Wednesday, June 27, 2012

Kabila accuse Diomi Ndongala de viol: mensonge !?

Kabila accuse Diomi Ndongala de viol : mensonge !?
MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE CONCERNANT LES ALLEGATIONS DE CERTAINS ORGANES DE PRESSE PROCHES DU POUVOIR VISANT A SALIR LA CREDIBILITE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DC, EUGENE DIOMI NDONGALA.
C'est avec surprise et étonnement que les militants de la Dc ont été informés par des organes de presse proches du pouvoir kabiliste qu'une accusation de viol pendait sur le chef du President Diomi Ndongala. En particulier, le journal direct.cd s'est illustré à divulguer ces fausses informations.

Publié le 28 juin 2012by mpp


MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE CONCERNANT LES ALLEGATIONS DE CERTAINS ORGANES DE PRESSE PROCHES DU POUVOIR VISANT A SALIR LA CREDIBILITE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DC, EUGENE DIOMI NDONGALA

LES FAITS :

Depuis le 26/06/2012 à environ 22h00, un groupe de policiers aux ordre du Colonel Kanyama, alias esprit de mort, sont descendus au nombre de 40 éléments au siège de la Démocratie Chrétienne sur Avenue Colonel Ebeya, où pendant toute la journée il y eu une grande affluence de militants et sympathisants en vue de l'organisation prévue  le 27/06/2012 à la Cathédrale Notre Dame de Fatima de la cérémonie de signature de la Charte Constitutive de la MPP, Majorité  Présidentielle Populaire, par plus de 40 partis politiques de l'opposition.

Sans aucune raison apparente, les policiers ont effectué la descente très musclée et ont arrêté les sentinelles trouvées sur place. Quand les policiers sont descendus, aucun cadre de la DC n'était sur place. Dans l'enceinte de la parcelle restaient seulement quelques militants qui organisaient le déplacement des militants de la DC vers la Cathédrale Notre Dame du Congo pour le lendemain.

Le Secrétaire General de la DC, Freddy Kita, a demandé à l'avocat de la DC de prévenir l'auditorat militaire de la présence abusive de ces nombreux militaires armés dans l'enceinte du siège national de la DC. L'auditorat a constaté les faits, tout en demandant au Colonel Kanyama des explications que celui –ci n'a jamais données, ne répondant pas à la demande de réquisition du Procureur général.

L'état de siège des locaux de la DC a durée jusqu'u lendemain matin, quand les dirigeants de la DC ont été informés de  l'entrée par effraction des policiers aux ordres du Colonel Kanyama dans les bureaux de la DC et dans les autres locaux de l'immeuble abritant le siège de la DC, en absence des dirigeants du parti et en absence d'un quelconque mandat de la justice.

C'est avec surprise et  étonnement que les militants de la Dc ont été informés par des organes de presse proches du pouvoir kabiliste qu'une accusation de viol pendait sur le chef du President Diomi Ndongala. En particulier, le journal direct.cd s'est illustré à divulguer ces fausses informations.

En effet, les dirigeants de la Dc tiennent à souligner ce qu'il suit :
Le Président Eugène Diomi Ndongala n'a rencontré que des délégations politiques qui devaient prendre part à la cérémonie de signature de la Charte Constitutive de la MPP pendant toute la journée du 26/06/2012. Il a quitté le siège du parti avec le véhicule d'un militant de la DC car sa voiture était en panne.

 
Les filles qui se proment encore aujourd'hui en compagnie du Colonel Kanyama, n'ont été jamais reçue ni par le Président Diomi ni par aucun autre membre du protocole du parti.

 

 
Des témoins oculaires ont aperçu le soir du 26/06/2012, avant la descente massive de la police au siège de la DC, le Colonel Kanyama en compagnie de deux filles près de l'entrée du siège de la DC. De plus, même celui qui par la suite a été reconnu comme le père de ces deux filles a été aperçu en compagnie du Colonel Kanyama avant sa descente au siège de la DC.

 
4.      Il est quand même étonnant que les policiers du Colonel Kanyama se soient déplacés au nombre de plus de 40 éléments armés de leur propre initiative et qu'ils aient rencontré prétendument dans l'enceinte du siège de la Dc les deux filles à base du complot. En d'autres termes, sans que personne n'ait porté plainte, les hommes de Kanyama auraient comme par hasard fait une descente en force de 40 élements armés pour « surprendre » la présence de deux filles à l'extérieur des locaux de la DC et cela étant un élément constitutif de viol dans le chef du président du parti au détriment duquel ils s'apprêtaient, par la suite , à détruire le siège légal et effectuer une perquisition sans mandat. L'outrecuidance du Colonel Kanyama est arrivée au point de vider les bureaux de la Dc de son contenu, casser les portes des bureaux et placer des cadenas à toutes les portes.

 

 
5.      Le matin du 27/06/2012, les curés de  la cathédrale Notre Dame du Congo a reçu lui aussi la visite de policiers du Colonel Kanyama, qui l'ont menacé lui intimant de ne pas permettre la tenue de la manifestations de la MPP dans l'enceinte de la Cathédrale Notre Dame du Congo.

 
Le président Diomi Ndongala ayant appris par des militants que le policiers apostés près de Notre Dame du Congo étaient dispersés par la police et que l'abbé avait été menacé, a décidé de se rendre de personne sur place pour voir s'il était encore possible de tenir la manifestation de la MPP qu'il organisait depuis longtemps : depuis lors, on a perdu ses traces  au point qu' on craint qu'il ait été enlevé par les services de sécurité du régime Kabila.

 

Depuis ce matin, un véritable campagne de lynchage médiatique est orchestrée par les organes de presse kabilistes pour salir l'honorabilité du Président Diomi Ndongala qui ne se reproche absolument rien du tout, à part le fait d'être l'initiateur de la MPP,  famille politique du président Elu, S.E. Etienne Tshisekedi wa Mulumba.

 

Les dirigeants de la Dc tiennent à souligner qu'il est complétement faux que le Président Diomi ait été appréhendé avec des filles car il n'était même pas présent au siège du parti au moment de la descente massive des policiers aux ordres du Colonel Kanyama.

 

Il est plus qu'évident que les adversaires politiques de la DC essayent en vain,  par cette campagne de diffamation,  de briser la crédibilité politique du Président Diomi Ndongala près de l'opinion publique congolaise, tout en masquant par des fausses accusation, les agissements criminels de certains responsables de forces de l'ordre qui, abusant de leurs prérogatives, ont violé les droit civils et politiques des membres de la Démocratie Chrétienne, un parti politique d'opposition doté depuis plus de 20 ans de personnalité juridique.

 

La démarche honteuse d'accuser la victime pour la salir et affaiblir sa capacité de défense rappelle étrangement le montage grossier et honteux opéré sur la dépouille mortelle du défenseur des droits de l'homme, M. Floribert Chebeya, assassiné dans les locaux de la Police Nationale et après transporté sur la route de Mitendi ; présenté ensuite  à la presse avec les pantalons baissées et des préservatifs à  côté de son corps, pour faire croire à un meurtre passionnel.

 

De plus, les vraies  inquiétudes des militants de la DC vont à la disparition du Président Diomi Ndongala, disparu sur la route l'amenant à Lingwala.

 

La DC invite les congolaises et les congolais à ne pas tomber dans le piège des bourreaux du President Diomi Ndongala, dont la seule vraie faute est son engagement total pour la liberté et la démocratie au Congo et de se mobiliser en vue de sa libération totale et sans conditions.

 

Vérité et Justice pour le Congo,

Le peuple d'abord,

Kinshasa, 28/06/2012

 

Pour la Démocratie Chrétienne,

Yves Kota