Thursday, September 08, 2011

Joseph Kabila a craqué. Le voyou tutsi-rwandais s'agite dans tous les sens

PAUL NSAPU MUKULU: Lu pour vous: Joseph Kabila a craqué

Monsieur Kasongo Mwanasapo,

Merci de votre réaction. Elle a l' avantage de nous édifier sur votre activisme politique et le mode opératoire dicté par vos maîtres à penser. Vous êtes, à n' en point douter, un des maillons de cette chaîne devant couvrir le terrorisme d' Etat au Congo-Kinshasa. Redevable à la nation congolaise, vous serez un jour rattrapé par la justice soit comme co-auteur intellectuel du terrorisme sévissant au Congo et, qui sait, soit comme auteur matériel de ces odieux crimes commis dans ce pays. 
Libre à vous de croire que je suis un activiste politique ayant un penchant pour l' UDPS. C' est connu de tous que, généralement en Afrique et au Congo-Kinshasa, les tenants du pouvoir accusent faussement les défenseurs des droits de l' homme d' être au service de l' opposition. Votre famille politique n' avait-elle pas diabolisé et assassiné Floribert Chebeya à cause de son courage à défendre les valeurs de dignité humaine? Ignorez-vous qu' à longueur des journées, les membres de votre famille politique s' acharnent sur les défenseurs des droits de l' homme au travers des campagnes de dénigrement à leur endroit, des menaces et autres violences physiques et morales. N' aviez-vous pas, en son temps et comme vous le faites aujourd'hui en mon endroit et en celui d' autres défenseurs, taxé feu Chebeya d' appartenir à l' UDPS tout simplement parce que ses dénonciations des crimes commis par les tenants du pouvoir les gênaient?     
Cher Monsieur, retenez que les organisations des droits de l' homme dont je suis membre, ont, toujours et à chaque occasion, fait leur travail et condamné tout acte de violence quelqu' en soit l' auteur. Les rapports de ces organisations existent, illustrant des cas avérés pour lesquels la responsabilité des autorités congolaises dans la commission des crimes politiques et économiques est dégagée. Il se trouve malheureusement que la plupart de ces autorités sont de la famille politique que vous essayez maladroitement de défendre.  
Retenez aussi que la plupart de ces autorités que vous défendez, lorsqu' elles sont en difficultés, elles ne se gênent pas de recourir à nos organisations pour nous demander de les défendre et, nous avons toujours accédé à leurs demandes. Vous pouvez les interroger à ce sujet. 
Le reste du contenu de votre posting et son intitulé re-travaillé est un bla-bla et un style qui cache mal votre aversion en ma personne. Vous avez ainsi fait votre "boulot" pour meritez l' attention des criminels de Kinshasa. J' espère que la " mise" pour la sale besogne vous sera augmentée!
 
Je termine par un conseil entre compatriotes ( à prendre ou à laisser) : Si vous pouvez vivre à vos dépens et non celui des criminels tapis au pays, arrêtez donc de nous rabâcher de vos postings qui énervent les personnes avisées et choquées par la tragédie qui sévit au Congo-Kinshasa; sinon, en vous moquant ainsi de vos compatriotes, vous serez un jour désillusionné.

Paul Nsapu

To: Kivu-Avenir@yahoogroupes.frlecridesopprimes@yahoogroupes.fr
From: cloemajochris@yahoo.com
Date: Wed, 7 Sep 2011 20:12:22 -0700
Subject: Re: Re : [KIVU-AVENIR]PAUL NSAPU MUKULU: Lu pour vous: Joseph Kabila a craqué

Monsieur Mukulu Nsapu,
Je ne savais pas que vous étiez membre de l'UDPS, je vous croyais activiste des droits de l'homme. censé être au milieu du village. Il est malheureux pour vous de vous cacher derrière une ASBL alors que vous êtes un activiste politique. Si pour vous, émettre une opinion sur un fait, signifie le soutenir, je vous plains cher monsieur Nsapu, je pense que vous ne savez pas ce que vous faites.
C'est vous le supporter du terrorisme, vous n'avez jamais condamné les violences physiques par les combattants sur les autorités politiques Congolaises alors que vous êtes censé le faire. Vous n'avez pas condamné les actes de violence des membres de l'UDPS au siège de PPRD, ni les actes de vandalisme devant les bureaux de la CENI qui ont occasionné des véhicules brulés et des agents brulés par les cocktails molotovs de l'UDPS. Où est votre impartialité cher monsieur l'activiste des droits de l'homme?
L'enfer c'est l'autre, vos yeux fanatiques de Tshisekedi ne peuvent que voir les fautes des autres. Etes vous réellement Chrétien pour blamer seulement les autres et applauduir les actes semblables commis par votre camp chéri?
Je suis désagréablement surpris que cette réaction vienne de vous, je vous croyais un homme intègre, mais je me rends compte que je me suis trompé sur votre compte. C'est vous Paul Mukulu Nsapu qui fait honte à votre profession, je vous prie de prendre tout votre courage de démissionner de vos activités d'activiste des droits de l'homme et annoncer votre adhésion dans l'UDPS, c'est votre droit légitime.
Vous pouvez garder mes écrits jusqu'à ce que vous vous foutez le doigt aux yeux jusqu'à l'omoplate, cela ne me dérange nullement. Je n'ai jamais fait la politique active comme vous, je n'ai jamais ordonné une quelconque violence ou participer à une violence corporelle ou physique, sur quelle base juridique croyez vous m'inculper. Si vous ignorez certaines choses, il est facile de poser la question aux juristes. Si je le veux, je peux vous poursuivre car à travers vos écrits, il y a une ménace, une intimidation voilée, mais je ne me permettrai pas cela au risque de vous dépouiller de toutes les ressources que vous recevez des Belges et des Francais pour un travail que vous ne faites pas.
Qu'est ce que mes opinions ont à avoir avec le Prof Lumanu, Boshab et Francis Kalombo? Voilà encore une preuve que monsieur Nsapu a perdu le nord en voulant faire obstruction à ma liberté d'expression par des intimidations. Vous êtes mieux connu que moi par les Profs Lumanu, Boshab et Francis Kalombo car ayant des entrées et des relations avec le rayon politique à Kinshasa. Je vous prie de dire la vérité au lieu de jouer à la roulette Russe ou jetter la poudre aux yeux aux gens qui ne connaissent pas votre audience dans le milieu politique à Kin. Qui d'entre vous et moi est bien connu dans ce cercle? Je n'ai aucun ami, frère ou parent ministre, mais vous avez des amis et des connaissances.
Mon cher frère Paul, je comprends qu'il est de fois difficile de faire votre métier car vos sentiments pour l'UDPS sont très forts et réapparaissent sans que vous en ayez le contrôle. Mais je vous accorde le bénéfice de doute à cause de votre état émotionnel et m'éfforce de croire que vous redeviendrez le défenseur de tout le monde, de toutes les parties et que le simple monsieur que je suis ne subira plus des intimidations et ménaces de votre part pour cause de mes opinions.
Guy Kasongo
From: MUKULU NSAPU <pnsapu@hotmail.com>
To: Kivu-avenir <kivu-avenir@yahoogroupes.fr>
Sent: Wednesday, September 7, 2011 6:47 AM
Subject: RE: Re : [KIVU-AVENIR] Lu pour vous: Joseph Kabila a craqué

 
Mon Cher Frère Kasongo Mwana-Nsapo,
Juste pour constater que le fanatisme béat et, qui sait!  peut-être dicté et intéressé par l' opportunisme politicien et la flagornerie et autres maux , vous fait perdre la tête chaque jour. C' est triste et honteux de vous lire. Vous faites l' écho de Lumanu, les Boshab, Francis Kalombo..... Vos masques tombent chaque jour. Retenez ceci : Verba volant scripta manent. Vos postings sont précieusement conservés qui dégagent votre co-responsabilité dans la commission du terrorisme d' Etat dont se rendent coupables les tenants du pouvoir en place. La descente en enfers du dernier Pharaon d' Égypte ne vous dit rien? 
Paul Nsapu.

To: Kivu-Avenir@yahoogroupes.fr
From: mukanyambjm@yahoo.fr
Date: Wed, 7 Sep 2011 08:51:32 +0100
Subject: Re : [KIVU-AVENIR] Lu pour vous: Joseph Kabila a craqué 

M. Kasongo,

Je vous mets au défi.
Affirmer que les membres de l'UDPS attaquent tous ceux qui arborent le label PPRD en Europe, est complètement faux. Je ne puis l'affirmer en ce qui concerne le Canada. Cependant, même au Canada ce serait une première pour l'UDPS.
Citez-nous un seul exemple où les membres de l'UDPS en Europe auraient attaqué qui que ce soit. Les quelques bagarres observées ont été l'oeuvre d'autres groupes, pas de l'UDPS, jamais de l'UDPS.
Ce genre d'affirmations procède de l'intoxication, dans le but de justifier ce que mijote le PPRD. La preuve par les dernières provocations à Kin autour du cortège de M. Tshisekedi.
Malheureusement, Bemba était tombé dans le panneau. D'ailleurs, il ne pouvait faire autrement, à moins de se laisser assassiné dans sa maison.
 
JM Mukanya 


De : Kasongo Mwanasapo <cloemajochris@yahoo.com>
À : "Kivu-Avenir@yahoogroupes.fr" <Kivu-Avenir@yahoogroupes.fr>; "udps-list@yahoogroups.com" <udps-list@yahoogroups.com>; "lecridesopprimes@yahoogroupes.fr" <lecridesopprimes@yahoogroupes.fr>; "BENA_KASAYI@groupesyahoo.ca" <BENA_KASAYI@groupesyahoo.ca>; "PARLEMENTAIRE_DEBOUT_DE_UDPS@yahoogroupes.fr" <PARLEMENTAIRE_DEBOUT_DE_UDPS@yahoogroupes.fr>
Envoyé le : Mercredi 7 Septembre 2011 5h13
Objet : Re: [KIVU-AVENIR] Lu pour vous: Joseph Kabila a craqué 

Cher Muntuabu,
C'est à rire pour monsieur Kalonga d'affirmer que l'UDPS s'est singularisé par sa lutte non violente alors que ses combattants en Europe et au Canada attaquent tous ceux qui arborent le label de PPRD, attaquent les militants de PPRD et détruisent les bureaux de PPRD à Bandal, lancent des cocktails molotovs sur les batiments de la CENI, brulent un policier et la voiture d'un particulier, exhibent une dance satanique en plein midi sur le boulevard du 30 Juin.
C'est malheureux pour l'UDPS d'accuser la Police Nationale Congolaise alors qu'il que tout le monde sait que Etienne Tshisekedi a fait attaquer ses bureaux par ses militants juste pour le besoin de consomation de la communauté internationale. La discipline des militants du PPRD et de l'AMP lors de l'arrivée de Tshisekedi à Lubumbashi ne peut être oubliée alors que leurs bureaux à Kinshasa étaient saccagés par les gens de l'UDPS.
Je ne pense pas que Joseph Kabila a craqué, pour preuve il n'a jamais repondu aux injures de Tshisekedi et de l'UDPS, le devoir de servir son pays est plus important que s'occuper des personnes qui dansent nues sur le boulevard.
La CENI vient de repondre aux désidératas de l'UDPS, la meilleure des choses à faire et d'attendre le début de la campagne électorale au lieu de se livrer aux actes de vandalisme et de banditisme qui sont contraires aux valeurs supposées défendues par Tshisekedi.
Le peuple Congolais n'a pas besoin qu'on lui impose un président comme le fait l'UDPS, Tshisekedi ou rien.
La course au pouvoir démocratique passe par les urnes, si l'UDPS sème le vent, elle va recolter la tempête!
Guy Kasongo

From: Jean MUNTUABU <muntuabu2002@yahoo.fr>
To: udps-list@yahoogroups.comlecridesopprimes@yahoogroupes.frBENA_KASAYI@groupesyahoo.caKivu-Avenir@yahoogroupes.fr;PARLEMENTAIRE_DEBOUT_DE_UDPS@yahoogroupes.fr
Sent: Tuesday, September 6, 2011 6:24 PM
Subject: [KIVU-AVENIR] Lu pour vous: Joseph Kabila a craqué 

 
06 septembre, 2011
général joseph kabilaSentant sa mort politique prochaine, le président sortant, Joseph Kabila, a pris l'énorme responsabilité de faire attaquer le siège du parti UDPS à Limeté/Kinshasa par la police la nuit du 5 au 6 septembre à 2h00 (locales). Cette nuit-là, des hommes, en tenue civile, les armes à la main, sont débarqués d'une jeep de la police pour ouvrir le feu en direction du siège du parti UDPS qui s'est singularisé par sa lutte non violente. Ils ont ensuite saccagé le siège avant de le brûlé. Bilan 1 mort et d'énormes dégâts matériels. Joint ce mardi matin 6 septembre , le directeur de cabinet d'Etienne Tshisekedi, Albert Moleka, précise qu'il avait reçu des menaces le prévenant de cette attaque ces derniers jours, et qu'il en avait informé les autorités. La résidence du leader de l'opposition a également été attaquée. Les locaux de la chaine de télévision RLTIVI ont été incendiés. Aucune victime mais le parti RCD National – propriétaire de la chaîne – affirme que tout a été détruit. Le RCD National, dirigé par Roger Lumbala, est un mouvement qui soutien la candidature d'Etienne Tshisekedi. Il convient de rappeler que Joseph Kabila avait utilisé la même methode pour faire taire la télévision de Jean-Pierre Bemba en 2006. Le même siège de l'UDPS avait subi, pour sa part, le vandalisme des hiboux sous le commandement de Zing-Zong à l'époque du président Mobutu, rappelle-t-on. Voilà que Joseph Kabila utilise les mêmes recettes. En plus, il instrumentalise la télévision publique qui a diffusé la matinée du 6 septembre une émission présentant le candidat du peuple comme « tortionnaire ». Ce mensonge n'efface pas le rôle du commandant Hypo alias Joseph Kabila notamment lors du massacre de Tingi-Tingi. Plusieurs dizaines de milliers des Hutus rwandais sont tués dans la clairière de Tingi-Tingi, à une centaine de kilomètres à l'est de la ville. Joseph Kabila était le commandant second de James Kabarebe lors de cette opération en 1997. « Les tueries auxquelles se sont livrés l'AFDL et ses alliés, y compris des éléments de l'Armée patriotique rwandaise, constituent des crimes contre l'humanité, tout comme le déni d'une assistance humanitaire aux réfugiés rwandais hutus », écrira le secrétaire général de l'ONU Kofi Annan au Conseil de sécurité le 29 juin 1998. Par ailleurs, selon des sources policières, une permanence du PPRD, le parti au pouvoir, a été incendiée dans la soirée du lundi 5 septembre, ainsi que trois véhicules, occasionnant une douzaine de blessés.
L'approche de la date du 28 novembre 2011 fait effondrer nerveusement le locataire du Palais de la Nation. Pour toute réponse à la violence du pouvoir, Etienne Tshisekedi répond : « Dans tous les cas de figure, Kabila doit partir »… par des urnes.
Ali Kalonga

VENDREDI, 09 SEPTEMBRE 2011 03:13    PDF Imprimer Envoyer
Tshisekedi opposant à l'opposition ne joue-t-il pas le jeu de Joseph Kabila?

Ambiance tendue à Kinshasa, l'UDPS d'Etienne Tshisekedi et le PPRD de Joseph Kabila ont planté le décor d'un processus électoral pas très apaisé. Le plasticage des sièges de ces deux partis en début de semaine par des "inconnus", aurait mis le feu aux poudres. A peine que le candidat de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social venait de déposer sa candidature au siège de la CENI, un de ses militants tombait sous les balles de la police. Alors qu'elle était supposée encadrer la foule des sympathisants de l'éternel opposant qui le raccompagnait au siège de son parti à Limete 10 ième rue. Cet incident s'est produit, selon différentes sources, dans une ambiance de représailles entre ces deux formations politiques. Elles accuseraient mutuellement leurs militants d'actes de vandalisme contre leurs représentations respectives et une radio télévision proche de l'UDPS. Ce climat de violence, orchestré par ces deux partis, montre à quel point ses animateurs n'ont aucune prise sur leurs militants. De ce fait, la responsabilité incombe aux dirigeants politiques qui n'ont pas encore su expliquer à leurs bases que le parti au pouvoir est composé d'adversaires politiques et non d'ennemis personnels. Et surtout de l'opposition qui ont une certaine expérience de la gestion de ce genre de provocation générée par le pouvoir en place en pareilles circonstances. Le président sortant et ses acolytes n'ont qu'un seul objectif, fragiliser par tous les moyens les forces qui appellent de tous leurs vœux à l'alternance démocratique. La vigilance consisterait à ne pas lui prêter le flanc. 

De la responsabilité de l'UDPS 

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Ce qui se passe actuellement à Kinshasa, peut ne pas surprendre certains observateurs qui suivent avec attention l'histoire politique du parti cher à Etienne Tshisekedi. A chaque fois qu'il s'est préparé d'importantes échéances pour le pays, l'UDPS s'est souvent illustrée par des violentes manifestations tendant à impliquer le pouvoir en place. Et malheureusement les victimes sont souvent des pauvres militants qui croient aux miracles que le sphinx de Limete n'a jamais opéré même pour lui-même. Tel un charlatan qui promet des milliards à ses victimes alors qu'il est lui-même misérable. L'homme célèbre de la 12 ième rue, a su quant à lui, monnayer nuitamment sa manipulation de la rue. Car très souvent opposant le jour pour la consommation extérieure et collaborateur du pouvoir la nuit contre espèces sonnantes et trébuchantes, renseignent les anciens hommes de l'ombre de Mobutu. Si l'on peut reconnaître à l'actif de l'UDPS, un certain éveil de la conscience politique du peuple congolais et des kinois en particulier, il n'est pas inutile de souligner sa responsabilité dans la destruction du pays. Les congolais ont encore en mémoire les pillages de 1991 et de 1993 qui, bien que consécutives à la crise politico-économique, étaient aussi encouragés par l'UDPS. D'ailleurs, si les congolais étaient capables de s'approprier leur histoire, ils devraient un jour instruire le procès Tshisekedi pour établir sa responsabilité dans la dégradation économique de la RDCongo. Néanmoins, si on peut souligner un certain courage politique à l'un des rédacteurs du Manifeste de la N'Sele de 1967, ce livre vert du MPR (Mouvement Populaire de la Révolution), parti cher à Mobutu, l'opposition à toute idée qui ne viendrait pas de lui, l'inconstance et un certain égoïsme, constituent ses points faibles. On peut même se demander s'il ne cache pas derrière sa radicalité, une certaine incompétence. Car à chaque fois qu'il a été aux affaires, il a toujours su trouver des raisons qui l'empêchent de travailler. Pour rappel, quand il accède pour la première fois au poste de premier ministre du 29 septembre au 1er novembre 1991, la brièveté de son mandat est dû à son refus de reconnaître en Mobutu la qualité de garant de la nation. Son narcissisme politique ne fait pas de lui, selon une certaine opinion, un leader qui prend vraiment à cœur, les aspirations de la population si ce n'est le pouvoir pour le pouvoir. Car dans ses discours, il apparaît rarement des priorités ou des solutions aux problèmes majeurs de la population congolaise. Aujourd'hui par exemple, dans ses sorties, un politicien sérieux congolais, ne peut pas ne pas parler des violences imposées aux populations du nord-est du pays. Et par conséquent, montrer comment il pourrait travailler pour l'avènement d'une paix durable dans cette partie de la RDCongo. On ne peut pas seulement être opposant ou candidat aux élections présidentielles dans les villes et villages sécurisés. Kinshasa et Lubumbashi ne sont pas la RDCongo. Pourvu d'une forte densité démographique, les Kivu renferment de grandes circonscriptions électorales. Hélas, Tshisekedi semble ne pas s'intéresser aux Kivu pour y exercer son opposition alors qu'il se propose de devenir président de tous les congolais. 

Eternel opposant contre Mobutu et les Kabila, aujourd'hui il l'est même contre l'opposition 

A 79 ans, Tshisekedi compte aujourd'hui plus de trente ans d'opposition politique depuis les années 1980. Une lettre ouverte à Mobutu, consignée avec ses amis du groupe des 13 parlementaires, marque le début de sa carrière d'opposant. Dénoncer le dysfonctionnement des institutions contrairement au contenu du manifeste de la N'sele qu'ils avaient élaboré ensemble était le fondement de leur revendication. Contre les Kabila, il dénonçait la dictature et les étrangers venus avec Kabila Laurent. Quoiqu'une fois revenu de Sun City, alors que les rwandais lui avait promis le pouvoir dans les couloirs, il n'a pas hésité un seul instant de les qualifier de "frères". Incorrigible inconstant. Aujourd'hui, il va jusqu'à s'opposer contre l'opposition congolaise. Car à Kolwezi, lors de sa dernière visite au Katanga, il confiait qu'il ne reconnaît qu'une seule opposition politique, celle qui vient vers lui. A une question lui posée à cet effet, il répondait: " il y a opposition et opposition au Congo. C'est aux jeunes de venir vers les vieux". Alors que le rajeunissement de la classe politique est dans l'air du temps. Convaincu de l'authenticité de son opposition, il a même ajouté qu'il y aurait des taupes parmi ceux qui se disent de l'opposition. Ces propos sont révélateurs de l'état d'esprit de l'homme qui veut toujours faire bande à part. Cette attitude regrettable n'est pas sans rappeler l'époque de la Conférence Nationale Souveraine de 1992. Alors que toute l'opposition était réunie au sein de l'union sacrée de l'opposition radicale et alliés (USORAL) et qu'un consensus allait se dégager autour de son nom pour diriger le gouvernement de transition, Tshisekedi savait trouver des moutons noirs parmi certains poids lourds. De peur qu'ils ne lui fassent de l'ombre et qu'ils ne revendiquent pas un peu plus lors du partage du pouvoir, ils étaient exclus de la plateforme. Le scénario paraît être le même aujourd'hui. Ceux qui plaident pour un seul ticket gagnant face à Kabila, après avoir défini un programme de gouvernement à l'instar de l'UNC (Union pour la Nation Congolaise), l'UFC(Union des Forces du changement) et du MLC(Mouvement pour la libération du Congo), du moins ce qu'il en reste et apparentés, ne l'intéressent pas. Dans ces conditions, si Tshisekedi continue de faire bande à part, on est tenté de croire qu'il fait le jeu du pouvoir sortant. Et qu'il aura ainsi considérablement réduit les chances de l'opposition de gagner les présidentielles de Novembre 2011. Sans oublier que le scrutin est à un tour. Par conséquent faute de consensus autour d'une candidature unique de l'opposition, Kabila risque d'être réélu. Mais aussi aidé par la triche. Car, on peut aussi s'interroger sur l'indépendance de la CENI présidée par Daniel Mulunda, conseiller spirituel du président sortant. 

Mbusa Faustin

France

©Beni-Lubero Online


Qui a dit que le Katanga était le fief acquis de Joseph Kabila ? Pourquoi l'évasion des prisoniers dont Kyungu Mutanga appelé Gédéon ?

Par Freddy Mulongo, jeudi 8 septembre 2011 à 21:16 :: radio :: #1716 :: rss

Seuls des flagorneurs, des encenseurs de mauvais goût et des lobbyistes mafieux pour se voiler la face et se vautrer dans leurs mensonges affirment encore sans rire que le Katanga est le fief de Joseph Kabila. Le fief de ce dernier c'est Kingakati à 80 km de Kinshasa, dans le plateau des Bateké. Au Katanga, Joseph Kabila a plusieurs contentieux avec des Katangais dont l'assassinat de M'zée Laurent Kabila non encore élucidé 11 ans après, l'assassinat d'Aimée Kabila , la fille aînée de feu président M'zee Laurent Désiré Kabila, a qui on a renié la filiation, arraché son passeport diplomatique et le pouvoir de Kinshasa avait dissuadé la famille de ne pas participer au deuil d'Aimée Kabila. Paix à l'âme de notre ami et grand défenseur de droits de l'homme, Floribert Chebeya et son Ong la Voix des Sans Voix (VSV) qui avaient négocié le prix à la baisse de la morgue de l'hopital Monkole à Mont-Ngafula. Floribert Chebeya s'était demené et avait accompagné Aimée Kabila, jusqu'à sa dernière demeure. Floribert Chebeya ignorait les mêmes assassins qui avaient tué Aimée Kabila en 2008, allaient le tuer deux ans plus tard. prendre les funérailles en charges à Mont-Ngafula. Que dire de la mort subite de la soeur de M'zée? Que dire de l'assassinat odieux du pasteur Albert Lukusa, vaillant dans sa liberté d'expression. Et le pasteur-député Théodore Ngoy à qui des Joséphistes par méchanceté ont détruit son Eglise de la Gombé, sa résidence et son cabinet d'avocat. Qui ne sait pas le pasteur-député Théodore Ngoy est plus populaire au Katanga que Joseph Kabila ! La majorité des Katangais ne sont pas des Joséphistes. L'évasion de Kyungu Lutanda appelé commandant Gédéon et plus de 960 prisonniers de la prison de Kasapa à Lubumbashi dont une centaine de récupérer, devrait faire réflechir sur ce qui se prépare au Katanga.

Kyungu Lutanda appelé commandant Gédéon. Photo Réveil-FM, archives

Nous affirmons sans ambages que l'opération "Vélos, argents contre arme" du Parec, de Daniel Ngoy Mulunda est une fumisterie. L'évasion de Gédéon prouve à dessein que les Maï-Maï n'ont jamais été désarmés, et qu'avec plus de 850 prisonniers dans la nature, rien n'est sûr que Gédéon et ses échappés de Kasapa ne vont pas entrer en résistance contre le gouvernement central, de Joseph Kabila.

Les Fardc n'ont jamais reussi à déloger Kyungu Mutanga alias Gédéon, chef des Maï-Maï, dans son maquis à Mitwaba dans le Nord du Katanga, pourtant traqué depuis novembre 2005 par l'armée congolaise qui avait engagé plus de 3. 000 hommes.

Les combattants Maï-Maï, initialement regroupés au sein de milices locales d'auto-défense, ont été armés et équipés sous M'zée pendant les dernières guerres sur le sol congolais. Ils ont d'abord été sollicités pour l'aider dans sa conquête du pouvoir (1996-97) contre le Maréchal Mobutu Sese Seko, puis pour barrer la route aux troupes rebelles soutenues par le Rwanda (1998-2003).

Après la fin de la dernière guerre en 2003, plusieurs chefs Maï-Maï, dont Gédéon, avaient estimé n'avoir jamais été récompensés correctement de leur engagement patriotique et avaient refusé de rendre les armes. A-t-on oublié, qu'en raison de son soutien armé et financier aux milices Maï-Maï jusqu'en 2003, l'Etat congolais sous Joseph Kabila a été condamné par le tribunal militaire de Kipushi à payer à l'ensemble de 75 familles de victimes 17 millions de dollars ?

L'Etat-major de l'armée congolaise a cependant toujours nié avoir des relations avec des chefs Maï-Maï du Katanga, comme du Kivu.

Exemple frappant, lors de la 2ème audience publique du procès opposant le ministère public à Kyungu Mutanga alias Gédéon, on avait entendu des choses ! Comme lors de la 1ère audience, Kyungu Mutanga s'est présenté torse et pieds nus devant le tribunal militaire de Kipushi, à 30 Kms de Lubumbashi. Il était en tenue traditionnelle, colliers et chapelets autour de son corps, son cou et ses bras. Son épouse était également torse nue. Gédéon s'était couvert d'une cagoule comme lors de la 1ère audience. Le président du tribunal a exigé qu'il l'ôte et lui a été interdit de la porter lors de prochaines audiences. Kyungu Mutanga alias Gédéon s'est adressé au tribunal en ces termes. « Si je suis venu à Lubumbashi, c'est parce qu'il y a des gens qui sont venus me voir à Mitwaba pour me dire que le chef de l'Etat, Joseph Kabila, me cherchait. Ils m'ont dit que je ne ferai que 2 à 3 jours seulement à Lubumbashi ». Gédéon Kyungu Mutanga avait ajouté qu'il était surpris de se retrouver devant le tribunal. Kyungu Mutanga Gédéon avait déclaré que son mouvement avait été créé pour combattre les militaires rwandais et ougandais. Il avait nié avoir tué des civils, ou pillé leurs biens. Gédéon expliquait que s'il avait tué des militaires FARDC, c'est parce qu'ils pillaient, tuaient et violaient des femmes et des filles dans les villages.

Trois témoins impotants avaient comparu, au tribunal militaire de Kipushi, à 30 Kms de Lubumbashi. Parmi eux, le commandant chargé des renseignements à la 6e région militaire et Mr Kasasa Mwende, ancien médiateur entre Gédéon et la Monuc lors de sa reddition en mai 2006.

Le lieutenant-colonel Mujinga Timothée, officier des renseignements à la 6è région militaire, avait déclaré que l'ancien chef de guerre était d'abord considéré comme un allié car il soutenait l'armée régulière dans sa lutte contre l'agression rwandaise et ougandaise. C'est en 2003 que Gédéon s'était détourné de son objectif, en pillant les installations militaires des FARDC, emportant des armes et tuant plusieurs militaires. Gédéon avait réfuté ce témoignage.

Quant à Kasasa Mukalay Sauveur, qui avait facilité, jadis, les négociations entre la Monuc Katanga et Gédéon, il avait affirmé que son objectif était de faire arrêter la guerre dans le secteur de Mituaba. Il avait conclu que le gouvernement lui devait.

Enfin, l'ex-chef milicien Maï-Maï, le "Commandant Gédéon", sévissant au Katanga a été condamné à la peine de mort pour "crimes de guerre, crimes contre l'humanité, mouvement insurrectionnel, terrorisme et homicide commis au ''Triangle de la mort'', zone située entre les territoires de Mitwaba et Pweto, district du Haut-Katanga, à Manono dans le Tanganyika et à Malemba- Nkulu dans le Haut-Lomami" .

Selon l'acte d'accusation, Kyungu Mutanga, alias Gédéon, était poursuivi pour des crimes commis entre 2003 et 2006.

Son épouse, ainsi qu'un de ses six co-accusés, Kasereka, ont été condamnés respectivement à sept et dix ans de prison ferme. Cinq prévenus ont été acquittés faute de preuve par le tribunal présidé par le capitaine Keli Ndenga.

Principal chef d'une milice d'auto-défense Maï-Maï, Gédéon Kyungu Mutanga s'était rendu de son propre gré en mai 2006 à la Mission de l'ONU (Monuc) à Mitwaba, avant d'être transféré à Lubumbashi.

Le premier président de la Cour militaire du Katanga, le colonel Simon Kalongo qui a prononcé ce verdict, a indiqué, dans la lecture de rappel du jugement antérieur des prévenus, que l'arrêt portait sur les 103 victimes de la partie civile contre M. Gédéon Kyungu Mutanga et ses 25 membres. Le recrutement d'enfants mineurs dans son mouvement, les violences sexuelles, travaux forcés et disparition de personnes sont autant d'autres infractions retenues à charge de ce seigneur de guerre. Me Michel Kayembe, avocat de la partie civile, s'était réjoui de cette sentence qui condamnait Gédéon Kyungu à la peine capitale et ses membres à différentes années de servitude pénale selon les grades et fonctions des opérateurs du mouvement.

Pour sa part, Me Arsène Nkulu, avocat de la défense, avait déploré les conditions dans lesquelles le verdict s'était passé, car selon lui, les prévenus n'avaient pas écouté le jugement faute de sonorisation.

A l'époque, le condamné Gédéon Kyungu n'avait fait aucune déclaration à la presse par rapport au jugement porté contre lui.

La Cour était composée de : Premier président, colonel Simon Kalongo : Juge, major Mangesha ; Juge assesseur, colonel Shabani.

Le ministère public avait été représenté par le major Richard Longoango

L'opération, baptisée "Triangle de la mort", de Daniel Ngoy Mulunda devrait permettre de récupérer des armes à Manono, se poursuivre à Mitwaba, Pweto et Moba, des localités situées à entre 400 et 600 km au nord et nord-est de Lubumbashi, dans le katanga. Le pasteur Ngoy Mulunda, président de l'ONG Parec, affirmait oeuvrer "pour la paix, la transformation de conflits et la réconciliation nationale". Parec prévoyait la distribution en un mois d'environ 4.000 vélos, acheminés par avion de Lubumbashi. Cette opération, d'un coût estimé à 70.000 dollars, était "financée à 100% par Joseph Kabila", affirmait le pasteur Daniel Ngoy Mulunda. Fin avril 2005, cinq journalistes congolais, qui accompagnaient le pasteur Mulunda, avaient été pris en otage pendant plusieurs jours dans le Haut Lomami (Nord-Katanga) par des miliciens locaux Maï Maï qui réclamaient plus de vélos contre leurs armes. Alors que nous étions présents à Lubumbashi pour une réunion du Pool sud-Est des radios communautaires, notre déclaration contre cette prise d'otage a été largement diffusée sur RFI.

Quant au pasteur Daniel Mulunda, interrogé après sa libération, sur les risques de cette opération qui court-circuitait le programme national de désarmement, le pasteur avait estimé que la Monuc et la Conader avaient "échoué" et affirmait que sa "seule préoccupation" était de contribuer "à la paix".

"Ce sont les Maï Maï eux-mêmes qui ont fait appel à moi, avait-t-il affirmé. Le problème de la démobilisation n'est pas mon affaire. Ce qui me préoccupe, c'est la récupération des armes distribuées pendant la guerre" de 1996-97, au cours de laquelle des milices locales Maï Maï avaient été armées par le gouvernement.

Qu'est-ce que Daniel Ngoy Mulunda avait promis à Gédéon Kyungu Mutanga ? L'opinion a droit de savoir.

On se souvient encore en mai 2006, Daniel Ngoy Mulunda, accordait 4 jours à la responsable de la Monuc au Katanga, Mme Magda Gonzales, pour quitter la province. Il l'avait fait savoir au cours d'une conférence de presse qu'il avait animée à son domicile de Lubumbashi.

Au cas où l'intéressée ne quittait pas la province, le pasteur aurait pris des dispositions pour se charger d'elle. Parlant du dispositif de sécurité qui avait été renforcé autour de Mme Gonzales, le président de l'Ong Programme oecuménique de paix, Transformation des Conflits et réconciliation (Parec), indiquait que tant qu'elle était au Katanga, elle n'était pas en sécurité. « La véritable sécurité pour elle est de la faire partir du Katanga ». Personne ne s'était offusquée contre les menaces sur Mme Gonzales. C'était la troisième fois que le pasteur Mulunda réclamait le départ de Mme Gonzales du Katanga. La première fois c'était lors d'une conférence de presse le 15 mai 2006 au Park hôtel. La deuxième fois c'était au cours d'un rassemblement populaire, le 20 mai 2006. Le pasteur Mulunda reprochait à Mme Gonzales « des manipulations » et « désinformation ».

Le Parec, « dénonce avec la dernière énergie la politique d'intoxication et de désinformation menée par Mme Magda Gonzales, responsable de la Monuc au Katanga », avait déclaré le 15 mai 2006, le gourou de Joseph Kabila. Il accusait également la représentante de la Monuc d'avoir alimenté des rapports d'Ong accusant Joseph Kabila et le général John Numbi (chef d'état-major des forces aériennes en RDC) d'avoir distribué des armes aux Maï-Maï, dans le cadre des Forces d'Auto-défense Populaire (Fap).

Lorsquele principal chef milicien du Katanga, Kyungu Mutanga dit « Gédéon », s'était rendu à la Monuc. Il aurait refusé de se livrer aux autorités congolaises, craignant d'être exécuté « pour éviter qu'il ne révèle des informations sur des soutiens présumés dont il aurait bénéficié pendant la guerre au sein de l'armée ».

Maintenant que Gédéon Kyungu et ses infortunés amis sont en vadrouille dans le Katanga, Joseph Kabila et Daniel Ngoy Mulunda, devront être tenu pour responsables si demain une poche de résistance se déclare dans le Katanga profond. Car ceux qui ont libéré Gédéon ne l'ont pas fait pour se taire ensuite. Une vigilance tous azimuts s'impose et la période pré-électorale ne va pas arranger l'affaire.

 
 

  LE MESSAGE  DE BOYCOT EST BIEN PASSE, cliquer sur le titre:Stade de France MPIAKA

Voilà la Réalité des choses , ca veut dire que le message se transmet petit à petit, le stade c'est vide....et aussi je pense que cette lutte des Congolaises et Congolais aura une suite favorable....., C'est mieux de suivre cet element!!! CLIQUER SUR LE TITRE

 http://www.youtube.com/watch?v=2jdAspDOr9o&feature=player_embedded#at=1887

 Vive les combattants Africains,  le message est bien passé.

 Peuple africains, sachez  que les combattants n'ont jamais eu peur d'être arrêter. Nous ne pouvons plus compter des nombres des arrestations que nous subissons. N'ayez pas peur rejoignez-nous pour libérer l'Afrique.

Qui est VITAL KAMERHE RWAKANYASISIZE ?

UNE NOUVELLE IMPOSTURE EN VOIE DE DETOURNER LES VOTES DES CONGOLAIS. 

Pendant que les congolais se démènent nuit et jour pour se débarrasser du rwandais « JOSEPH KABILA » et de son système arriéré qui, il y a dix ans de cela, s'est infiltré dans les « bagages » du conglomérat d'aventuriers du 17 mai 1997 pour s'emparer du pouvoir dans les conditions que le peuple connait très bien avec comme conséquences les résultats désastreux dans tous les domaines, voilà que des laudateurs de tous acabits se mettent brusquement en ligne de bataille pour soutenir, à tort , un autre candidat imposteur, au « parcours exceptionnel et parlant toutes nos langues nationales », pour qu'il accède aux fonctions suprêmes de l'Etat congolais. A notre sens, il n'y a rien qui puisse justifier ce choix. C'est vraiment une erreur monumentale de soutenir un individu dont l'identité est sujette à caution et qui est en quête de hautes fonctions de l'Etat. Nous devons cesser de faire des rêves chimériques aussi ridicules que puérils. Notre pays est en danger à cause de ses propres fils et filles. Aujourd'hui, certains citoyens américains continuent sans désemparer à demander à OBAMA son certificat de naissance pour être sûr de sa nationalité américaine. Chez nous ici, les belges nous disaient que nous sommes des xénophobes !! Etonnant comme propos de nos néo colonisateurs qui ne voient pas ce qui se passe exactement dans leur pays entre les Wallons et les Flamands.

En fait, en quoi consiste ce parcours exceptionnel d'un « brillant technocrate et visionnaire »VITAL KAMERHE RWAKANYASISIZE, puisqu'il s'agit bien de lui. Il avait exercé quelques petites fonctions politiques par ici par là dans le cabinet politique avant d'atterrir à la tête de la Représentation Nationale. Il n'avait jamais été ministre. Sauf bien entendu, directeur de cabinet du ministre Dr LOSEKE. C'est la toute première fois qu'il forme un parti politique. Et nous nous demandons en quoi est-il brillant technocrate et visionnaire ? L'occupation de ce poste a un prix. Pour le service rendu au sein du lobby rwandais implanté un peu partout dans le monde, l'intéressé a été récompensé. La parution de son piètre livre soutenant « JOSEPH KABILA » n'est pas un fait de hasard. Souvenez-vous des divers soutiens, notamment le « Cercle des Amis du Rwanda » au sein du parlement européen qui est l'œuvre de Louis Michel et ses acolytes, des plusieurs THANK TANK européens, américains et canadiens financés par ce même lobby en faveur de leurs citoyens rwandais dont RWAKANYASISIZE. Des diverses missions dont l'objectif consiste à sensibiliser la communauté internationale sur le génocide qui est devenu un fond de commerce et qui couvre en réalité une politique d'expansion par les armes du peuple tutsi en Afrique centrale. S'agissant des langues nationales parlées par l'intéressé à la perfection et sans oublier le KINYARWANDA, sa langue nationale du Rwanda, les congolais doivent savoir que l'aptitude de s'exprimer aisément dans toutes ces langues n'est pas un monopole au seul KAMERHE. Des milliers des congolais parlent aussi mieux plusieurs langues nationales y compris les langues étrangères. L'intelligibilité de s'exprimer en plusieurs langues congolaises aurait facilité et justifié amplement le recrutement de RWAKANYASISIZE dans les services des renseignements rwandais afin d'infiltrer les institutions de notre pays. Nous pensons que c'est dans ce domaine très technique que KAMERHE s'est illustré comme un bon technocrate et visionnaire. Et sur ce point, les tutsis ont admirablement réussi. Mais les crimes ne sont jamais parfaits.

Qui est VITAL KAMERHE RWAKANYASISIZE ?
Il aurait fallu que l'intéressé perde son poste du président de l'Assemblée Nationale pour qu'on sache qui il est exactement et pourquoi avait- il toujours soutenu son compère inculte chef de l'Etat actuel. Bien avant cela, des congolais lucides le pointaient déjà du doigt comme étant un homme qui jouait un double jeu. Avec son parti politique, il s'est mordu les doigts. Visiblement et tactiquement, l'étoffe d'un opposant au régime sanguinaire en place s'avère nulle. Il s'est refugié sur un projet de société sans convaincre et évitant à tout moment des questions gênantes concernant ses origines rwandaises. Acculé et traqué de partout pour cette nationalité rwandaise qui devenait un handicap, un cauchemar, RWAKANYASISIZE, tente par tous les moyens de la camoufler, la déguiser et l'étouffer maladroitement. Il finit par craquer en reconnaissant tout en divagant les faits du bout des lèvres. Durant tout son temps en politique, RWAKANYASISIZE imaginait être le dépositaire attitré de notre destin, l'expropriateur irréductible de notre présent et avenir. Pour lui, la présidence de la république, une obsession pour lui est prenable. Il a été encouragé par le fait de voir que cette présidence est dirigée pendant dix ans par son compatriote, ignare et inculte. Conscient de ses origines rwandaises, KAMERHE s'est noyé dans une salissure inimaginable. Il pousse même l'audace de s'arroger le droit d'apprécier, d'accepter ou de refuser le projet des sociétés proposé par d'autres leaders politiques. Vouloir coûte que coûte s'imposer pour se hisser à la tête de l'Etat par ruse, tricherie ou autres procédés improbes, c'est un leurre actuellement. L'histoire dans le monde est irréversible, à l'instar de ce qui se passe en Afrique du nord.

Les actes politiques de KAMERHE RWAKANYASISIZE que nous avions observés tout le long de son mandat à la tête de la Représentation Nationale notamment les massacres du BDK et le moratoire au sujet de la nationalité auront été une approche fatale pour l'avenir de notre pays. Il était lui-même concerné par ce problème de nationalité. Son passage à la tête de l'Assemblée était nul. Après avoir impressionné les congolais par cette fausse interpellation du chef de l'Etat au sujet de l'entrée illégale des forces rwandaises dans notre pays, RWAKANYASISIZE, une fois dans l'opposition de façade, a fait des revirements aussi spectaculaires qu'inextricables vis-à-vis du pouvoir qu'il prétendait combattre. Son parti, composé des partisans irréductibles et inconscients, s'était amusé à dénoncer du bout des lèvres la maltraitance de ses militants dans la province du Kivu par le pouvoir. De la poudre aux yeux car RWAKANYASISIZE est resté constant et fidèle dans sa politique du soutien au régime d'occupation qui est le sien. Et il nous donne l'impression de n'avoir aucun sens élevé du devoir et de la responsabilité. C'est normal pour un étranger.

Pourquoi RWAKANYASISIZE avait eu peur ou honte de dévoiler sa véritable nationalité ? La réponse est facile dans la mesure où l'intéressé fut introduit dans les services secrets par la petite porte pour épier les congolais et les institutions de la république. Il ne pouvait faire marche arrière de peur d'être abattu par les services de son pays le Rwanda pour trahison. Il ne pouvait non plus dénoncer les crimes de plus de 6 millions des congolais massacrés par ses compatriotes, il ne pouvait pas non plus dénoncer l'occupation de notre pays par le Rwanda. Tout est clair. Il suffit en bon analyste suivre ses discours pour s'en rendre compte qu'il n'est pas opposant mais plutôt un mouton au service du Rwanda et du pouvoir en place. La cohérence et la lucidité lui font défaut.

RWAKANYASISIZE, le Congo a besoin d'hommes de conviction que d'hommes d'ambition. Le Brésil que vous citez comme exemple d'un pays émergent pour le Congo ne traverse pas la situation de notre pays qui est occupé militairement par le Rwanda, votre pays à vous. Quand on est incapable de décrypter l'histoire nationale de notre pays, on ne vient pas étaler ses lacunes sur les forums. Les congolais ne vous ont pas donné un mandat quelconque pour aller parler en leur nom en Europe, aux Etats-Unis, au Canada. De plus en plus les congolais commencent à vous tourner le dos et vous risquez d'apparaitre à la longue à leurs yeux comme agresseur et malfrat partout où vous serez de passage. Nous nous rappelons aussi du comportement d'un sujet rwandais au nom de BISUKIRO qui agissait de la sorte au sein du parlement congolais pendant la première république. Les congolais ne sont pas des niais. Ils ne vont pas accepter que les mêmes étrangers comme vous, responsables de viol de nos mamans et filles (1.100 viols par jour) soient portés à la tête de nos institutions nationales.

RWAKANYASISIZE, si vous êtes réellement un opposant même rwandais, commencez par dénoncer l'occupation de notre pays par le Rwanda. Prétendre combattre le système sanguinaire et non son géniteur, c'est prendre les congolais et les autres peuples du monde qui luttent pour leur libération pour des idiots. Les congolais vous seront reconnaissants à condition de renoncer à vos prétentions insensées de devenir un jour chef de l'Etat congolais. Votre pays, le Rwanda a causé des crimes imprescriptibles à l'égard de notre pays le Congo et de son peuple qui vous a toléré depuis longtemps sur son sol de ses ancêtres. Pensez-vous réellement qu'on s'inscrit dans l'histoire du pays hôte par le sang des enfants, des femmes et des vieillards qui vous ont accueilli et hébergé ? Vos informations et celles de vos compatriotes en direction de Kigali et relatives au fonctionnement de nos institutions avaient permis le plan d'extermination des congolais et le pillage de nos ressources minières dans les provinces de l'Est par vos chiens de guerre. Le sang ne cesse d'être versé et jamais même une moindre manifestation n'a eu lieu sans effusion de sang.

RWAKANYASISIZE, votre moralité, votre éducation et votre foi chrétienne ne vous permettent pas de cautionner le mensonge. « Si dignité vous aviez, Vérité vous diriez » dit-on. Cette vérité là se résume en quelques mots : JE SUIS RWANDAIS ET JE RENONCE A MES PRETENTIONS PRESIDENTIELLES. Un point trait. Pour les congolais, c'est la liberation du pays qui compte et non vos projets lugubres. LAISSEZ CA.

JOSEPHINE KOUKA

 Bonus : http://www.dailymotion.com/video/xitikg_vital-kamerhe-coince_news

 Vital kamHere ou Vital KamerHe et son maitre àpenser http://youtube.com/watch?v=nx3I-xabC3U

http://www.youtube.com/watch?v=byrDV9Y-nCc&feature=autoplay&list=PLA0B9C52233F926E4&index=21&playnext=2

 

LES ACCORDS DE LEMERA, MYTHE OU REALITE A NE PAS EXPOSER?


Publication accords Lemera .

L'editeur responsable du journal umoja est arrete depuis neuf  jours seulement pour avoir re-publie les accords de Lemera dont le pouvoir  de Kinshasa a toujours nie l'existence. Lizes vous-memes. 
JSK 

 Nombreux sont des lecteurs d'Umoja qui nous ont demandé de mettre à leur disposition les fameux Accords de Lemera lesquels ont consacré la naissance de l'Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo, mouvement dont l'appellation a été calquée sur l'AFDLA qui n'est autre chose que l'Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération totale de l'Afrique. A cet effet, après plusieurs recherches, nous sommes, en fins limiers, tombés sur l'ouvrage de Claudia McElroy, productrice de télévision pour la chaîne Sky TV à Londres. Cette oeuvre intitulée In Search of The Power (c'est-à-dire "A la recherche du pouvoir) cite uniquement huit premiers articles des Accords de Lemera, son but étant d'illustrer, sur base de ce texte,l'irresponsabilité des mouvements rebelles africains dans la prise des décisions sans consultation préalable du souverain primaire, à savoir le peuple. Et curieusement, comme pour confirmer la thèse de l'auteur dudit livre, les erreurs commises hier continuent de se répéter avec le Rcd/Goma, le Rcd/ML-Bunia et le MLC/Gbadolite qui ont quasiment confié la partie de la Rdc qu'ils contrôlent à leurs alliés ougandais et rwandais. Ainsi, ces derniers,forts des accords signés,administrent sous forme d'une colonie,politiquement,économiquement, financièrement...une partie de notre territoire. Ces conquérants, véritables maîtres après Dieu, se permettent dès lors d'organiser la fiscalité selon leur loi, exploitent le sol et le sous-sol sans avoir des comptes à rendre à personne et vont jusqu'à procéder à la subdivisioin territoriale en créant une nouvelle province ou des jumelages entre provinces et leurs pays sans chercher à savoir ce qu'en pense le peuple congolais qu'ils ignorent du reste superbement. Inadmissible ! 
Pour revenir aux Accords de Lemera signés d'après l'auteur de In Search of The Power, le 23 octobre 1996 -la date importe peu, l'essentiel étant qu'ils aient été signés- voici le contenu des 8 articles tels que repertoriés par Claudia McElroy. Le texte étant en anglais, la traduction est de Umoja.> 
Accords de Lemera signés le 23 Octobre 1996 par les camarades fondateurs de 
l'AFDL (NDLR : il s'agit de Laurent Kabila du PRP, Parti de la Révolution populaire" ", André Ngandu Kisase du MNC/L-CNRD "Mouvement national congolais/Lumumba - Conseil national de résistance pour la démocratie", de Anselme Masasu du MRLZ "Mouvement révolutionnaire pour la libération duZaire", de Deogratias Bugera de l'ADP "Alliance Démocratique des peuples", et de Bizima Karaha qui les a approuvés). 

Art.1. Il est créé, en ce jour du 23 octobre 1996 à l'Hôtel Lemera, une Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo qui sera soutenue militairement par les forces combattantes de l'AFDLA. 

Art.2. Le sol et le sous-sol congolais appartiennent à l'Alliance. 

Art.3. L'Alliance devra demeurer une institution de l'Etat canalisatrice de l'idéologie de libération. 

Art.4. Prêchant le panafricanisme, l'Alliance s'engage à céder 300 kilomètres aux frontières congolaises, à l íntérieur du pays, pour sécuriser ses voisins ougandais, rwandais et burundais contre l'insurrection rebelle. 

Art.5. Dès que l'Alliance aura gagné la victoire, une rétribution spéciale sera allouée aux Alliés. Sa détermination est de la compétence de l'instance supérieure de l'Alliance. 

Art.6. Tous les politiciens des années soixante en Rdc et ceux ayant collaboré avec le régime de Mobutu seront mis en retraite politique. 
Art.7. La nationalité congolaise sera accordée collectivement aux camaradesBanyamulenge et aux autres populations d'origine rwandaise établies au pays avant la date de l'indépendance de notre pays (le 30 Juin 1960). 

Art.8. L'Anglais et le Swahili devront concurrencer le français dans l'espace linguistique de notre pays. 

A la lumière de ces 8 articles, l'on peut déjà lier la situation vécue sur le terrain avec certains faits. Une fois à la la tête du pays, le président Kabila a-t-il réalisé que la Rdc appartient aux Congolais et non à l'Alliance? En tout cas, il n'a pas hésité à dénoncer ces accords en taxant cette fameuse alliance qui s'était si insidieusement attribuée la propriété  du pays de '" conglomérat d'aventurier"...". L'actuelle guerre ne s'explique-t-elle pas par le fait de cette dénonciation (avec le renvoi des Rwandais) et par le fait aussi que certains membres du conglomérat d'aventuriers sont revenus à leur état naturel, celui des aventuriers? 
Toujours est-il que, comme nous l'avons annoncé ci-haut, l'ouvrage de McElroy en ne reprenant que 8 articles desdits accords avait plus en vue l'idée d'illustrer l'irresponsabilité dans la prise des décisions par des mouvements de libération en Afrique. Le livre est publié aux éditions Penguin à Londres, l'an 1999. 
Umoja. 


Blaise Sary

 

 

Attention à la diversion des grands tacticiens!

 

Mur [mur_anne@yahoo.ca] 06/06/2011 02:54:10

http://congoindependant.com/article.php?articleid=6554


Attention à la diversion des grands tacticiens!

Ce serait sincèrement une erreur que de croire que les Occidentaux ont laissé tomber Kabila Kabange Joseph avec cette sortie et ses déclarations du fils de Louis Michel auprès des Congolais disant que Kabila les a "deçu". 
Pensez-vous qu'avec Kabila les intérêts des Occidentaux sont en danger ou en jeux pour qu'ils puissent se défaire de lui ? Or tous les indices sur le terrain démontrent assurément le contraire! La présence de la communauté dite "internationnale", qui est en faite la communauté des colonialistes et des impérialistes prédatrices, est symboliquement bien assurée avec la présence de la Monusco au Congo.Quel est le véritable service que cette armée des occupants prédateurs rend réellement aux Congolais meurtris et agressés par la violence des capitalistes prédateurs ? C'est uniquement pour assurer la pérénité des intérêts occidentaux dans ce pays avec leur projet maccabre de vouloir disséquer ce pays ! (Voir le Soudan, la Yougoslavie, l'Ethipie avec l'Erithrée, L'URSS etc..)

Leur mission première étant de partager ce pays en morceau et d'assurer ce partage grâce à cette présence militaire de la MONUSCO qui va garantir les faux resultat du referendum en faveur de la division du Kivu avec les autres parties du pays, il leur faut un gouvernement loyal qui travaille avec eux pour ne pas les mettre hors du pays! 

Or Kabila travaillent de paire avec elle pour que ces troupes restent. Ils laissent survivre certains foyers de tension pour justifier leurs présences. Trouble et foyers de tension qui ne devraient plus exister après un mandat assigné au Raïs avec un pouvoir sans partage. Mais voilà qu'après tout ce temps à la tête du pays, il n'a pas été capable de sécurité l'ensemble du pays, là où l'intégrité du pays pose problème. Pour quelle raison ? la raison est simple: Diviser le Kivu et l'attacher au Rwanda par un reférendum après le dépeuplement des originaires de ce milieu grâce à cette destabilisation et peuplement des Rwandais dans cette partie du pays. 
C'est un grand complot contre le Congo dans lequel participe activement Kabila. 
Les propos du fils de Louis Michel est un mauvais signe pour les Congolais. Ils font parties de la grande DIVERSION savamment bien orchestrée. Ils savent ce que les congolais veulent et ce qu'ils aiment entendre de la part des Occidentaux.Son discours tend réellement à diviser les congolais et à laisser les congolais se battre entre eux pour qu'ils n'aient pas l'attention fixée sur les vrais enjeux de ces électionsMalheureusement, pour eux et pour nous aussi, nous savons qu'ils vont soutenir Kabila d'un côté et l'opposition de l'autre, pour devenir au bout de la ligne se mettre au milieu comme des médiateurs afin de proposer le referendum comme solution finale pour diviser le pays

Comme mentalement, nous, congolais, avons bien intériorisé leurs discours nous faisant croire que le pouvoir vient d'eux.. ils ne peuvent que se servir de ce plateau de croyance pour les renforcer grâce à ces visites et mots fétiches: 'Kabila nous a deçu". "Nous", c'est qui ? Prédateurs, violeurs à procuration, communauté des colonialistes ou tueurs et violeurs des congolais ? . 
Sans doute, les Occidentaux sont de très bons tacticiens car ils savent comment faire avaler l'hameçon aux congolais.