Wednesday, August 26, 2009

Le plus vieux prisonnier politique de la RDC

De: eurac info <euracinfo@eurac-network.org>
Objet: Menace d'arrestation après la libération de Antoine NGALAMULUME
Date: Lundi 24 Août 2009, 2h13


Le CODHO annonce la libération conditionnelle Antoine NGALAMULUME MUKWEGE après plus de 3 285 jours d'incarcération dans plusieurs lieux de détention en RD Congo, mais aussi dénonce la menace d'arrestation qui pèse encore sur lui à Kinshasa
Kinshasa, le 22 Août 2009- « C'est une bataille gagnée, mais pas encore la guerre »- Ce bout de phrase est du Comité des Observateurs des Droits de l'Homme (CODHO) basé à Kinshasa, qui a suivi la situation de persécution contre Antoine NGALAMULUME MUKWEGE et consorts depuis début novembre 2000 jusqu'à ce jour.
 
Libération :
 
C'est arrivé, Monsieur Antoine NGALAMULUME a été libéré le 18 août 2008 de la prison centrale de
Makala à Kinshasa (Fiche de libération n°706/08/09) après plus de 3 285 jours de détention dans plusieurs lieux de détention. C'était à la suite de l'exécution de l'arrêté n°MDHAC/CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009 signé par monsieur Charles Mwando Simba, Ministre de la Défense nationale et des anciens combattants ministériel n°MDHAC/ CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009. Il est, à ce jour, le plus vieux prisonnier politique jamais connu dans l'histoire de la République démocratique du Congo. Monsieur NGALAMULUME Mukwege Antoine a été condamné dans la nuit du 24 au 25 en novembre 2000 (cf. RMP024/JL/00) par la COM (Cour d'Ordre Militaire) de triste mémoire à 20 ans de servitude pénale principale pour l'infraction d'atteinte aux institutions de la République, et huit personnes parmi ses consorts ont été immédiatement exécutés par fusillade juste après le verdict.
 
Nouvelle persécution :
 
Mais, aussitôt sortie de la prison Centrale de Makala à Kinshasa, libéré le 18 août 2008, Antoine NGALAMULUME est parti sans ses effets personnels, il reviendra le jour suivant le 19 août à la prison pour ces effets où il a été désagréablement accueilli. Antoine NGALAMULUME a été détenu ce jour là de 10h30 à 16 30 dans le bureau du Directeur du quartier militaire de la prison parce que, selon les sources de CODHO, des contradictions alimentées par des éléments des forces de sécurité basés à cette prison, ont été manifestes au sujet de cette libération dans le chef des certaines autorités, selon les sources de CODHO, notamment le Ministre de la Justice, monsieur LUZOLO BAMBI LESSA, l'Avocat général Militaire MUKUNTU, l'Inspection générale de la Police John NUMBI, l'Administrateur général de l'Agence nationale de renseignement (ANR) qui se sont opposé à cette libération. Après moult discussions et négociations entre d'une par le Directeur du quartier militaire, le capitaine NGOY d'une part et les autres éléments des forces de sécurité basés à la prison centrale de Makala d'autre part. Vers 16 h30, et après avoir reçu l'ordre par téléphone, de sa hiérarchie le Directeur du quartier militaire a libéré pour la seconde fois Antoine NGALAMULUME de la prison, mais avec la consigne : « faites attention, il y a beaucoup d'agitations au sujet de ta libération ». Les 20 août 2009, monsieur Antoine NGALAMULUME a révélé aux enquêteurs de CODHO qu'il a reçu les 20 et 21 août 2009,  des appels de la part des personnes sûres qui ont requit l'animât, l'avertissant qu'un mandat de prise de corps a été lancé par les forces de sécurité de la police nationale contre sa personne. Ce qui oblige Antoine à vivre en clandestinité.
 
Fait :
 
C'était à la suite de l'exécution de l'arrêté n°MDHAC/CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009 signé par monsieur Charles Mwando Simba, Ministre de la Défense nationale et des anciens combattants ministériel n°MDHAC/ CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009 que NGALAMULUME Mukwege Antoine a été libéré. Une liste était annexée à cet arrêté portant les noms des personnes qui ont été jugées par la justice militaire devraient bénéficier d'une libération conditionnelle du faite de leur comportement positive en prison et après avoir purgé le quart de leur peine. Ceux qui s'étaient retrouvé sur cette liste ont été libérés les 13 août 2009, sauf monsieur NGALAMULUME Mukwege Antoine, prétendu faire partie d'un certain « dossier rouge », c'est-à-dire de l'affaire de l'assassinat du président de la République Laurent Kabila.
 
Historique :
 
Pour la petite histoire, CODHO informe l'opinion que monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine a été condamné dans la nuit du 24 au 25 décembre 2000 par la Cour d'Ordre Militaire (COM) pour trahison (infraction politique) dans le procès « affaire Commandant Masasu Nindaga et consorts » sous RMP.024/JL/00 à Cantonnier, une localité située près de la cité de Pweto dans l'Est de la Province du Katanga. Monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine, un des survivants, après son arrestation à Kinshasa début novembre 2000 dans une vague d'arrestation des ressortissants, civils et militaires, des provinces du Kivu –Nord et Sud et Maniema), il a été détenu successivement à la Direction de la Sécurité militaire ex-DEMIAP à Kinshasa/ Kintambo, au GLM à Kinshasa/Gombe, à l'ANR/Kinshasa- Gombe (Agence nationale de renseignements), et par après transféré dans une résidence privée à Lubumbashi avant d'être ramené à Kinshasa dans une autre résidence privé, puis transféré à la prison de Kasapa à Lubumbashi avant d'être transféré dans la localité de Cantonnier près de la cité de Pweto vers le sud-Est de la province du Katanga. C'est dans ce cadre qu'un simulacre de procès sans appel a été organisé pendant deux jours par la COM (Cour d'ordre militaire) et sans avocats. Un dizaine de personnes ont été poursuivies pour atteinte à la sûreté de l'Etat parmi lesquelles un femme portant son bébé de 2 mois. Huit de ces prévenus ont été condamnés à mort et exécuté immédiatement après le verdict qui est intervenu dans la nuit du 24 au 25 novembre 2000. Parmi les survivants figurait monsieur NGALAMULUME Mukwege Antoine qui a été condamné à 20 ans de prison. Tous les condamnés à des peines de prison ont été ramenés, deux jours après, à la prison de Kasapa à Lubumbashi, puis transférés à la maison d'arrêt de Buluwo à Likasi, toujours dans la province du Katanga pour purger leurs peines. Lors du procès de l'assassinat du président Laurent Kabila (assassiné le 16 janvier 2001 à Kinshasa à sa résidence), NGALAMULUME Mukwege Antoine sera transféré à la prison centrale de Makala à Kinshasa en 2002 par le ministère public, Auditeur général militaire, et mêlé des présumés auteurs de la mort de Laurent Kabila. Et lors des inculpations, ce dernier a été poursuivi entre autres du chef « d'atteinte à la sûreté de l'Etat ». Signalons que l'assassinat de Laurent Kabila a eu lieu à Kinshasa le 16 janvier 2001 alors qu'Antoine Ngalamulume était déjà détenu depuis début novembre 2000. Lors de la sentence du 7 janvier 2003 dans le procès « affaire Eddy Kapend et consorts » le juge militaire n'a reconnu aucune infraction et donc aucune peine à charge de NGALAMULUME Mukwege Antoine.
 
La loi n°05/023 du 19 décembre 2005 portant amnistie pour faits de guerre, infractions politiques et d'opinion a renforcé le décret-loi d'amnistie du 15 avril 2003. Ce qui a obligé le Ministre de la Justice à prendre une série d'arrêtés portant application de la loi sus évoquée, notamment l'arrêté n°047/CAB/MIN/J/2006 du 20 mars 2006. Il se fait curieusement que le nom de monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine a été raillé sur la liste des personnes qui devraient bénéficier des mesures d'application de cette loi, alors que tous ses co-condamnés qui étaient incarcérés à la prison de Buluwo à Likasi ont été par cette occasion là en liberté en 2006, sauf à Kinshasa où l'Auditeur général des Forces armées de la RD Congo, autorité compétente pour décider de cette libération s'y opposait jusqu'au 18 août 2009.
 
Recommandation :
 
 Le Comité des Observateurs des Droits de l'Homme (CODHO) recommande aux autorités de la RD Congo de bien vouloir veiller à la protection de la sécurité physique de monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine ainsi que des membres de sa famille.
 
Kinshasa, le 22 Août 2009
N'Sii LUANDA S.  Président CODHO
 
  
 REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
 
Pour tout complément d'information contacter le Bureau CODHO à Kinshasa à l'adresse suivante : Immeuble Vévé Center, 1er étage, L./4 , -2, rue Bongandanga, Quartier Anciens combattants, Commune Kasa- Vubu, Kinshasa ;
B.P. 20 Kinshasa 7, RD Congo
E-mail : codho_kinshasa@yahoo.fr, Téléphone : +243(0) 81 50 89 970

Tuesday, August 25, 2009

Kabila fait séquestrer 3 Journalistes de la Radio Moto

Butembo:
L'ANR séquestre 3 Journalistes de la Radio Moto
Beni-Lubero Online, 25-08-2009

Quelques heures après l'assassinat du Journaliste Bruno Koko Chirambiza de la Radio STAR de Bukavu, 3 Journalistes de la Radio Moto Butembo-Beni (RMBB) ont été brutalement séquestrés par des Agents de l'Agence Nationale des Renseignements (en sigle ANR) de Butembo le dimanche 23 Août au début de l'après-midi. L'opinion locale a lié ces deux faits même s'il n'y pas eu mort d'homme à la RMBB. Ces deux faits déplorables démontrent que la Police Congolaise est plus habile à sévir contre les congolais honnêtes que les bandits qui massacrent les populations et volent leurs biens. Le journaliste qui rapporte un fait macabre est poursuivi ou assassiné pendant que le fait macabre n'est pas condamné et encore mois son auteur qui souvent jouit d'une impunité déconcertante. De là  conclure  que la Police congolaise a choisi le camp des malfaiteurs, il n'y a qu'un cran.


Ce qui s'est passé hier dimanche à la RMBB où réceptionnistes et journalistes en plein travail ont été séquestrés, torturés moralement, mettant fin brusquement à leurs émissions et donc abandonnant des milliers d'auditeurs dans le vide, est une antivaleur qui doit être combattue. Notez que les journalistes de la RMBB étaient interpelés par l'ANR sans convocation, sans ordre de mission ou mandat d'amener, etc. Le seul ordre de mission brandi à Kambali était les fusils AK47, des menottes ou craquants.
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Il est 14h00. Les travailleurs voient à travers les fenêtres que la maison de la radio est encerclée par des policiers armés jusqu'aux dents. Ayant appris la nouvelle de l'assassinat du journaliste Bruno de Bukavu dans la matinée du même jour, c'est la panique qui gagne les esprits.
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Quelques minutes après, certains agents de l'ANR bien armés prennent d'assaut la salle de la réception de la Radio où ils ne trouvent que des demoiselles à qui ils demandent de les suivre à l'extérieur. Les demoiselles ont cru qu'elles avaient à faire à des violeurs qui utilisent le viol des femmes comme armes de guerre au Kivu. Sans se consulter, elles ont toutes refusé d'exécuter l'ordre des policiers de l'ANR sans la permission du responsable de la radio. Aussi, l'une d'elles aurait eu le courage de demander pourquoi la radio était assiégée ? Avant qu'elle n'achève sa question, les menottes ont atterri sur ses deux bras. Silence totale !
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Les Agents de l'ANR poursuivent leur opération en s'introduisant dans la salle de la rédaction et au studio de la Radio. Là ils trouvent en plein travail le Père Assomptionniste Claude VINDU, Journaliste, Mr. Serge SIKULI, Rédacteur en chef, et l'Assistant Edouard Mwengesyali Mumbere, enseignant à l'Institut Supérieur Emmanuel d'Alzon de Butembo (ISEAB), et collaborateur de la RMBB. Sans aucune introduction, ces agents dits de l'ordre, ont crié en Lingala comme à l'époque de l'homme de Kawele où dans certaines provinces où l'on ne parle pas Lingala la Police ne parlait que Lingala, au point qu'il n'y avait jamais de dialogue entre la Police et les administrés qui étaient tout simplement des victimes. Du coup c'est le Lingala qui a retentit dans la salle de rédaction de la RMBB : « Responsable ya radio aza wapi, responsable aza wapi, bino ba sango bokanisaka boza ba intouchables, ba pomba, lelo bokomona,…. ».
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Le premier qui voulait expliquer que les responsables de la Radio ne sont pas présents, n'avait pas fini sa phrase avant que l'un des policiers ne menace de le menotter. Un autre agent de l'ANR a de nouveau donné de la voix : « Bo landa binso. Soki bolingi te, tozomema bino na force »
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Sous menaces et intimidations, et ne comprenant pas quelle faute ils avaient commise, les trois journalistes ont cédé, se laissant escorter jusqu'au bureau de l'ANR  par des policiers surarmés comme s'ils étaient  des criminels.
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Arrivés au bureau de l'ANR, les 3 journalistes qui ne savaient pas quelle infraction leur radio avait commise, ont été de nouveau intimidés par d'autres policiers bien armés qui les ont entourés comme s'ils étaient des criminels dangereux. De nouveau, les journalistes ont demandé pourquoi ils étaient arrêtés. Après des intimidations et des tortures morales, on leur dira qu'ils sont arrêtés parce que leur radio continue de diffuser la page nouvelle de RFI contrairement aux instructions du 6 Août 2009 et du 22 Août 2009 données par le chef de l'ANR-Butembo, Mr Alain LIFONGOLA, et envoyées à toutes les radios locales.
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Les Journalistes de RMBB ont rétorqué qu'ils n'ont jamais reçu ces deux instructions écrites concernant RFI mais qu'ils étaient au courant de la rumeur à propos de la coupure du signal RFI. Prenant son courage en main, un de trois journalistes a demandé quel agent de l'ANR avait été chargé de déposer les instructions de l'ANR à la RMBB et à qui il les aurait remises.
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A cette question l'interrogateur de l'ANR répondit que l'instruction de la veille avait été déposée à la RMBB le dimanche matin à 9h00, c'est-à-dire 5 heures avant la descente de l'ANR au studio de la RMBB, et deux heures après la dernière diffusion de RFI de 6h30'. Si la lettre a réellement été remise au responsable de la Radio, les journalistes n'étaient pas encore au courant, le laps de temps étant trop court. Dans tous les cas, la RMBB n'avait pas encore violée la loi de la lettre déposée en 9h00 du même jour car la dernière rediffusion de RFI avait eu lieu à 6h30'. Si l'interpellation avait eu lieu le lundi ou le mardi, l'ANR pouvait dire qu'il y avait eu violation de l'ordre transmis dans le courrier du dimanche.

Malgré cette incohérence notoire dans la démarche de l'ANR, l'interrogateur voulait incarcérer les trois journalistes. Entretemps, la mauvaise nouvelle se répandait de bouche à oreille à travers toute la ville sachant que la RMBB qui avait suspendu toutes ses émissions du jour, est la radio la plus écoutée en ville de Butembo.
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Selon les travailleurs de la Radio qui nous ont fourni l'information, les Supérieurs des Prêtres Assomptionnistes, responsables de la RMBB, étaient descendus au Bureau de l'ANR-Butembo pour demander la libération de 3 journalistes arrêtés. L'ANR accédera à la demande des Prêtres Assomptionnistes à 21h00, heure locale après plusieurs heures de négociation. Les trois journalistes ont ainsi retrouvé l'air libre après plus de six heures de torture morale.
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Les maisons de presse locale condamnent ce comportement de l'ANR à l'égard de la presse et demandent que l'ANR revoie ses méthodes de travail et de collaboration avec la presse. Dans le cas de la RMBB, l'ANR aurait pu se passer de cet acte cow-boy qui a terni davantage son image ! Assiéger le studio d'une radio qui est au service de la communauté, arrêter brutalement les émissions d'une radio de développement, est un manque de respect vis-à-vis des auditeurs et du métier du journaliste. S'il y a un problème, pourquoi ne pas convoquer le responsable de la radio, pas un dimanche mais pendant un jour ouvrable, lui faire savoir le motif d'accusation, lui donner l'occasion de se défendre, et prendre le cas en délibéré… Selon plusieurs observateurs, la purge dans la magistrature congolaise aurait pu commencer dans l'armée et dans la police où des antivaleurs passent pour la loi moyennant les Kalachnikov.
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Kakule Mathe, Butembo
Beni-Lubero Online

Texte distribué par:
 
Mwalimu Kadari M. Mwene-Kabyana, Ph.D.  Tél. (514) 937-2362  Fax (514) 937-9693

La lutte continue. Peu importe le discours de H. Clinton

Message du Patriote

HILLARY CLINTON A CHOQUE LES PATRIOTIQUES.  LA LUTTE CONTINUE...
 
Nous devons nous concentrer sur la mobilisation a l'intérieur comme a l'exterieur du pays. Par mon expérience, les dirigeants occidentaux ne sont pas sensibles a des manifestations par des etrangers. Ils ne comprennent que lorsqu'ils déctectent des signaux que nous sommes capables de mettre leurs interets en difficulté.
 
Nous devons donc  adopter des methods auxquelles ils sont sensibles et surtout influencer leur électorat qui les juge et dont ils ont peur. Nous devrions par exemple planifier beaucoup  d'activités avec des universités aux USA, en Europe, au Japon, au Canada, etc. afin de dénoncer avec éfficacité la tragédie qui déroule au Congo. Par ailleurs, nous devons  continuer a communiquer notre position a travers les médias, leur montrer que nous connaissons tous les plans des prédateurs étrangers et que nous n'allons pas les laisser exploiter et piétiner notre peuple inpunément et indéfiniment. Par example, il est impérieux de dénoncer immédiatement le plan de recolonization du Congo qui se trame derriere les murs a Washington, Londres, Bruxelles, Paris  en utilisant les options militaires telle que l'AFRICOM.

 

Il y a deux choses tout a fait différentes: l'une est la course au pouvoir pour le pouvoir et l'autre est la lutte pour la libération du pays. Libéerer et protéger un pays nécessite la présence d'une armée des jeunes mobilises et conscientises, qui ont le courage de se prendre en charge ainsi que de s'attaquer a l'impérialisme et a la dictature. Ceci demande un investissement important et un travail ardu. C'est notre devoir patriotique, du moins pour ceux qui ont compris. Nos jeunes ont compris, je crois que ce sont ceux qu'on appelle "aines" qui n'ont pas compris Beaucoup de nos compatriotes de la Diaspouri sont hélas aussi corrompus que l'entourage de l'imposteur-président Joseph Kabila. Les jeunes vivant au Congo ont besoin des models, des exemples, des idéologues a suivre. Et c'est en ce moment que les vrais patriotiotes,  comme toi  qui lis et comprends ce message, doivent entrer en jeu.

Le combat de libération se mene d'abord sur terrain au Congo; mais il faut beaucoup de moyens et de resources humaines pour produire l'effet de bombe populaire recherché. La diaspora peut y contribuer a réunir ces moyens. C'est son role et son devoir. Voila comment nous pouvons libérer le Congo et retrouver notre souveraineté. Heureusement, le temps et le Créateur sont de notre cote. La Victoire sera notre.

 

Matthias

Bukavu, Sud Kivu

Sunday, August 23, 2009

Le Congo du 15 au 24 Aout 2009

Exploitation de l'énergie électrique à base de ressources géo-thermales au Katangta
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Une firme américaine, Trans Gaz Energy, a annoncé jeudi à Kinshasa, l'exploitation de l'énergie électrique à base de ressources géo-thermales dans la province du Katanga au sud-est de la République démocratique du Congo (RDC). Le président de cette firme, Kim Barkan a informé le ministre ...
 
Washington - Kinshasa/Coopération militaire : Africom en RDC
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Le Commandement militaire des Etats-Unis en Afrique (Africom) basé à Stuttgart (Allemagne) est en train de chercher un pays disposé à abriter son siège sur le continent. Si jamais la RDC serait pressentie pour ce faire, cela pourrait susciter un débat intéressant sur la mission dévolue aux ...
 
Alan Doss rassure Muzito: 3.000 nouveaux casques Bleus pour chasser les Fdlr et consorts !
(La Prospérité 21/08/2009)
Des progrès sont réalisés dans la sécurisation de deux Kivu. C'est Alan Doss, le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies qui en a parlé à Muzito, de vive voix, lors d'un entretien hier, à l'Hôtel du Gouvernement. Muzito qui a inscrit dans son programme gouvernemental la ...
 
Symposium de l'ABCA à Kinshasa/Politique monétaire en Afrique : les banquiers centraux plaident pour leur indépendance
(Le Potentiel 21/08/2009)
Les banques centrales africaines, en réunion à Kinshasa, reconnaissent la nécessité d'asseoir leur politique monétaire sur le ciblage de l'inflation. Mais, le préalable reste le soutien « La formulation de la politique monétaire en Afrique : pertinence du ciblage de l'inflation » a été le ...
 
Starec prend la relève du Programme Amani
(Radio Okapi 21/08/2009)
Créé par le président de la République, le Starec, Plan de stabilisation et de restauration des régions affectées par les conflits, a été présenté ce jeudi 20 août à Kinshasa. Le Programme des Nations Unies pour le développement, Pnud, appelle à la mobilisation des fonds pour financer ce plan ...
 
Les « vérités » de Colette Braeckman: « Si les Congolais n'avaient pas résisté, le Congo aurait déjà été démembré depuis longtemps »
(Le Potentiel 21/08/2009)
Dans une interview accordée à Tony Busselen du journal Solidaire, Colette Braeckman, journaliste au Soir, quotidien belge, évoque les derniers moments de l'actualité congolaise. Fait intéressant, elle s'attarde sur un complot international visant la balkanisation de la RDC ainsi que l'une des ...
 
Monuc: 3 000 hommes pour renforcer la Monuc d'ici fin octobre
(RFI 21/08/2009)
3 000 casques bleus viendront renforcer les troupes de la Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc), d'ici fin octobre. L'effectif de la Monuc s'élèvera alors à un peu plus de 20 000 hommes. Ce nouveau renfort illustre bien les difficultés rencontrées par cette ...
 
Les gouverneurs des banques centrales africaines échangent sur le ciblage de l'inflation
(Xinhuanet 21/08/2009)
La réalisation d'un taux d'inflation faible accélère l'intégration régionale et la stabilité du niveau général des prix, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC), Jean-Claude Masangu, lors du symposium sur la formulation de la politique monétaire, pertinence du ciblage de ...
 
RDC-Belgique : signature prochaine du nouveau programme indicatif de développement
(Le Potentiel 21/08/2009)
Une fois de plus l'agenda du ministre de la Coopération internationale et régionale était plein. La journée du jeudi 20 août a confirmé une réalité qui s'est déjà installée sur l'avenue de la Justice, dans la commune de la Gombe, où se trouve le cabinet du ministre. Comme cela est de ...
 
Enfin du renfort, pourquoi faire ?
(L'Avenir Quotidien 21/08/2009)
La Monuc aura enfin les 3.000 hommes supplémentaires. Pour en arriver là, il avait fallu batailler dur comme fer. Tout s'est passé comme si la situation en Rdc n'était pas suffisamment préoccupante. L'on se souviendra que lorsqu'il était question de constituer cette mission, la communauté ...
 
DDRRR : 11.577 ex-combattants FDLR et leurs dépendants déjà rapatriés
(Radio Okapi 21/08/2009)
De janvier à août 2009, 11.577 ex-combattants hutus rwandais et leurs dépendants ont pu être rapatriés par le bureau de la Division pour la Démobilisation, le Rapatriement, la Réinsertion et la Réinstallation, DDRRR, de la Monuc et le HCR. Un chiffre record par rapport aux années antérieures, ...
 
En Rd-Congo : la 33ème réunion de l'ABCA a posé les bases d'une intégration monétaire, financière et économique
(L'Avenir Quotidien 21/08/2009)
Les pères des indépendances africaines ont rêvé d'un continent devant aspirer à une Afrique sans murailles monétaires. Une Afrique où les facteurs de la croissance économique joueront pleinement pour permettre aux États respectifs de relever les cinq défis majeurs dont la stimulation des ...

Source: africatime.com/rdc

Le "général" semi-analphabete John Numbi Banza et le «bon de ristourne»

 

Le "général"  semi-analphabete John Numbi Banza de la Police nationale.
La tracasserie policière connue sous l'appellation de «bon de ristourne» perpétuée par certains éléments inciviques de la Police spéciale de roulage (PSR) sur les artères principales de la ville de Kinshasa se consolide davantage, au fils des jours, a constaté l'ACP depuis un certains temps.

Cette pratique s'applique généralement aux véhicules commun et autres véhicules des commerçants sur les carrefours et aux autres coins des avenues occasionnant un blocage ou un bouclage express de la circulation dans un sens comme dans l'autre par les éléments de la police routière qui en profitent pour rançonner les conducteurs de ces véhicules.

Souvent, c'est auprès des conducteurs qui desservent le même itinéraire pendant toute une journée que des inciviques de la PSR s'abattent sur eux. Les conducteurs qui s'accommodent à cette pratique sont d'office protégés par les agents rançonneurs de la PSR et sont, ipto facto, «exceptés» du contrôle des documents de bord et des sanctions en cas de violation du code de la route.

Les carrefours les plus utilisés pour cette pratique se trouvent être la route des poids lourds à l'entrée du camps militaire de la marine appelé communément «arrêt Baramoto», au croisement des avenues Kabambare et Kasaï, Kasaï et Kato et Kasa- Ruakadingi dans la commune de Barumbu, à l'entrée du port privé «Appolo» voire à la Nationale n° 1 (Matadi-Kinshasa) et (Bandundu - Kinshasa).

Interrogés par l'ACP, quelques conducteurs affirment que dans un carrefour, ils remettent à chaque agent 200fc, 300fc, parfois 500fc. Un agent femme affectée souvent au carrefour des avenues du Kasaï et Rwakadingi dans la commune de Barumbu, qui refuse catégoriquement de prendre 200fc exige plutôt 500fc alors que ses co-équipiers acceptent volontiers 200fc.

Cette situation créé une familiarité ente les conducteurs corrupteurs et les agents corrompus de la PSR, si bien que la loi perd sa rigueur et l'impunité s'installe. Seuls les conducteurs, qui ne s'apprêtent pas à cette pratique déshonorante, subissent la rigueur de la loi.

L'opinion en appelle à l'intervention des autorités publiques compétentes et plus particulièrement aux responsables de ce corps de police de mettre tout en œuvre pour sévir les coupables avec la dernière énergie car l'honneur du pays en dépend.

(D'après ACP)
© Congoindépendant 2003-2009

... l'élimination prochaine de Joseph Kabila !?

 
 
REVELATION: Une voyante britannique annonce et prédit l'élimination prochaine de Joseph  Kabila. Réponses aux questions posées: S'agit-il d'une disparution "politique" ou "physique" ? Quels en sont les signes précurseurs a observer ? Qui seront les "auteurs" de cette disparution ? Qui en seront les bénéficiaires immédiats ? Dans son tres proche entourage, on rappelle que Joseph Kabila Kanambe a  lui-meme souvent évoqué sa crainte d'une mort subite, notament lors de ses visites a Cambridge aux USA, a Séoul en Corée du Sud et au Nord Kivu.
Joseph Kabila est hanté en permanence par une peur quasi maladive d'un assassinat ou empoisenement. Il se méfie meme de ses parrains rwandais. Que dit exactement la voyante britannique et qu'en pensent les congolais a Londres ? 
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Des faussaires et escrocs congolais a Dallas

 
Des faussaires et escrocs congolais a Dallas
 
ATTENTION: Raphael Katende, chef d'un groupe de faussaires et escrocs congolais a Dallas (USA) collecte actuellement de l'argent des naifs de la diaspora. Il est inconnu de la Communauté Congolaise de Dallas (www.ccdfw.org). Ses pseudo sur internet sont "Papa Alidor" et  "Papa Kalala". Exigez de connaitre son adresse, son téléphone et son emploi. Vous serez alors édifié. Ne donnez pas votre argent naivement. Vérifiez d'abord !  Cliquez >>>