Friday, August 10, 2012

Deux Presidents Congolais a Toronto (Canada)

Le Conseil Patriotique Congolais se reunit samedi 11 aout 2012 au Canada
www.congonetradio.com/cpc

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VIDEO: Tres important debat des presidents de la Communaute congolaise de la Grande Region de Toronto; 1ere Partie
http://www.muboo.tv/2012/08/10/debat-des-presidents-de-la-communaute-congolaise-de-la-grande-region-de-toronto/

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ALERTE EN RSA
Kabila fait faire arreter les combattants

Le President des Patriotes-Combattants de Johannesburg Michel Ndjovu et le combattant Joh Sokoro viennent
d'etre arretes par la Police sud-africaine sur demande des kabilistes collabos
Ali Bokuma et Dr Fabien .

Veuillez appeller le cell No. du Commandant de la Police +27 822539867 pour exiger leur liber
ation.

Vous n'etes pas oblige de donner votre identite. Ca suffit de juste dire " Free Michel and Joh"

Tosala pression makasi.
Bo panza numeros oyo
Bobenga bango babimisama ba ndeko oyo.
je fais des demarches deja, mais j'ai besoin de votre appui. C'est tres important

Les numeros des collabos Ali Bokuma (+27 83 95 57571) et Dr Fabien (+27 791831031).


Jean-Pierre A. Lukamba Om.
REFUGEE HELP DESK - Chairperson
jeanpiealumba@gmail.com

Wednesday, August 08, 2012

JoBourg: Kabila fait arreter des combattants en Afrique du Sud. FLASH ALERTE !!!

ALERTE EN RSA
Kabila fait faire arreter les combattants

Le President des Patriotes-Combattants de Johannesburg Michel Ndjovu et le combattant Joh Sokoro viennent
d'etre arretes par la Police sud-africaine sur demande des kabilistes collabos
Ali Bokuma et Dr Fabien .

Veuillez appeller le cell No. du Commandant de la Police +27 822539867 pour exiger leur liber
ation.

Vous n'etes pas oblige de donner votre identite. Ca suffit de juste dire " Free Michel and Joh"

Tosala pression makasi.
Bo panza numeros oyo
Bobenga bango babimisama ba ndeko oyo.
je fais des demarches deja, mais j'ai besoin de votre appui. C'est tres important

Les numeros des collabos Ali Bokuma (+27 83 95 57571) et Dr Fabien (+27 791831031).


Jean-Pierre A. Lukamba Om.
REFUGEE HELP DESK - Chairperson
jeanpiealumba@gmail.com

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Le Conseil Patriotique Congolais se reunit samedi 11 aout 2012 au Canada
www.congonetradio.com/cpc

Monday, August 06, 2012

Fwd: Cardinal Monsengwo a-t-il trahi ? A-t-il peche par omission ? A-t-il eu peur ?

 

www.congonetradio.com/cpc

--- En date de : Dim 5.8.12, Omer N'Kamba <omernkamba@yahoo.fr> a écrit :

Le Congo, notre patrie, est menacé dans son existence comme Etat à cause notamment des visées expansionnistes de certains de ses voisins dont le Rwanda. Aussi, l'intangibilité de ses frontières héritées de la colonisation risque-t-elle d'être remise en cause avec la complicité bienveillante du régime d'essence rwandaise au pouvoir à Kinshasa.
Quoi de plus normal qu'au moment où la chute de Goma semble imminente que des Congolais se mobilisent avec des moyens à leur disposition pour dire non à la balkanisation de leur pays ? Les catholiques l'ont fait jeudi dernier sur presque l'ensemble du territoire national.
Si on peut saluer l'initiative de l'église catholique, il importe de la replacer dans son contexte réel, celui du symbole. C'est tout. Que les Congolais marchent, au Congo et/ou à l'étranger pour dire non à la balkanisation de leur pays, ce n'est pas cela qui va arrêter l'avancée du M23 vers Goma, ville que les rebelles pourront occuper très bientôt sans même combattre.
L'heure de vérité a sonné pour l'église congolaise, qu'elle soit catholique ou outre. Elle doit sortir de sa nonchalance et surtout cesser de prêcher la résignation. Il faut maintenant que l'évangile serve à indiquer au peuple congolais le chemin de la libération.
Que Mgr Diomi, président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) prenne langue avec le ministre PPRD de l'Intérieur pour obtenir que les Catholiques soient autorisés à marcher contre la balkanisation du Congo, cela peut raisonnablement poser question car pareille démarche semble répondre à la mobilisation lancée par le gouvernement de la kabilie. La déclaration faite à ce sujet par le ministre PPRD de l'Intérieur se passe de tout commentaire : « cette manifestation est une réponse à la mobilisation nationale lancée par le gouvernement contre la guerre dans l'Est du pays ». Et d'ajouter : « il est temps que nous constituions un front pour faire face au complot qui se trame à l'Est de notre pays ».
Que Mgr Diomo et ses pairs, qui ne sont pas amnésiques, se souviennent de ce qu'il y a peu la marche initiée le 16 février 2012 à l'appel de l'église catholique pour dénoncer l'absence de transparence après les élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2011 a été non seulement interdite et mais aussi réprimée dans le sang.
C'est pourtant la même église catholique, par la voix du cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, archevêque de Kinshasa, qui avait affirmé que les résultats des élections n'étaient ni conformes à la vérité ni à la justice, mettant en exergue le fait que les observations de la CENCO et celles des observateurs nationaux et internationaux du scrutin posaient sérieusement une question de crédibilités desdites élections !
Alors qu'il disposait des résultats communiqués en « off » par l'Assistance électorale internationale, le cardinal Monsengwo fera profil bas et, en matamore, il invitera les contestataires à interjeter l'appel à la Cour suprême de justice, et à recourir aux voies de droit et à ne pas se livrer à la violence.
Sans chercher à tourner le couteau dans la plaie, on ne peut ne pas légitimement se demander pourquoi Laurent Monsengwo Pasinya n'a pas révélé les résultats en sa possession d'autant plus que dans le rapport de la CENI publié le 3 mars dernier et intitulé « Les élections présidentielles et législatives du 28 novembre 2011 en RDC, défis, stratégies et résultats », Daniel Ngoy Mulunda Nyanga reconnaît que les chiffres ayant fait l'objet de la communication du cardinal Monsengwo (NDRL : chiffres non jamais divulgués) « sont venus d'un agent de l'Assistance électorale internationale qui a communiqué par email avec ses supérieurs hiérarchiques avant de remettre le texte au cardinal qui s'en est approprié ».
Dès lors, il est évident que par action ou inaction, Monsengwo Pasinya a participé à la conjuration contre l'émancipation politique du peuple congolais à qui on nie le droit de se choisir les dirigeants en qui il a confiance. Il en est de même du yankée Roger Meece, représentant de l'ONU au Congo à démocratiser, qui en dépit des informations pertinentes de l'Assistance électorale internationale en sa possession, ira témoigner au Conseil de sécurité, contre tout bon sens, du bon déroulement des élections de novembre 2011.
Voilà qu'après avoir installé Kabila au pouvoir à la suite d'un hold-up électoral, le même Roger Meece revient encore une fois devant le fameux Conseil de sécurité, pour annoncer que l'avancée des rebelles du M 23 mieux armés et mieux équipés vers Goma est inexorable tout en doutant de la capacité de l'armée gouvernementale à résister devant les rebelles !
En fait, de résistance des rebelles, la situation est plus que confuse sur le théâtre des opérations et la conjuration parait plus qu'évidente.
Des sources dignes de foi renseignent que des armes (auto-blindés, hélicoptères de combat) ainsi que des munitions ont été évacuées de Goma vers Bukavu pour laisser le champ libre au M 23.
Ce n'est donc pas par hasard si le yankée Meece prépare déjà l'opinion quant à l'éventualité de la chute de Goma sans combat en doutant de la capacité de l'armée gouvernementale de résister. Ce ne serait donc pas surprenant que le chef-lieu du Nord-Kivu tombe sans combat. Cela a une autre raison bien particulière : les bonzes du M 23 disposent des affaires florissantes à Goma et n'entendent pas « insécuriser » leurs propres investissements. En bonne intelligence avec Kinshasa, Goma devra leur être cédée pacifiquement de manière à préserver leurs villas, stations d'essence, hôtels, alimentations, dépôts des minerais, usines à café et de cigarettes. Il s'agit en fait des affaires qui prospèrent mieux à Goma qu'à Kigali où la sécurité juridique ne leur semble pas garantie.
Pour ceux qui doutent encore de l'entente cordiale entre le cheval de Troie au pouvoir à Kinshasa et le M 23, un militaire venu du front et dont il importe de faire mystère de l'identité révèle que les pilotes des hélicoptères de combat de l'armée gouvernementale sont des Tutsi rwandais. On peut dès lors comprendre pourquoi ils bombardent les lignes avancées des FARDC.
Il y a plus. Pour acheminer des armes, voire des biscuits aux troupes de l'armée gouvernementale au sol, Kabila loue des avions civils appartenant aux Tutsi notamment (Gomair, Service Air…).
Il n'est donc pas étonnant, dans ces conditions, que toutes les informations stratégiques soient connues en détail par les « ennemis » de la kabilie !
Nos sources renseignent d'ailleurs que dans sa réplique au rapport de l'Onu qui l'accuse de soutenir le M 23, Kigali se déclare non coupable et se désengage de toute responsabilité au motif qu'il n'utilise plus depuis 2009 les types de mortier auxquels recourt le M 23. Or, c'est à la même période que lesdites armes avaient été cédées au CNDP qui était devenu subitement plus performant au point mettre en déroute les FARDC ! La suite n'exige pas un dessin pour être saisie quand on sait que le M 23 est l'autre nom du CNDP qui est allié du PPRD dans la fameuse majorité présidentielle.
Sans vouloir prêcher la haine, ce qui serait contraire à la charte fondatrice de Congoone, on ne peut faire la politique de l'autruche en refusant de s'interroger sur les objectifs non avoués par une certaine communauté tutsi dite congolaise qui est la seule ethnie « congolaise » à exiger des droits, armes à la main, avec la complicité de quelques lèche-bottes congolais quand on sait que comme minorité nationale, les Tusti représentent l'ethnie la mieux servie du Congo à démocratiser. Un perspicace confrère au fait des secrets d'Etat révèle que les Tutsi occupent nombre des postes de responsabilité au niveau national qu'ils n'auraient dû au regard de leur poids démographique et politique.
Ainsi, au niveau de l'armée et de la police, la minorité tutsi aligne à elle seule neuf généraux : le général Jean Bivegete, il est auditeur général de l'armée ; le général Masunzu est commandant adjoint à la 10e région militaire à Bukavu ; le général Malick Kijege est inspecteur général de l'armée à Kinshasa ; le général Obed Rwibasira est commandant de la 5e région militaire à Kananga ; le général Mustapha Mukiza est commandant de la Base militaire de Kitona, le général Charles Bisengimana est inspecteur général de la police nationale congolaise ; le général Jérôme Gagakwawu est à l'état major général de l'armée à Kinshasa. Les généraux Nkunda Laurent et Bosco Ntaganda nommés par décret présidentiel de Joseph Kabila sont aujourd'hui dans la rébellion. Il faut y ajouter au moins 19 colonels tutsi dans le commandement de l'armée gouvernementale et plus de 300 majors !
Alors qu'au niveau national les Tutsi congolais n'alignent que deux sénateurs et un député national issu du MLC, et zéro député provincial, le nombre d'officiers généraux et supérieurs issus de leur ethnie est curieusement supérieur à tous les gradés militaires de toutes les autres tribus du Nord et Sud-Kivu réunis ! Il serait d'ailleurs fastidieux d'énumérer ici la longue liste des représentants de la communauté Tutsi au niveau des dirigeants des entreprises publiques et autres importants services de l'Etat. Même à l'époque de Mobutu et de Bisengimana Rwema, les tutsi n'ont jamais été aussi bien servis !
Toutes choses restant égales par ailleurs, les Congolais n'ont plus de choix mais une solution : unir leurs forces, dans la diaspora comme sur la terre de leurs ancêtres, pour détruire le cheval de Troie au pouvoir à Kinshasa. L'ajustement politique ne pourra suivre qu'après.
L'élite congolaise, dans sa diversité, doit s'y mettre sans attendre, car la mission d'une élite responsable est de trouver des solutions et donner une perspective d'avenir à son peuple et non d'ériger un mur des lamentations.

 


Sunday, August 05, 2012

Les kasaiens du CDPS et autres qui voulaient la mort de Tshisekedi

CDPS = Une vraie bande d'imbeciles et traitres qui croyaient que trahir Tshisekedi, Chef de l'Etat elu de la RDC, leur apporterait bonheur et richesse. Ils mourront tous comme des chiens et des rats. Wait and see
Ces kasaiens du CDPS et autres qui voulaient la mort de Tshisekedi:
 
Lambert Ngoi
Citoyen de la RD Congo
Japon 

 
COORDINATION DU GRSC-CDPS-E imbeciles politiques en RDC
Groupe de Réflexion & de Stratégique des Cadres du CDPS Extérieur
Contact: +33623356208 Traitres-collabos
contact.grcpudps@gmail.com 
http://www.cdpsmedias.com - http://www.cdps-rdc.com

Kabila, Munene et Ngbanda sont-ils betes ?

Kabila Kanambe, Munene et Ngbanda sont-ils betes ?
Chers Compatriotes,
Les congolais ne chasseront pas Kanambe et les collabos avec des analyses, des prieres et des marches.
Seule la force contraindra les voyous au pouvoir a partir, mieux a fuir Kinshasa. Penser le contraire est une betise.
Si l'AFDL n'avait pas recouru a la force, Ngbanda et Mobutu seraient encore au pouvoir a Kinshasa.
Si Kanambe ne l'avait pas fait mitraille, Mzee Kabila serait encore au pouvoir a Kin.
Si des commandos, Ninjah ou kamikaze ne sont pas recrutes a Kin, Kanambe et les collabos rwandophiles continueront a diriger la RDC par defi.
Ngbanda, ministre de la defense en RDC, a trahi et abadonne les FAZ face aux envahisseurs rwandais. C'est un criminel notoire qui ne peut diriger ou inspirer la Resistance en RDC. Munene delire en permanence.
Kanambe est bete et fou de penser que les tous congolais sont incapables de violence. Tous n'ont pas peur de lui ou des rwandais. Il leur manque seulement des moyens financiers adequats... pour l'instant.
Lambert Ngoi
Citoyen de la RD Congo
Japon Tel/Sms +819084538549


Prions et Agissons Ensemble __ Dimanche 05 AOUT 2012

Bon dimanche et heureuses vacances à tous.
P. Luigi   
 
 
 

A la recherche de Jésus

18e dimanche TOB  - 05 aout 2012

 

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean : Jn 6, 24-35

La foule s'était aperçue que Jésus n'était pas au bord du lac, ni ses disciples non plus. Alors les gens prirent les barques et se dirigèrent vers Capharnaüm à la recherche de Jésus. L'ayant trouvé sur l'autre rive, ils lui dirent : « Rabbi, quand es-tu arrivé ici ? »

Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé du pain et que vous avez été rassasiés. Ne travaillez pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui se garde jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l'homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son empreinte. »

 

Ils lui dirent alors : « Que faut-il faire pour travailler aux œuvres de Dieu ? »

Jésus leur répondit : « L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé. »

Ils lui dirent alors : « Quel signe vas-tu accomplir pour que nous puissions le voir, et te croire ? Quelle œuvre vas-tu faire ? Au désert, nos pères ont mangé la manne ; comme dit l'Écriture : Il leur a donné à manger le pain venu du ciel. »

 
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain venu du ciel ; c'est mon Père qui vous donne le vrai pain venu du ciel. Le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. »

Ils lui dirent alors : « Seigneur, donne-nous de ce pain-là, toujours. » Jésus leur répondit : «Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n'aura plus jamais faim ; celui qui croit en moi n'aura plus jamais soif. »

Dimanche dernier, nous avons lu dans l'évangile de Jean le récit de la multiplication des pains ou mieux de la distribution de 5 pains d'orge et de deux poissons pour une foule immense, dont  5.000 hommes.  Aujourd'hui et la semaine prochaine, nous lisons la suite de ce récit. C'est le grand discours de Jean sur le pain de vie, mais c'est aussi  une longue discussion animée entre Jésus et les Juifs. Nous sommes, comme les foules de l'évangile d'aujourd'hui, à la recherche de Jésus.

 Il lui dit et  il nous dit : « Ne travaillez pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui se garde jusque dans la vie éternelle ». 

L'Évangile est une bonne nouvelle et non une leçon de bonne conduite et de morale du partage. Toute la question est donc de savoir quel est ce pain venu du ciel donné par Dieu ? Et pourquoi ce pain ?

Il ne s'agit pas d'attendre que quelque chose nous tombe du ciel, mais plutôt de vivre le message que Jésus nous a transmis, de se nourrir de lui dans chacune de nos actions. Comme le dit Saint Paul, nous devons nous laisser guider intérieurement par un esprit renouvelé.

Nous devons faire confiance à la vie, car Dieu lui-même prend soin de nous. Dans un monde qui soigne bien son propre corps, mais qui tient moins compte de la vie des êtres humains, car on tue très facilement et avec tous les moyens, dans un monde pareil ce discours de Jésus me semble fondamental et nécessaire. Avoir foi en la parole de Jésus, tout est là. Sa parole est parole de vie, elle est nourriture substantielle, elle est don de Dieu. Aucune évidence miraculeuse ne nous est donnée, aucune assurance, aucune preuve.

 Jésus dit toujours la vérité, pas de mensonges en Lui, pas de discours à double sens… L'univocité est très grande !.

Le monde de la vie s'ouvre à vous quand, tout d'un coup, nous parvenons à bien voir au-delà de l'immédiat. Quand, tout d'un coup, un événement nous amène à un tournant de notre vie, telle une parole qui nous étonne et qui rejoint notre faim de spiritualité dans la traversée de nos déserts.

Jésus est le pain véritable, un pain qui demeure pour la vie éternelle, qui donne la vie éternelle. Un pain qui rassie.  Souvenons-nous toujours de cela, nous qui sommes dans une société où la dimension mercantile envahit peu à peu tous les domaines de la vie, jusqu'aux fondements mêmes de notre vie. C'est dans la pratique soutenue de notre foi que nous trouverons les forces nécessaires pour envisager avec courage, non seulement les réalités du présent, mais les défis de l'avenir.

 Toujours à la recherche de Jésus, toujours à la recherche de son chemin, toujours à la recherche pour donner consistance à la vie quotidienne.

Nous devrons travailler fort et dur, encore faut-il bien poser la question   : « Que faut-il faire pour travailler aux œuvres de Dieu ? » Jésus a donné la réponse aux foules qui le suivaient et cette réponse s'adresse à nous aussi : « L'œuvre de Dieu c'est que vous croyez en celui qu'il a envoyé. » Jésus nous lance une invitation à faire mille miettes de nos vies, à en faire l'ingrédient quotidien dont Dieu se sert pour se révéler et combler la faim de notre cœur. C'est dans le dépouillement qu'il nous comble, dans l'abandon qu'il se donne à nous, dans l'oubli de soi qu'il nous trouve, dans la pauvreté qu'il est notre richesse. C'est ainsi que nous trouvons Dieu.

Ne donnons pas à manger du vieux pain rassis trop longtemps enfermé dans nos garde-manger poussiéreux. Donnons de ce pain frais, le pain d'aujourd'hui pour aujourd'hui, comme la manne, un pain pétri de vie et cuit au feu de l'Esprit. Le désir de vivre du pain de Dieu n'est pas prêt de s'éteindre, car cette demande est toujours présente :

« Seigneur, donne-nous toujours de ce pain là ! Pour les nourrir il fait pleuvoir la manne, il leur donne le froment du ciel. » (PS.77)

Bonnes et heureuses vacances à tous !.

 © kakaluigi 5 aout 2012

Lecture du livre de l'Exode : Ex 16, 2-4.12-15

 Dans le désert, toute la communauté des fils d'Israël récriminait contre Moïse et son frère Aaron. Les fils d'Israël leur dirent : « Ah ! Il aurait mieux valu mourir de la main du Seigneur, au pays d'Égypte, quand nous étions assis près des marmites de viande, quand nous mangions du pain à satiété ! Vous nous avez fait sortir dans ce désert pour faire mourir de faim tout ce peuple assemblé ! »

Le Seigneur dit à Moïse : « Voici que, du ciel, je vais faire pleuvoir du pain. Le peuple sortira pour recueillir chaque jour sa ration quotidienne, et ainsi je vais le mettre à l'épreuve : je verrai s'il obéit, ou non, à ma loi. J'ai entendu les récriminations des fils d'Israël. Tu leur diras : 'Après le coucher du soleil, vous mangerez de la viande et, le lendemain matin, vous aurez du pain à satiété. Vous reconnaîtrez alors que moi, le Seigneur, je suis votre Dieu.' »

Le soir même, surgit un vol de cailles qui recouvrirent le camp ; et, le lendemain matin, il y avait une couche de rosée autour du camp. Lorsque la couche de rosée s'évapora, il y avait, à la surface du désert, une fine croûte, quelque chose de fin comme du givre, sur le sol. Quand ils virent cela, les fils d'Israël se dirent l'un à l'autre : « Mann hou ? » (ce qui veut dire : Qu'est-ce que c'est ?), car ils ne savaient pas ce que c'était. Moïse leur dit : « C'est le pain que le Seigneur vous donne à manger. »

Psaume : 77, 3.4ac, 23-24, 25.52a.54a

 

R/ Donne-nous Seigneur, le pain du ciel !

Nous avons entendu et nous savons

ce que nos pères nous ont raconté ;
nous le redirons à l'âge qui vient,
les titres de gloire du Seigneur,

 Il commande aux nuées là-haut,

il ouvre les écluses du ciel :
pour les nourrir il fait pleuvoir la manne,
il leur donne le froment du ciel.

Chacun se nourrit du pain des forts,

il les pourvoit de vivres à satiété.
Tel un berger, il conduit son peuple,
Il les fait entrer dans son domaine sacré.