Arrete soit disant en flagrant delit et mis en prison secrete depuis plus d'un mois, Honorable Diomi Ndiomi n'a toujours aps ete presente devant les juges.
Le traitre-collabo Koffi Olomide a eu droit a << la justice>>. Le chanteur est voyou est libre. Lisez ci-dessous.
Comparez et vous comprendrez.
Affaire Diego Music : Koffi Olomide échappe à la prison !
(La Prospérité 17/08/2012)
Après avoir passé une nuit dans une cellule du Parquet de Grande Instance de la Gombe, Koffi Olomide a été présenté aux juges ce jeudi, 16 août 2012, pour répondre à deux chefs d'accusation, notamment, la destruction méchante des biens de l'Hôtel Venus et les coups et blessures sur la personne de Diego Lubaki, son producteur. Après jugement, Mopao Mokonzi s'en est tiré avec une condamnation de 3 mois avec sursis. Mais, bien avant, M. Diego Lubaki aurait retiré sa plainte contre son ami Koffi, au nom semble-t-il, de la paix. Seulement, l'affaire ayant déjà été portée devant les hommes de la loi, il ne revenait ni à Koffi, ni encore moins à Diego d'arrêter la machine. Koffi avait, en ce moment-là affaire avec la justice. Pour le PGR, en effet, ''Koffi est une grande vedette, une star, un porte-drapeau de la RDC et, à ce titre, il doit mériter le châtiment dû à son rang''. Qu'à cela ne tienne, l'auteur compositeur d'''Abracadabra'' a échappé de justesse à la prison. Il devra donc faire attention, pendant ces trois mois, de ne plus commettre le même forfait. Après ce jugement, escorté par ses collaborateurs, dans un cortège, Koffi Olomide a immédiatement pris la direction de sa résidence privée, située au quartier Mont Fleuri, dans la commune de Ngaliema. A son arrivée, la famille et les proches de Mopao Mokonzi ont improvisé une fête, pour glorifier Dieu, le Maître des temps et des circonstances, pour sa grâce. Champagne, Wisky, vins et boissons locales ont été offerts à tout le monde qui est venu soutenir le patron de Quartier Latin. Se réservant de faire des déclarations à la presse, sur avis de son avocat, Koffi Olomide a choisi plutôt de convier ses fanatiques à sa production de ce samedi, 18 août 2012, à l'espace «Grand Libulu», à quelques mètres du Rond point Forescom, au centre-ville, à Kinshasa. Il était 13h26' lorsque Koffi Olomidé a quitté le tribunal de paix de la Gombe, à la grande satisfaction de son épouse, de ses enfants, de ses amis et connaissances, venus très nombreux le soutenir dans cette épreuve difficile. Après sa sortie de la salle d'audience, l'artiste a été chaleureusement accueilli par les siens. Escorté par ses collaborateurs, dans un cortège, Koffi Olomide a immédiatement pris la direction de sa résidence privée, située au quartier Mont Fleuri, dans la commune de Ngaliema. A son arrivée, la famille et les proches de Mopao Mokonzi ont improvisé une fête pour glorifier Dieu, le Maître des temps et des circonstances qui sa grâce. Champagne, Wisky, vins et boissons locales ont été offerts à tout le monde qui est venu soutenir le patron de Quartier Latin. Une ambiance des retrouvailles pour ses enfants et son épouse, en vacance au pays. Se réservant de faire les déclarations à la presse, sur avis de son avocat, Koffi Olomidé a choisi plutôt de convier ses fanatiques à sa production de ce samedi, 18 août 2012, à l'espace «Grand Libulu», à quelques mètres du Rond point Forescom, au centre Ville à Kinshasa. ''Ce sera une bonne occasion de se retrouver encore avec mes adulateurs. Qu'ils viennent, tous ceux qui ne croient pas à ma libération''. Bref rappel Arrêté le mercredi dernier, rappelle-t-on, pour coups et blessures sur la personne de Diego LUBAKI, producteur de son dernier opus « Abracadabra», le patron de l'orchestre Quartier Latin International a passé 23 heures en détention préventive dans une cellule du Parquet de Grande Instance de la Gombe, avant d'être présenté hier jeudi, 16 août 2012, devant le tribunal de paix de la Gombe, pour y être jugé. Jugé en procédure de flagrance, l'audience n'a duré au maximum que deux heures, avant que les juges prononcent le verdict. Après débats et délibérations, Koffi s'en est tiré avec une condamnation de 3 mois de prison avec sursis. Ce qui signifie que le chanteur congolais peut vaquer à ses occupations mais ne doit, en aucun cas, répéter le même fait, de peur, qu'il ne soit de nouveau arrêté et emmené, cette fois-là, en prison. Rappelons que deux chefs d'accusation ont été mis à charge du Président de Quartier Latin International, à savoir : la destruction méchante d'une partie des installations de l'Hôtel Venus où est logé Diego Lubaki. Mais également, les coups et blessures à l'endroit du jeune producteur congolais. S'agissant de la destruction méchante, le ministère public a demandé que l'artiste soit acquitté, parce que, selon lui, il n'y avait pas assez de preuves pour le condamner. Par contre, Koffi a été reconnu coupable de coups et blessures. C'est donc pour cela qu'il a été condamné. Malgré ce verdict, les avocats de l'artiste musicien Koffi Olomide se disent satisfaits, car leur client est libre de ses mouvements et peut vaquer librement à ses occupations. Le condamné, Koffi Olomide, n'a pas trouvé à redire sur cette sentence. Et, à un avocat de conclure, «pourquoi aller en appel alors que notre Client se réjouit déjà ? Nous avons gagné et c'est tout pour nous. C'est à lui de faire un effort pour ne plus tomber dans le filet de la justice pendant ces trois mois».
La Pros.
© Copyright La Prospérité
(La Prospérité 17/08/2012)
Après avoir passé une nuit dans une cellule du Parquet de Grande Instance de la Gombe, Koffi Olomide a été présenté aux juges ce jeudi, 16 août 2012, pour répondre à deux chefs d'accusation, notamment, la destruction méchante des biens de l'Hôtel Venus et les coups et blessures sur la personne de Diego Lubaki, son producteur. Après jugement, Mopao Mokonzi s'en est tiré avec une condamnation de 3 mois avec sursis. Mais, bien avant, M. Diego Lubaki aurait retiré sa plainte contre son ami Koffi, au nom semble-t-il, de la paix. Seulement, l'affaire ayant déjà été portée devant les hommes de la loi, il ne revenait ni à Koffi, ni encore moins à Diego d'arrêter la machine. Koffi avait, en ce moment-là affaire avec la justice. Pour le PGR, en effet, ''Koffi est une grande vedette, une star, un porte-drapeau de la RDC et, à ce titre, il doit mériter le châtiment dû à son rang''. Qu'à cela ne tienne, l'auteur compositeur d'''Abracadabra'' a échappé de justesse à la prison. Il devra donc faire attention, pendant ces trois mois, de ne plus commettre le même forfait. Après ce jugement, escorté par ses collaborateurs, dans un cortège, Koffi Olomide a immédiatement pris la direction de sa résidence privée, située au quartier Mont Fleuri, dans la commune de Ngaliema. A son arrivée, la famille et les proches de Mopao Mokonzi ont improvisé une fête, pour glorifier Dieu, le Maître des temps et des circonstances, pour sa grâce. Champagne, Wisky, vins et boissons locales ont été offerts à tout le monde qui est venu soutenir le patron de Quartier Latin. Se réservant de faire des déclarations à la presse, sur avis de son avocat, Koffi Olomide a choisi plutôt de convier ses fanatiques à sa production de ce samedi, 18 août 2012, à l'espace «Grand Libulu», à quelques mètres du Rond point Forescom, au centre-ville, à Kinshasa. Il était 13h26' lorsque Koffi Olomidé a quitté le tribunal de paix de la Gombe, à la grande satisfaction de son épouse, de ses enfants, de ses amis et connaissances, venus très nombreux le soutenir dans cette épreuve difficile. Après sa sortie de la salle d'audience, l'artiste a été chaleureusement accueilli par les siens. Escorté par ses collaborateurs, dans un cortège, Koffi Olomide a immédiatement pris la direction de sa résidence privée, située au quartier Mont Fleuri, dans la commune de Ngaliema. A son arrivée, la famille et les proches de Mopao Mokonzi ont improvisé une fête pour glorifier Dieu, le Maître des temps et des circonstances qui sa grâce. Champagne, Wisky, vins et boissons locales ont été offerts à tout le monde qui est venu soutenir le patron de Quartier Latin. Une ambiance des retrouvailles pour ses enfants et son épouse, en vacance au pays. Se réservant de faire les déclarations à la presse, sur avis de son avocat, Koffi Olomidé a choisi plutôt de convier ses fanatiques à sa production de ce samedi, 18 août 2012, à l'espace «Grand Libulu», à quelques mètres du Rond point Forescom, au centre Ville à Kinshasa. ''Ce sera une bonne occasion de se retrouver encore avec mes adulateurs. Qu'ils viennent, tous ceux qui ne croient pas à ma libération''. Bref rappel Arrêté le mercredi dernier, rappelle-t-on, pour coups et blessures sur la personne de Diego LUBAKI, producteur de son dernier opus « Abracadabra», le patron de l'orchestre Quartier Latin International a passé 23 heures en détention préventive dans une cellule du Parquet de Grande Instance de la Gombe, avant d'être présenté hier jeudi, 16 août 2012, devant le tribunal de paix de la Gombe, pour y être jugé. Jugé en procédure de flagrance, l'audience n'a duré au maximum que deux heures, avant que les juges prononcent le verdict. Après débats et délibérations, Koffi s'en est tiré avec une condamnation de 3 mois de prison avec sursis. Ce qui signifie que le chanteur congolais peut vaquer à ses occupations mais ne doit, en aucun cas, répéter le même fait, de peur, qu'il ne soit de nouveau arrêté et emmené, cette fois-là, en prison. Rappelons que deux chefs d'accusation ont été mis à charge du Président de Quartier Latin International, à savoir : la destruction méchante d'une partie des installations de l'Hôtel Venus où est logé Diego Lubaki. Mais également, les coups et blessures à l'endroit du jeune producteur congolais. S'agissant de la destruction méchante, le ministère public a demandé que l'artiste soit acquitté, parce que, selon lui, il n'y avait pas assez de preuves pour le condamner. Par contre, Koffi a été reconnu coupable de coups et blessures. C'est donc pour cela qu'il a été condamné. Malgré ce verdict, les avocats de l'artiste musicien Koffi Olomide se disent satisfaits, car leur client est libre de ses mouvements et peut vaquer librement à ses occupations. Le condamné, Koffi Olomide, n'a pas trouvé à redire sur cette sentence. Et, à un avocat de conclure, «pourquoi aller en appel alors que notre Client se réjouit déjà ? Nous avons gagné et c'est tout pour nous. C'est à lui de faire un effort pour ne plus tomber dans le filet de la justice pendant ces trois mois».
La Pros.
© Copyright La Prospérité