprd avait promis de donner un coup de pouce financier au groupe de Beltchika. Aussi, semble-t-il bon et juste de faire en tout état de cause mystère de l’identité de cette personnalité qui n’est plus vitale pour le Pprd et son chef. Suivez mon regard !

Qu’on se souvienne de ce que le congrès de l’Udps ayant été qualifié par Etienne Tshisekedi lui-même de congrès de tout le peuple congolais, les contributions financières des personnes de bonne volonté étaient les bienvenues. C’est ici le lieu de rappeler que ceux qui, sans être membres de l’Udps, partagent néanmoins l’idéal de changement dont ce parti porte l’étendard, avaient versé spontanément au grand jour et à la lumière du soleil leurs contributions, souvent symboliques, pour marquer leur soutien au congrès de l’Udps. Le député Jean-Claude Mvuemba de l’opposition institutionnelle en est un.

Ce qui est cependant inacceptable c’est le fait que l’équipe Beltchika ait pris l’initiative d’écrire à des personnalités du kabilisme (dont nous faisons mystère des identités) pour leur demander de contribuer financièrement à la tenue du congrès de l’Udps. Le flirt a été tenu secret sous prétexte que certains « bienfaiteurs » avaient souhaité rester des « héros dans l’ombre ».
Les combattants de l’Udps apprécieront, eux qui ne sont pas sans savoir que la main qui donne est toujours au dessus de celle qui reçoit et que les résolutions du congrès de Righini permettent aux kabilsites de rire sous cape en voyant leur parti se saborder en s’engageant la queue entre les pattes à regagner les rangs à travers des élections territoriales et communales virtuelles après avoir boycotté en 2006 les principales élections susceptibles d’influer sur la marche de la République à démocratiser.

Pour autant, l’opération « win-win »entre le Pprd et les congressistes de Righini a-t-elle enchaîné l’Udps ? Il semble qu’Etienne Tshisekedi se prononcera très bientôt sur le sujet. Il ne reste qu’à souhaiter que cette heure de vérité s’approche à grandes enjambées pour que l’Udps et l’opposition, pas celle de collaboration, offrent au Congo autrefois zaïrianisé une alternative susceptible de doter notre pays d’un leadership responsable.

Raymond LUAULA
CongoOne, Mise en ligne le 04-05-09

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Congonet Radio, La radio des patriotes Congolais

Banques liquidées: La grogne des employés congédiés


Banques liquidées: La grogne des employés congédiés

Photo: Le Preminier Minsitre Traitre-Collabo
Adolphe Muzito (Congonet Radio )
Les anciens employés des banques liquidées attendent depuis six années…la liquidation de leurs décomptes finals. La survenance d’un contentieux similaire n’est pas à exclure dans les entreprises publiques devant subir des mutations au plan statutaire ou à liquider. L’Etat pourrait être confronté à des problèmes d’arriérés de salaires impayés. A moins que des mesures d’accompagnement, au plan social, aient été envisagées.
Rien ne va plus entre l’Intersyndicale des banques du portefeuille de l’Etat et la Banque centrale du Congo (BCC). Les anciens travailleurs des banques liquidées en 2003 à savoir, Banque de crédit agricole (BCA), Banque commerciale du Commerce extérieur (BCCE) et Nouvelle Banque de Kinshasa (NBK) réclament des indemnités de départ s’élevant à 60 millions de dollars.
La Banque mondiale avait prévu à cet effet une enveloppe de 11,5 millions de dollars seulement. Les anciens travailleurs réclament plusieurs avantages qui n’ont pas été pris en compte. Il s’agit de l’application de barèmes de salaires indexés, du paiement des arriérés de 6 à 7 ans d’inactivité, le double préavis réservé aux délégués syndicaux et le calcul de l’indemnité de logement basée sur le salaire brut et non sur le traitement d’activité.Dans une correspondance datée 19 mars 2009 adressée au gouverneur de la Banque centrale du Congo, Jean-Claude Masangu, le Premier ministre Adolphe Muzito ordonnait de procéder «dans les plus brefs délais» au paiement du solde des décomptes finals des 3.480 ex-agents des banques en liquidation. En réponse, la BCC recommandait dans sa lettre du 1er avril 2009 de résoudre cette question au travers du budget de l’Etat de l’exercice 2009 ou en recherchant d’autres ressources ailleurs. Dans l’entendement des ex agents, les 11,5 millions libérés par la Banque mondiale ne constituent qu’une avance. Le solde doit être liquidé avec le produit de réalisation des patrimoines des banques en liquidation. Mais la Banque centrale considère que le produit de liquidation doit être affecté en priorité au désintéressement d’autres créanciers, principalement les déposants afin de restaurer la confiance dans le système bancaire national.
Dans sa réplique du 13 avril 2009, l’Intersyndicale des banques du portefeuille de l’Etat en liquidation forcée exige du gouverneur de la Banque centrale «de traduire dans les faits sans atermoiements funestes, ni tergiversations inconsidérées, la décision du gouvernement, en guise de règlement définitif de l’engagement irrévocable de l’Etat-propriétaire, vis-à-vis des ex-agents, créanciers privilégiés des banques BCA, BCCE et NBK en liquidation forcée.» Un véritable dialogue des sourds est donc engagé. Rappelons que sur injonction du FMI et de la Banque mondiale, la BCC avait décidé à partir de 2002 de mettre en liquidation les banques confrontées à d’énormes difficultés de gestion.
Ces banques se caractérisaient par une insuffisance des fonds propres, par un fonds de roulement négatif, par des pertes d’exploitation cumulées, par l’exclusion de la Chambre de compensation, par la cessation d’activité et par l’absence de toute perspective de relance. Ce conflit démontre tous les problèmes qui vont surgir bientôt à la suite de la réforme du portefeuille de l’Etat qui est en cours. Des entreprises publiques viennent d’être transformées soit en sociétés commerciales, soit en établissements publics, soit en services publics. D’autres, ont été tout simplement liquidées. Il va se poser des problèmes des arriérés de salaires impayés et d’indemnité pour réinsertion sociale des agents.

Jean-Pierre Tsheba © Congoindépendant 2003-2009