Thursday, September 10, 2009

Norvege: Ils ont tue un Congolais


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ILS ON TUE UN CONGOLAIS



Correspondance de Norvege: Il y a une pétition qui circule au sujet de deux Novergiens qui sont entrés frauduleusement au Congo et ils ont tués un chauffeur citoyen congolais. Ils ont été jugés et condamnés á mort mais la couverture de la presse norvegienne fut impartiale et negative en parlant negativement du Congo au lieu de mettre l'accent sur le meurtre du chauffeur. D'après le ministre norvegien des affaires étrangères, Tambwe Muamba et Kabila ont promis de relacher ces deux meurtriers. Le problème n'est pas qu'ils soient condamnés a etre exécutés mais il existe des lois opposables a tous et surtout cela ne doit pas être une occasion de ridiculiser un peuple. Pouvez-vous la faire circuler á travers vos reseaux. Les initiateurs de la pétition sont des jeunes congolais qu'il faut soutenir. Voici le lien

http://www.petition.fm/petitions/breakthesilence/1000/


Merci pour ton soutien et ta signature


TEXTE DE LA PETITION

Abedi kasongo était un père, un mari qui avait du mal à trouver un travail correcte pour nourrir sa famille. Abedi était un oncle, Abedi était un frère.
Ne pensant qu'à une chose: sa famille, ses enfants, sa patrie. Rien ne pouvait l'arrêter! Rien, oui, jusqu'à ce jour où Abedi a été froidement assassiné par son employeur! Il venait de trouver du travail. Il pensait pouvoir alors vivre heureux! Il pensait que ses employeurs étaient des honnêtes gens! Il s'est aperçu de leur malhonnêteté!


Ce sont des mercenaires pour qui prendre la vie d'un homme noir, de ces cousins africains, de frères congolais n'avait aucune signification! Abedi a été tué parce qu'il a découvert le complot. Abedi était un patriote, qui est mort pour avoir osé dire aux blancs que ce qu'ils faisaient était mauvais! Ils l'ont tué! Des mercenaires venus du Nord, venus du froid, ont abattu un homme au sang chaud!


Nous ne voulons pas que ces personnes soient punies par notre haine mais par les lois qui définissent que chaque humain ne peut en aucun cas être tué parce qu'il est noir, parce qu'il a osé dire à un blanc les quarte vérités, et de cela dans son propre pays!

Nous voulons que ces agresseurs soient jugés par les lois de notre pays qui est souverain et régit par une constitution! Nous voulons que ces hommes soient jugés par les hommes obéissant à la volonté de Dieu!
Nous appelons tous ceux qui sont congolais, africains, noirs et tous ceux à travers le monde qui se sentent concernés, de signer cette pétition au nom de de la Justice, car nous voulons rester non violent ; nous ne sommes pas des barbares!

Abedi Kasongo était une personne aussi ordinaire que toi!

Faite une difference! Signez la petition!

BRISEZ LE SILENCE!





BRISEZ LE SILENCE!

Un camerounais president de la RDC en 2001 ? Il parle TRES BIEN en lieu et place des congolais.

 
Le Journaliste camerounais Charles Onana est un Exemple pour les Congolais  


Le jounaliste-essayiste congolais Charles Onana. Photo d'archives

"Un camerounais parle en lieu et place des congolais. Le jour qu'il posera sa candidature à la présidence du Congo; qui osera lui interdire? Le pays est déjà dirigé par pas mal d'étrangers ; question qu'il demande la nationalité congolaise.
Il met sa vie en danger en disant tout haut ce que des intellectuels corrompus du Congo n'osent pas».

Telle est la réaction d'un compatriote au vu des actions spectaculaires que Charles Onana ne cesse de mener sur terrain en faveur de la RDC, notre chère patrie.

Mgr Desmond Tutu, Prix Nobel de la Paix a déclaré a propos du Congo : «Il faut être fou pour ne pas s'inquiéter de ce qui se passe au Congo».

D'aucuns n'ignorent que, depuis plus d'une décennie, RDC a cesse d'être un Etat au sens strict du terme, pour emprunter les termes de Koffi Annan.

La souveraineté de la RDC et son intégrité territoriale sont complètement bafouées, ses ressources font l'objet d'un pillage systématique, et sa population se trouve a la merci des hommes sans foi ni loi.

Le Congo est devenu le théâtre des combats les plus meurtriers, des viols aux dimensions épouvantes, des crimes et souffrances d'une ampleur on ne peut plus indescriptible.

Tous les experts s'accordent pour affirmer que la catastrophe humanitaire en RDC est la plus grave que l'humanité n'ait connue jamais connue depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Mais, ce qui est étonnant et très révoltant dans cette histoire c'est l'attitude des dirigeants congolais face aux multiples défis auxquels le Congo, leur pays, se trouve confronte.

Le Congo est entrain de traverser une page tragique de son histoire. La maison
«Congo» brule, les fondations de la nation sont bousculées, la survie du peuple se trouve menacée, mais fort est de constater que les dirigeants ne font preuve d'aucun sens du danger.

Ceci nous rappelle l'histoire du bateau Titanic. Alors que le danger était bien perceptible, le bateau Titanic commençait à prendre de l'eau, mais fort est de constater qu'il y avait encore un groupe d'individus qui continuaient à jouer de la musique et à danser comme si de rien n'était.

Le Rwanda et l'Ouganda ont causé à la nation congolaise des préjudices incommensurables. Au mépris des lois internationales qui régissent les rapports entre Etats, le Congo s'est vu, à maintes reprises, agresse par des troupes rwandaises et ougandaises.

Les congolais ont subi des traitements infrahumains sur leur propre territoire : tortures, exactions de toutes sortes, massacres, mutilations, viols et que sais-je encore. Plus de six millions des citoyens congolais ont perdu leur vie des suites de cette guerre d'agression et de ses séquelles.

Il est malheureux de constater que des crimes de guerre et crimes contre l'humanité ont, bel et bien, été commis en RDC par les troupes rwandaises et ougandaises. Ce sont des faits historiques et vérifiables.

Mais fort est de constater que les congolais ont été tues sur leur propre territoire sans la moindre réaction de ceux-là mêmes qui passent pour de garants de la nation et du bien-être du peuple congolais.

Et qui pis est, jusqu'ici, ils sont légion ces soi-disant leaders congolais qui n'ont jamais pris leur courage en mains pour condamner l'agression du Congo par le Rwanda et l'Ouganda et exiger que justice soit faite.

Pis encore, depuis le déclenchement de cette crise en RDC, nous avons vu le chef de l'Etat du Congo, les députés, sénateurs, ministres, et conseillers à la présidence de la république faire, au frais de l'Etat congolais, le tour du monde pour leurs intérêts mesquins et personnels.

Mais, par contre, nous n'avons vu aucun officiel congolais sillonner le monde pour désamorcer la propagande mensongère des dirigeants Tutsis rwandais qui ont fait le tour du monde pour expliquer a la communauté internationale que la guerre au Congo comme était une guerre préventive qui avait pour objectif démanteler et mettre hors d'état de nuire les milices hutus rwandais qui se préparaient a déstabiliser le gouvernement rwandais et perpétrer un second génocide a partir du territoire congolais.

L'on se rappelle que lors du contentieux belgo-zaïrois, Mobutu (le Congo) avait à l'époque dépêché en Belgique les meilleurs de ses fils pour défendre les intérêts de la patrie. Mais, sous Joseph Kabila, alors que le pays est sans ambages en danger, il n'y a aucune action de grande envergure pour dénoncer des injustices flagrantes dont souffre la RDC.

Les quelques délégués de Joseph Kabila qui vont représenter le Congo a l'étranger ont pour mission de dédouaner pratiquement nos agresseurs.

Mbusa Nyamuisi avait comme mission de dire à la communauté internationale que la guerre au Congo était une guerre ethnique. N'a-t-on pas entendu She Okitundu clamer haut et fort que le Congo souffre à cause de l'incapacité des congolais à accepter les frères Tutsis comme citoyens congolais. Aujourd'hui, Alexis Thambwe Mwamba a comme mission d'aller à annoncer à la communauté internationale que le Rwanda ne représente plus un danger pour la RDC.

Tous les hommes avertis, informes et avises savent qu'a l'époque, la RDC avait introduit une plainte contre le Rwanda et l'Ouganda pour avoir agresse le Congo, pille ses ressources et commis des atrocités sur le territoire congolais.

Mais, quelle n'était pas notre surprise d'apprendre plus tard que la RDC avait déjà retiré sa plainte contre le Rwanda. Qui a ordonné cela et pour quelles raisons ?

Quant a l'Ouganda, il avait été somme de verser des dommages et intérêts qui se chiffraient en termes des milliards de dollar américain pour les préjudices qu'il a cause a la république démocratique du Congo.

A ce que je sache, l'Ouganda n'a jamais versé, jusqu'à preuve du contraire, un seul rond à la RDC et ce dossier semble avoir été classe sans suite. Et qui pis est, l'on n'a plus jamais entendu parler de ce dossier ni du côté du Parlement et moins encore du cote du Sénat. Personne n'a fait le suivi de ce dossier. Personne ne se préoccupe des droits de congolais.

Et, pourtant, le Congo a un président de la République, un gouvernement, un parlement et un Senat. Et, il semble que tous ont été portes au pouvoir pour représenter la nation congolaise et pour défendre pour les intérêts supérieurs de la nation.

Ce qui se passe en RDC est une honte sans nom. Le Congo constitue l'exemple le plus éloquent d'un problème réel qui risque bien de compromettre très sérieusement l'avenir et le développement de l'Afrique si l'on n'y prend point garde. L'inconscience et l'irresponsabilité de la classe dirigeante africaine est une menace sérieuse a la survie de l'espèce humaine en Afrique.

L'Afrique est assassinée, pillée, polluée, et violée avec la complicité de ceux-là qui devaient la protéger. C'est révoltant !

De nos jours, les plus grands et redoutables ennemis de l'Afrique se révèlent être ses propres dirigeants ; des dirigeants corrompus, malléables, irresponsables, égoïstes et ennemis du bien public. Pour l'argent et leurs intérêts mesquins et personnels, ils sont prêts à accepter n'importe quelle compromission.

Interpellé par le sort des congolais que les dirigeants ont sacrifié à l'autel des intérêts égoïstes et mesquins, un frère africain d'origine camerounaise s'est levé pour dénoncer cette sale canaille qui est entrain de mettre à genoux un géant de l'Afrique avec la complicité des africains véreux.

Charles Onana est ce journaliste africain d'origine camerounaise qui a pris très à cœur la situation qui prévaut actuellement en RDC et en a fait son cheval de bataille.

Charles Onana a passé son temps à faire des investigations sur la crise qui sévit en RDC et est arrivé à la conclusion que la guerre au Congo est la partie visible d'un vaste complot contre la RDC. A la suite et à l'exemple de Cassement et Edmund Dene Morel, Charles Onana, preuves à l'appui, a lancé une vaste campagne de sensibilisation en faveur de RDC.

Que des conférences n'a-t-il pas donné à ce propos, que d'interviews n'a-t-il pas accordé, que des livres n'a-t-il pas publié pour la cause du Congo ? Seul et avec ses petits moyens, Charles Onana se bat pour que la voix des congolais se fasse entendre.

Charles Onana a bravé la peur en osant dire tout haut ce que bien des dirigeants congolais disent tout bas et tout simplement essaient de taire. Charles Onana a pris le risque de porter à l'attention du grand public des dossiers trop compromettants ; des dossiers qui mettent en cause l'implication des pays comme les Etats-Unis, la Grande Bretagne pour ne citer que celle des multinationales dans la crise qui sévit en RDC.

Pour avoir pris le courage de dire tout haut des vérités qui déragent, Charles Onana a été traduit en justice par le président Paul Kagame, mais étant donné que la vérité est très têtue, le procès s'est soldé en faveur de Charles Onana.

C'est bien ce genre de dévouement et sacrifice, ce degré de patriotisme et de nationalisme que l'on attendait du chef de l'Etat, des députés, et sénateurs congolais qui ont juré de défendre la nation et sa souveraineté.

Charles Onana a fait preuve de beaucoup plus de patriotisme que tous ceux qui prétendent représenter les congolais ; ceux-là mêmes qui sont payes et même trop bien payes pour défendre les intérêts de congolais.

Compte tenu de ce qui précède, l'on est en droit de se poser la question de savoir qui d'eux (Chef de l'Etat, députés et sénateurs) et Charles Onana mérite bien d'être citoyen congolais ? Et, Qui d'eux et Charles Onana peut valablement représenter la RDC ?

Il ne fait l'ombre d'aucun doute que Charles Onana est plus digne d'être Congolais que la plupart des dirigeants congolais.

Il est important de savoir que le fait d'être détenteur d'un passeport congolais ne fait pas de nous de bons citoyens congolais.

Car, tous ceux qui trahissent aujourd'hui le Congo sont porteurs d'un passeport congolais et bien plus ils circulent avec un passeport diplomatique livre la RDC qui leur confère certains privilèges que tous les congolais n'ont pas. Mais, ils sont ennemis du Congo et sont entrain de scier la branche sur laquelle ils sont assis.

Les vrais congolais ? C'est par les actions que vous les reconnaitrez.

Mukelenge Kasiala
© Congoindépendant 2003-2009

Délivrance du passeport biométrique

Délivrance du passeport biométrique :

Le ministre Thambwe désavoué?  


Le Premier ministre congolais Adolphe Muzito. Photo d'archives.

Le Premier ministre Adolphe Muzito a décidé, en lieu et place du chef du département des Affaires étrangères, de simplifier la procédure de délivrance du passeport biométrique. Le certificat de nationalité et l'extrait de casier judiciaire ne seront plus exigés aux usagers. Cette démarche inhabituelle prend le relief d'un désavoeu face au tollé suscité par la gestion "chaotique" du nouveau titre de voyage.

Aux termes d'une signée par le Premier ministre, la procédure de délivrance du nouveau passeport a été "simplifiée". Tout requérant, détenteur d'une carte d'électeur, ne sera plus tenu de rapporter le certificat de nationalité ainsi qu'un extrait du casier judiciaire. Une deuxième note émanant du ministre des Affaires étrangères apporte un "correctif sur le sort de l'ancien passeport : pendant le délai d'attente, le requérant pourra voyager avec son ancien passeport dont la validité est désormais légalisée. Un vrai casse-tête chinois pour les légations étrangères présentes à Kinshasa lesquelles se méfient comme de la peste des documents officiels délivrés par les autorités administratives congolaises.

Dans sa note circulaire précitée datée 31 août dernier adressée au ministre de la Justice et des Affaires étrangères, le Premier ministre Adolphe Muzito est monté au créneau pour préciser à l'adresse de ces deux membres du gouvernement que "la carte d'électeur est la pièce d'identité nationale et suffit donc pour attester la nationalité". Le "Premier" de souligner que "l'exigence d'un extrait du casier judiciaire pour l'obtention d'un passeport ne se justifie pas".

Dans sa note verbale adressée aux missions diplomatiques accréditées à Kinshasa, le chef de la diplomatie congolaise, Alexis Thambwe Mwamba, précise, près de six mois après la mise en circulation du passeport biométrique, "que tous les passeports congolais, anciens et nouveaux, ont cours légal jusqu'à nouvel ordre". Lors de la présentation du même passeport, fin mars, Thambwe déclarait que "la durée de validité des anciens passeports ordinaires est de six mois à dater du 1er avril 2009".

"Le ministre est responsable de son département. Il applique le programme gouvernemental dans son ministère, sous la direction et la coordination du Premier ministre", énonce l'article 93 de la Constitution. L'intervention du chef du gouvernement congolais dans ce dossier purement administratif traduit une volonté de mettre fin au chahut que suscite par la gestion du nouveau passeport.

On rappelle que le directeur de la Chancellerie du ministère des Affaires étrangères et son collègue du ministère de la Justice ont été récemment interpellés dans une affaire de délivrance de "vrais-faux" certificats de nationalité.

A Kinshasa, des voyageurs souhaitent voir une "déconcentration" de la "distribution" du passeport. "Les autorités diplomatiques de notre pays ont élevé la délivrance du passeport au rang de mystère alors qu'il ne s'agit que d'un titre de voyage, s'enrageait un homme d'affaires. Sous d'autres cieux, le passeport est délivré par des fonctionnaires communaux".

Madeleine Wassembinya (avec APA)
© Congoindépendant 2003-2009

 

Tuesday, September 08, 2009

Oscar Kashala Face a la Nation

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Dr. Oscar Kashala
Face a La Nation Congolaise
Samedi 12 Septembre 2009 a 14H (heure de Kinshasa)


Dr. Oscar Kashala, a travers une interview marathon, s'adresse le 12 Sepetembre 2009 a la nation congolaise. Il explicitera les enjeux de l'election presidentielle en 2011 et la necessite d'un changement de regime. Il stigmatisera les risques a laisser le pays entre les mains des aventuriers et incompetents.

Dr. Oscar Kashala
FACE A LA NATION
Samedi 12 Septembre 2009
15 H00 heure de Kinshasa
www.CongonetRadio.com/direct
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Friday, September 04, 2009

ASSASSINAT DE LUMUMBA: Jonas Munkamba decide de parler.

ASSASSINAT DE LUMUMBA: Jonas Munkamba décide de parler. 

Va-t-il livrer tous les secrets et dire enfin toute la vérité? Son témoignage est déja  écrit et la diffusion est pour demain. Munkamba refuse de mourir comme un idiot dans le silence et la confusion totale. Ne manquez !!! Lisez et écoutez bien.  cliquez >>>


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Visitez le site www.congonetradio.com   Congonet Radio, la radio planetaire des patriotes et amis du Congo

Contacts: http://www.congonetradio.com/cotact

Thursday, September 03, 2009

Incapables ? Nous les noirs, ...

Nous les noirs, ...KADIMA NZUZI (Canada) 

Nous les noirs, nous sommes très forts sur des analyses et des critiques stériles et interminables, qui n'aboutissent jamais à quoique ce soit de concret et de valable. À quand le jour où vous discuterez des choses positives et constructives ? À quand donc commencerez-vous à discuter du développement et de la planification des pays africains? Non, cela est une tâche trop difficile. Il vaut mieux la laisser aux blancs, eux ils sont capables. Quant à nous, nous nous contenterons de faire semblant de faire quelque chose en critiquant, en critiquant et encore en critiquant, sans même nous rendre compte que depuis des dizaines d'années nous n'avons fait que critiquer et rien n'en  est résulté. 

C'est très facile de critiquer les blancs: les américains, les français, etc. C'est évidemment à cause d'eux que nous n'arrivons pas à nous développer, parce qu'ils nous bloquent, etc. etc. etc... Mais, avez-vous déjà pensé que notre vrai problème a commencé le jour où nos ancêtres, pour la première fois, se sont trouvés face à face avec les ancêtres des blancs?... Qu'en ce moment déjà, nos ancêtres étaient en état d'infériorité technologique par rapport à ceux des blancs, et que c'est cela qui à permis aux ancêtres des blancs de dominer les nôtres ? ... Attention ! , avant ce face-à-face, comment nos ancêtres auraient-ils été bloqués dans leur développement technologique par des blancs, alors qu'ils ne s'étaient pas rencontrés auparavant?....Ils avaient tout simplement manqué le bateau comme on dit. En y pensant comme bien, comment pouvons nous soutenir, de manière sérieuse, que notre sous développement avec tous ses problèmes nous sont imposés uniquement par des forces extérieures?

N'est-il pas plus logique de penser plutôt qu'à notre tour, comme nos ancêtres, nous sommes en train de manquer le bateau et ce, sans même nous en rendre compte? 

KADIMA NZUZI (Canada)   

Re: FLASH: Projet de société de l'APARECO

On 9/3/09, Lambert Ngoi <lambertngoi@gmail.com> wrote:
RIGOLO ou TRAGIQUE ?
Projet de Societe de l'Apareco
Les refelxes du Mobutisme et du parti-Etat, parti unique, pensee unique reviennent au galop.
L'Apareco n'a-t-elle plus de strctures (congres ou autre) habilite a promulguer le Projet de Societe ?
Son president national se fait Guide Supreme et sa personne une Institution, capable de decider seul de la promulgation d'un document fondamental. Vu que l'Apareco est reduit a un groupe de ngembos et attroupement clanique, il est donc possible que leur chef soit investi d'un pouvoir de droit divin et soit donc habilite a decider pour tous sans debat. Mobutu est mort, vive Ngbanda Mobutu !
 
De : rolain mena <menarolain@yahoo.fr>
À : Rolain MENA <
menarolain@yahoo.fr>
Envoyé le : Jeudi, 3 Septembre 2009, 11h53mn 39s
Objet : Honoré NGBANDA présente le projet de société de l'APARECO

Honoré NGBANDA présente le projet de société de l'APARECO
 
Projet de Société CLIQUEZ ICI.

Wednesday, September 02, 2009

Le député ROGER LUMBALA appelle au reveil des Kasaiens

MESSAGE DE LA RTGK
 
Bonjour à tous,
Voici le programme de diffusion de cet interview avec
le député national ROGER LUMBALA sur nos antennes:

Pour l'Europe Ce soir du 02/09/ à 20h00 de Bruxelles

Pour l'Amérique   Ce soir du 02/09 à 22h00 de New York

Pour l'Afrique Demain 03/09 à 11h00 et 15h00 de Kinshasaha

LIVRE RECOMMANDE

Diyi dia Kasaï présente sur son site "KASAÏ REVEILLES-TOI!" le livre de combat de Roger Lumbala pour la valorisation du peuple du Kasaï.

Diyi dia Kasaï a rencontré pour vous, l'honorable député national, Mr Roger Lumbala du RCDN qui a lancé un mouvement de pression pour relever le peuple kasaïen dont les droits à la prospérité socio-économique sont resté longtemps ignoré dans un pays en pleine mutation. Le 01/09/09 dans un restaurant congolais de Matonge à Bruxelles, l'aigle de Miabi s'est prêté au jeu de questions réponses pour éclaircir l'opinion sur le pourquoi de son combat et n'a pas oublié de prendre à coeur le danger qui nous guette entre le territoire de Dimbelenge et de Kabeya Kamwanga.




 
 
 
 

Tuasakidilayi

Tuesday, September 01, 2009

Roger Lumbala (VIDEO): Etat de la nation. Rien ne va au Congo sous Joseph Kabila

 
Roger Lumbala (VIDEO)
Etat de la nation: Rien ne va au Congo sous Joseph Kabila
 
 

Difficile d'éviter Bruxelles quand on est leader politique Congolais.

 Le compte à rebord pour la fin des institutions issues des élections de 2006 ayant commencé, il nous semble important de tâter le pouls  des acteurs politiques :

-           Ceux de l'opposition afin qu'ils relèvent les failles de ceux qui sont au pouvoir,

-           Ceux qui sont au pouvoir, afin qu'ils livrent à l'opinion  leur bilan, et expliquent les contreperformances remarquées.

Un de nos partenaires au Japon nous ayant averti du passage de monsieur Roger Lumbala à Bruxelles, nous avons réussi à  le rencontrer et  lui poser cinq questions.

Monsieur Roger Lumbala, ancien dirigeant de la rébellion, ancien acteur lors du système 1+4, est aujourd'hui  député  de l'opposition.  Voici les questions auxquelles il a répondu dans les trois vidéos ci-dessous :

  1. Qui  il est
  2. Son regard sur l'état de la Nation
  3. Les préalables pour la tenue des élections en 2011
  4. Les ambitions de son parti pour les prochaines échéances
  5. Son projet de réveil adressé aux ressortissants de la province du Kasaï

 

Cheik FITA

Bruxelles, le 1er septembre 2009  

SOURCE:




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Lambert Ngoi
Citoyen de la RD Congo
TEL  +81- 90 8453 8549  
FAX +81- 50 1427 3101
Adresse postale:
Shisho Bako 43, Yubinkyoku Higashi
Utsunomiya-shi, 321-8799 Japon

Roger Lumbala (VIDEO): Etat de la nation. Rien ne va au Congo sous Joseph Kabila

Difficile d'éviter Bruxelles quand on est leader politique Congolais.

 Le compte à rebord pour la fin des institutions issues des élections de 2006 ayant commencé, il nous semble important de tâter le pouls  des acteurs politiques :

-           Ceux de l'opposition afin qu'ils relèvent les failles de ceux qui sont au pouvoir,

-           Ceux qui sont au pouvoir, afin qu'ils livrent à l'opinion  leur bilan, et expliquent les contreperformances remarquées.

Un de nos partenaires au Japon nous ayant averti du passage de monsieur Roger Lumbala à Bruxelles, nous avons réussi à  le rencontrer et  lui poser cinq questions.

Monsieur Roger Lumbala, ancien dirigeant de la rébellion, ancien acteur lors du système 1+4, est aujourd'hui  député  de l'opposition.  Voici les questions auxquelles il a répondu dans les trois vidéos ci-dessous :

  1. Qui  il est
  2. Son regard sur l'état de la Nation
  3. Les préalables pour la tenue des élections en 2011
  4. Les ambitions de son parti pour les prochaines échéances
  5. Son projet de réveil adressé aux ressortissants de la province du Kasaï

 

Cheik FITA

Bruxelles, le 1er septembre 2009  

SOURCE:

Sunday, August 30, 2009

Exemple gabonais: Joseph Kabila se retirerait des elections en 2011.

 
On ne parle plus d'Ali Bongo.
Gabon : vers une finale électorale Mamboundou-Mba Obame
     
Écrit par Alfred MBA ASSEKO  Dimanche, 30 Août 2009 16:07    
coalition2009Les surprises ne manquent pas à Libreville ce dimanche. Les Gabonais ont appris le désistement surprise d'un des quatre candidats principaux. Casimir Oyé Mba a jeté l'éponge.

« D'après la rumeur, Casimir Oyé Mba aurait reçu 16 milliards de francs CFA (environ 25 millions d'euros) et un hélicoptère du système en place pour se retirer de la campagne présidentielle », explique Laurent Despas, le directeur du site d'information panafricain Koaci.com.


On ne parle plus d'Ali Bongo

« Cette information circule dans tous les téléphones portables par messagerie. En fait, Casimir Oyé Mba a compris qu'il n'était plus dans la course et que le sprint final allait mettre en lice Pierre Mamboundou et Mba Obame. On ne parle plus d'Ali Bongo. »

C'est là la seconde surprise de ce jour d'élection présidentielle. Le fils d'Omar Bongo serait désormais hors course. Quelle va être sa réaction ? Va-t-il se plier au verdict des urnes ou bien tenter de sauver son élection par un coup de force ?

L'hypothèse d'un « putsch » électoral inquiète de nombreuses communautés étrangères installées au Gabon. Parmi elles, la communauté d'origine française est la plus importante et pourrait être la cible de violences.

Le dispositif français

La France déploie des forces armées au Gabon depuis l'indépendance de ce pays en 1960 et conformément aux accords de défense d'août 1960. Libreville accueille une des quatre bases militaires permanentes prépositionnées en Afrique (avec Dakar, Djibouti et la Réunion).

Un millier de militaires y est stationné. Leur première mission est de veiller à la sécurité des 12 000 ressortissants français installés dans le pays. Cette communauté est la troisième par la taille en Afrique.

Articulées autour du 6e bataillon d'infanterie de marine basé à Libreville, les Forces françaises au Gabon (FFG) maintiennent des moyens en alerte : deux Transall C160, un peloton à trois blindés légers ERC90, deux compagnies d'infanterie parachutiste et trois hélicoptères Cougar, afin d'intervenir sur place en cas de troubles ou de renforcer les autres contingents tricolores déployés en Afrique en cas de tension particulière ou de déclenchement d'un plan d'évacuation.

Source : http://www.ouest-france.fr/

Wednesday, August 26, 2009

Le plus vieux prisonnier politique de la RDC

De: eurac info <euracinfo@eurac-network.org>
Objet: Menace d'arrestation après la libération de Antoine NGALAMULUME
Date: Lundi 24 Août 2009, 2h13


Le CODHO annonce la libération conditionnelle Antoine NGALAMULUME MUKWEGE après plus de 3 285 jours d'incarcération dans plusieurs lieux de détention en RD Congo, mais aussi dénonce la menace d'arrestation qui pèse encore sur lui à Kinshasa
Kinshasa, le 22 Août 2009- « C'est une bataille gagnée, mais pas encore la guerre »- Ce bout de phrase est du Comité des Observateurs des Droits de l'Homme (CODHO) basé à Kinshasa, qui a suivi la situation de persécution contre Antoine NGALAMULUME MUKWEGE et consorts depuis début novembre 2000 jusqu'à ce jour.
 
Libération :
 
C'est arrivé, Monsieur Antoine NGALAMULUME a été libéré le 18 août 2008 de la prison centrale de
Makala à Kinshasa (Fiche de libération n°706/08/09) après plus de 3 285 jours de détention dans plusieurs lieux de détention. C'était à la suite de l'exécution de l'arrêté n°MDHAC/CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009 signé par monsieur Charles Mwando Simba, Ministre de la Défense nationale et des anciens combattants ministériel n°MDHAC/ CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009. Il est, à ce jour, le plus vieux prisonnier politique jamais connu dans l'histoire de la République démocratique du Congo. Monsieur NGALAMULUME Mukwege Antoine a été condamné dans la nuit du 24 au 25 en novembre 2000 (cf. RMP024/JL/00) par la COM (Cour d'Ordre Militaire) de triste mémoire à 20 ans de servitude pénale principale pour l'infraction d'atteinte aux institutions de la République, et huit personnes parmi ses consorts ont été immédiatement exécutés par fusillade juste après le verdict.
 
Nouvelle persécution :
 
Mais, aussitôt sortie de la prison Centrale de Makala à Kinshasa, libéré le 18 août 2008, Antoine NGALAMULUME est parti sans ses effets personnels, il reviendra le jour suivant le 19 août à la prison pour ces effets où il a été désagréablement accueilli. Antoine NGALAMULUME a été détenu ce jour là de 10h30 à 16 30 dans le bureau du Directeur du quartier militaire de la prison parce que, selon les sources de CODHO, des contradictions alimentées par des éléments des forces de sécurité basés à cette prison, ont été manifestes au sujet de cette libération dans le chef des certaines autorités, selon les sources de CODHO, notamment le Ministre de la Justice, monsieur LUZOLO BAMBI LESSA, l'Avocat général Militaire MUKUNTU, l'Inspection générale de la Police John NUMBI, l'Administrateur général de l'Agence nationale de renseignement (ANR) qui se sont opposé à cette libération. Après moult discussions et négociations entre d'une par le Directeur du quartier militaire, le capitaine NGOY d'une part et les autres éléments des forces de sécurité basés à la prison centrale de Makala d'autre part. Vers 16 h30, et après avoir reçu l'ordre par téléphone, de sa hiérarchie le Directeur du quartier militaire a libéré pour la seconde fois Antoine NGALAMULUME de la prison, mais avec la consigne : « faites attention, il y a beaucoup d'agitations au sujet de ta libération ». Les 20 août 2009, monsieur Antoine NGALAMULUME a révélé aux enquêteurs de CODHO qu'il a reçu les 20 et 21 août 2009,  des appels de la part des personnes sûres qui ont requit l'animât, l'avertissant qu'un mandat de prise de corps a été lancé par les forces de sécurité de la police nationale contre sa personne. Ce qui oblige Antoine à vivre en clandestinité.
 
Fait :
 
C'était à la suite de l'exécution de l'arrêté n°MDHAC/CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009 signé par monsieur Charles Mwando Simba, Ministre de la Défense nationale et des anciens combattants ministériel n°MDHAC/ CAB/ 013/09 du 13 juillet 2009 que NGALAMULUME Mukwege Antoine a été libéré. Une liste était annexée à cet arrêté portant les noms des personnes qui ont été jugées par la justice militaire devraient bénéficier d'une libération conditionnelle du faite de leur comportement positive en prison et après avoir purgé le quart de leur peine. Ceux qui s'étaient retrouvé sur cette liste ont été libérés les 13 août 2009, sauf monsieur NGALAMULUME Mukwege Antoine, prétendu faire partie d'un certain « dossier rouge », c'est-à-dire de l'affaire de l'assassinat du président de la République Laurent Kabila.
 
Historique :
 
Pour la petite histoire, CODHO informe l'opinion que monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine a été condamné dans la nuit du 24 au 25 décembre 2000 par la Cour d'Ordre Militaire (COM) pour trahison (infraction politique) dans le procès « affaire Commandant Masasu Nindaga et consorts » sous RMP.024/JL/00 à Cantonnier, une localité située près de la cité de Pweto dans l'Est de la Province du Katanga. Monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine, un des survivants, après son arrestation à Kinshasa début novembre 2000 dans une vague d'arrestation des ressortissants, civils et militaires, des provinces du Kivu –Nord et Sud et Maniema), il a été détenu successivement à la Direction de la Sécurité militaire ex-DEMIAP à Kinshasa/ Kintambo, au GLM à Kinshasa/Gombe, à l'ANR/Kinshasa- Gombe (Agence nationale de renseignements), et par après transféré dans une résidence privée à Lubumbashi avant d'être ramené à Kinshasa dans une autre résidence privé, puis transféré à la prison de Kasapa à Lubumbashi avant d'être transféré dans la localité de Cantonnier près de la cité de Pweto vers le sud-Est de la province du Katanga. C'est dans ce cadre qu'un simulacre de procès sans appel a été organisé pendant deux jours par la COM (Cour d'ordre militaire) et sans avocats. Un dizaine de personnes ont été poursuivies pour atteinte à la sûreté de l'Etat parmi lesquelles un femme portant son bébé de 2 mois. Huit de ces prévenus ont été condamnés à mort et exécuté immédiatement après le verdict qui est intervenu dans la nuit du 24 au 25 novembre 2000. Parmi les survivants figurait monsieur NGALAMULUME Mukwege Antoine qui a été condamné à 20 ans de prison. Tous les condamnés à des peines de prison ont été ramenés, deux jours après, à la prison de Kasapa à Lubumbashi, puis transférés à la maison d'arrêt de Buluwo à Likasi, toujours dans la province du Katanga pour purger leurs peines. Lors du procès de l'assassinat du président Laurent Kabila (assassiné le 16 janvier 2001 à Kinshasa à sa résidence), NGALAMULUME Mukwege Antoine sera transféré à la prison centrale de Makala à Kinshasa en 2002 par le ministère public, Auditeur général militaire, et mêlé des présumés auteurs de la mort de Laurent Kabila. Et lors des inculpations, ce dernier a été poursuivi entre autres du chef « d'atteinte à la sûreté de l'Etat ». Signalons que l'assassinat de Laurent Kabila a eu lieu à Kinshasa le 16 janvier 2001 alors qu'Antoine Ngalamulume était déjà détenu depuis début novembre 2000. Lors de la sentence du 7 janvier 2003 dans le procès « affaire Eddy Kapend et consorts » le juge militaire n'a reconnu aucune infraction et donc aucune peine à charge de NGALAMULUME Mukwege Antoine.
 
La loi n°05/023 du 19 décembre 2005 portant amnistie pour faits de guerre, infractions politiques et d'opinion a renforcé le décret-loi d'amnistie du 15 avril 2003. Ce qui a obligé le Ministre de la Justice à prendre une série d'arrêtés portant application de la loi sus évoquée, notamment l'arrêté n°047/CAB/MIN/J/2006 du 20 mars 2006. Il se fait curieusement que le nom de monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine a été raillé sur la liste des personnes qui devraient bénéficier des mesures d'application de cette loi, alors que tous ses co-condamnés qui étaient incarcérés à la prison de Buluwo à Likasi ont été par cette occasion là en liberté en 2006, sauf à Kinshasa où l'Auditeur général des Forces armées de la RD Congo, autorité compétente pour décider de cette libération s'y opposait jusqu'au 18 août 2009.
 
Recommandation :
 
 Le Comité des Observateurs des Droits de l'Homme (CODHO) recommande aux autorités de la RD Congo de bien vouloir veiller à la protection de la sécurité physique de monsieur NGALAMULUME MUKWEGE Antoine ainsi que des membres de sa famille.
 
Kinshasa, le 22 Août 2009
N'Sii LUANDA S.  Président CODHO
 
  
 REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
 
Pour tout complément d'information contacter le Bureau CODHO à Kinshasa à l'adresse suivante : Immeuble Vévé Center, 1er étage, L./4 , -2, rue Bongandanga, Quartier Anciens combattants, Commune Kasa- Vubu, Kinshasa ;
B.P. 20 Kinshasa 7, RD Congo
E-mail : codho_kinshasa@yahoo.fr, Téléphone : +243(0) 81 50 89 970

Tuesday, August 25, 2009

Kabila fait séquestrer 3 Journalistes de la Radio Moto

Butembo:
L'ANR séquestre 3 Journalistes de la Radio Moto
Beni-Lubero Online, 25-08-2009

Quelques heures après l'assassinat du Journaliste Bruno Koko Chirambiza de la Radio STAR de Bukavu, 3 Journalistes de la Radio Moto Butembo-Beni (RMBB) ont été brutalement séquestrés par des Agents de l'Agence Nationale des Renseignements (en sigle ANR) de Butembo le dimanche 23 Août au début de l'après-midi. L'opinion locale a lié ces deux faits même s'il n'y pas eu mort d'homme à la RMBB. Ces deux faits déplorables démontrent que la Police Congolaise est plus habile à sévir contre les congolais honnêtes que les bandits qui massacrent les populations et volent leurs biens. Le journaliste qui rapporte un fait macabre est poursuivi ou assassiné pendant que le fait macabre n'est pas condamné et encore mois son auteur qui souvent jouit d'une impunité déconcertante. De là  conclure  que la Police congolaise a choisi le camp des malfaiteurs, il n'y a qu'un cran.


Ce qui s'est passé hier dimanche à la RMBB où réceptionnistes et journalistes en plein travail ont été séquestrés, torturés moralement, mettant fin brusquement à leurs émissions et donc abandonnant des milliers d'auditeurs dans le vide, est une antivaleur qui doit être combattue. Notez que les journalistes de la RMBB étaient interpelés par l'ANR sans convocation, sans ordre de mission ou mandat d'amener, etc. Le seul ordre de mission brandi à Kambali était les fusils AK47, des menottes ou craquants.
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Il est 14h00. Les travailleurs voient à travers les fenêtres que la maison de la radio est encerclée par des policiers armés jusqu'aux dents. Ayant appris la nouvelle de l'assassinat du journaliste Bruno de Bukavu dans la matinée du même jour, c'est la panique qui gagne les esprits.
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Quelques minutes après, certains agents de l'ANR bien armés prennent d'assaut la salle de la réception de la Radio où ils ne trouvent que des demoiselles à qui ils demandent de les suivre à l'extérieur. Les demoiselles ont cru qu'elles avaient à faire à des violeurs qui utilisent le viol des femmes comme armes de guerre au Kivu. Sans se consulter, elles ont toutes refusé d'exécuter l'ordre des policiers de l'ANR sans la permission du responsable de la radio. Aussi, l'une d'elles aurait eu le courage de demander pourquoi la radio était assiégée ? Avant qu'elle n'achève sa question, les menottes ont atterri sur ses deux bras. Silence totale !
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Les Agents de l'ANR poursuivent leur opération en s'introduisant dans la salle de la rédaction et au studio de la Radio. Là ils trouvent en plein travail le Père Assomptionniste Claude VINDU, Journaliste, Mr. Serge SIKULI, Rédacteur en chef, et l'Assistant Edouard Mwengesyali Mumbere, enseignant à l'Institut Supérieur Emmanuel d'Alzon de Butembo (ISEAB), et collaborateur de la RMBB. Sans aucune introduction, ces agents dits de l'ordre, ont crié en Lingala comme à l'époque de l'homme de Kawele où dans certaines provinces où l'on ne parle pas Lingala la Police ne parlait que Lingala, au point qu'il n'y avait jamais de dialogue entre la Police et les administrés qui étaient tout simplement des victimes. Du coup c'est le Lingala qui a retentit dans la salle de rédaction de la RMBB : « Responsable ya radio aza wapi, responsable aza wapi, bino ba sango bokanisaka boza ba intouchables, ba pomba, lelo bokomona,…. ».
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Le premier qui voulait expliquer que les responsables de la Radio ne sont pas présents, n'avait pas fini sa phrase avant que l'un des policiers ne menace de le menotter. Un autre agent de l'ANR a de nouveau donné de la voix : « Bo landa binso. Soki bolingi te, tozomema bino na force »
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Sous menaces et intimidations, et ne comprenant pas quelle faute ils avaient commise, les trois journalistes ont cédé, se laissant escorter jusqu'au bureau de l'ANR  par des policiers surarmés comme s'ils étaient  des criminels.
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Arrivés au bureau de l'ANR, les 3 journalistes qui ne savaient pas quelle infraction leur radio avait commise, ont été de nouveau intimidés par d'autres policiers bien armés qui les ont entourés comme s'ils étaient des criminels dangereux. De nouveau, les journalistes ont demandé pourquoi ils étaient arrêtés. Après des intimidations et des tortures morales, on leur dira qu'ils sont arrêtés parce que leur radio continue de diffuser la page nouvelle de RFI contrairement aux instructions du 6 Août 2009 et du 22 Août 2009 données par le chef de l'ANR-Butembo, Mr Alain LIFONGOLA, et envoyées à toutes les radios locales.
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Les Journalistes de RMBB ont rétorqué qu'ils n'ont jamais reçu ces deux instructions écrites concernant RFI mais qu'ils étaient au courant de la rumeur à propos de la coupure du signal RFI. Prenant son courage en main, un de trois journalistes a demandé quel agent de l'ANR avait été chargé de déposer les instructions de l'ANR à la RMBB et à qui il les aurait remises.
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A cette question l'interrogateur de l'ANR répondit que l'instruction de la veille avait été déposée à la RMBB le dimanche matin à 9h00, c'est-à-dire 5 heures avant la descente de l'ANR au studio de la RMBB, et deux heures après la dernière diffusion de RFI de 6h30'. Si la lettre a réellement été remise au responsable de la Radio, les journalistes n'étaient pas encore au courant, le laps de temps étant trop court. Dans tous les cas, la RMBB n'avait pas encore violée la loi de la lettre déposée en 9h00 du même jour car la dernière rediffusion de RFI avait eu lieu à 6h30'. Si l'interpellation avait eu lieu le lundi ou le mardi, l'ANR pouvait dire qu'il y avait eu violation de l'ordre transmis dans le courrier du dimanche.

Malgré cette incohérence notoire dans la démarche de l'ANR, l'interrogateur voulait incarcérer les trois journalistes. Entretemps, la mauvaise nouvelle se répandait de bouche à oreille à travers toute la ville sachant que la RMBB qui avait suspendu toutes ses émissions du jour, est la radio la plus écoutée en ville de Butembo.
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Selon les travailleurs de la Radio qui nous ont fourni l'information, les Supérieurs des Prêtres Assomptionnistes, responsables de la RMBB, étaient descendus au Bureau de l'ANR-Butembo pour demander la libération de 3 journalistes arrêtés. L'ANR accédera à la demande des Prêtres Assomptionnistes à 21h00, heure locale après plusieurs heures de négociation. Les trois journalistes ont ainsi retrouvé l'air libre après plus de six heures de torture morale.
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Les maisons de presse locale condamnent ce comportement de l'ANR à l'égard de la presse et demandent que l'ANR revoie ses méthodes de travail et de collaboration avec la presse. Dans le cas de la RMBB, l'ANR aurait pu se passer de cet acte cow-boy qui a terni davantage son image ! Assiéger le studio d'une radio qui est au service de la communauté, arrêter brutalement les émissions d'une radio de développement, est un manque de respect vis-à-vis des auditeurs et du métier du journaliste. S'il y a un problème, pourquoi ne pas convoquer le responsable de la radio, pas un dimanche mais pendant un jour ouvrable, lui faire savoir le motif d'accusation, lui donner l'occasion de se défendre, et prendre le cas en délibéré… Selon plusieurs observateurs, la purge dans la magistrature congolaise aurait pu commencer dans l'armée et dans la police où des antivaleurs passent pour la loi moyennant les Kalachnikov.
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Kakule Mathe, Butembo
Beni-Lubero Online

Texte distribué par:
 
Mwalimu Kadari M. Mwene-Kabyana, Ph.D.  Tél. (514) 937-2362  Fax (514) 937-9693

La lutte continue. Peu importe le discours de H. Clinton

Message du Patriote

HILLARY CLINTON A CHOQUE LES PATRIOTIQUES.  LA LUTTE CONTINUE...
 
Nous devons nous concentrer sur la mobilisation a l'intérieur comme a l'exterieur du pays. Par mon expérience, les dirigeants occidentaux ne sont pas sensibles a des manifestations par des etrangers. Ils ne comprennent que lorsqu'ils déctectent des signaux que nous sommes capables de mettre leurs interets en difficulté.
 
Nous devons donc  adopter des methods auxquelles ils sont sensibles et surtout influencer leur électorat qui les juge et dont ils ont peur. Nous devrions par exemple planifier beaucoup  d'activités avec des universités aux USA, en Europe, au Japon, au Canada, etc. afin de dénoncer avec éfficacité la tragédie qui déroule au Congo. Par ailleurs, nous devons  continuer a communiquer notre position a travers les médias, leur montrer que nous connaissons tous les plans des prédateurs étrangers et que nous n'allons pas les laisser exploiter et piétiner notre peuple inpunément et indéfiniment. Par example, il est impérieux de dénoncer immédiatement le plan de recolonization du Congo qui se trame derriere les murs a Washington, Londres, Bruxelles, Paris  en utilisant les options militaires telle que l'AFRICOM.

 

Il y a deux choses tout a fait différentes: l'une est la course au pouvoir pour le pouvoir et l'autre est la lutte pour la libération du pays. Libéerer et protéger un pays nécessite la présence d'une armée des jeunes mobilises et conscientises, qui ont le courage de se prendre en charge ainsi que de s'attaquer a l'impérialisme et a la dictature. Ceci demande un investissement important et un travail ardu. C'est notre devoir patriotique, du moins pour ceux qui ont compris. Nos jeunes ont compris, je crois que ce sont ceux qu'on appelle "aines" qui n'ont pas compris Beaucoup de nos compatriotes de la Diaspouri sont hélas aussi corrompus que l'entourage de l'imposteur-président Joseph Kabila. Les jeunes vivant au Congo ont besoin des models, des exemples, des idéologues a suivre. Et c'est en ce moment que les vrais patriotiotes,  comme toi  qui lis et comprends ce message, doivent entrer en jeu.

Le combat de libération se mene d'abord sur terrain au Congo; mais il faut beaucoup de moyens et de resources humaines pour produire l'effet de bombe populaire recherché. La diaspora peut y contribuer a réunir ces moyens. C'est son role et son devoir. Voila comment nous pouvons libérer le Congo et retrouver notre souveraineté. Heureusement, le temps et le Créateur sont de notre cote. La Victoire sera notre.

 

Matthias

Bukavu, Sud Kivu

Sunday, August 23, 2009

Le Congo du 15 au 24 Aout 2009

Exploitation de l'énergie électrique à base de ressources géo-thermales au Katangta
(Xinhuanet 21/08/2009)
Une firme américaine, Trans Gaz Energy, a annoncé jeudi à Kinshasa, l'exploitation de l'énergie électrique à base de ressources géo-thermales dans la province du Katanga au sud-est de la République démocratique du Congo (RDC). Le président de cette firme, Kim Barkan a informé le ministre ...
 
Washington - Kinshasa/Coopération militaire : Africom en RDC
(Le Potentiel 21/08/2009)
Le Commandement militaire des Etats-Unis en Afrique (Africom) basé à Stuttgart (Allemagne) est en train de chercher un pays disposé à abriter son siège sur le continent. Si jamais la RDC serait pressentie pour ce faire, cela pourrait susciter un débat intéressant sur la mission dévolue aux ...
 
Alan Doss rassure Muzito: 3.000 nouveaux casques Bleus pour chasser les Fdlr et consorts !
(La Prospérité 21/08/2009)
Des progrès sont réalisés dans la sécurisation de deux Kivu. C'est Alan Doss, le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies qui en a parlé à Muzito, de vive voix, lors d'un entretien hier, à l'Hôtel du Gouvernement. Muzito qui a inscrit dans son programme gouvernemental la ...
 
Symposium de l'ABCA à Kinshasa/Politique monétaire en Afrique : les banquiers centraux plaident pour leur indépendance
(Le Potentiel 21/08/2009)
Les banques centrales africaines, en réunion à Kinshasa, reconnaissent la nécessité d'asseoir leur politique monétaire sur le ciblage de l'inflation. Mais, le préalable reste le soutien « La formulation de la politique monétaire en Afrique : pertinence du ciblage de l'inflation » a été le ...
 
Starec prend la relève du Programme Amani
(Radio Okapi 21/08/2009)
Créé par le président de la République, le Starec, Plan de stabilisation et de restauration des régions affectées par les conflits, a été présenté ce jeudi 20 août à Kinshasa. Le Programme des Nations Unies pour le développement, Pnud, appelle à la mobilisation des fonds pour financer ce plan ...
 
Les « vérités » de Colette Braeckman: « Si les Congolais n'avaient pas résisté, le Congo aurait déjà été démembré depuis longtemps »
(Le Potentiel 21/08/2009)
Dans une interview accordée à Tony Busselen du journal Solidaire, Colette Braeckman, journaliste au Soir, quotidien belge, évoque les derniers moments de l'actualité congolaise. Fait intéressant, elle s'attarde sur un complot international visant la balkanisation de la RDC ainsi que l'une des ...
 
Monuc: 3 000 hommes pour renforcer la Monuc d'ici fin octobre
(RFI 21/08/2009)
3 000 casques bleus viendront renforcer les troupes de la Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc), d'ici fin octobre. L'effectif de la Monuc s'élèvera alors à un peu plus de 20 000 hommes. Ce nouveau renfort illustre bien les difficultés rencontrées par cette ...
 
Les gouverneurs des banques centrales africaines échangent sur le ciblage de l'inflation
(Xinhuanet 21/08/2009)
La réalisation d'un taux d'inflation faible accélère l'intégration régionale et la stabilité du niveau général des prix, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC), Jean-Claude Masangu, lors du symposium sur la formulation de la politique monétaire, pertinence du ciblage de ...
 
RDC-Belgique : signature prochaine du nouveau programme indicatif de développement
(Le Potentiel 21/08/2009)
Une fois de plus l'agenda du ministre de la Coopération internationale et régionale était plein. La journée du jeudi 20 août a confirmé une réalité qui s'est déjà installée sur l'avenue de la Justice, dans la commune de la Gombe, où se trouve le cabinet du ministre. Comme cela est de ...
 
Enfin du renfort, pourquoi faire ?
(L'Avenir Quotidien 21/08/2009)
La Monuc aura enfin les 3.000 hommes supplémentaires. Pour en arriver là, il avait fallu batailler dur comme fer. Tout s'est passé comme si la situation en Rdc n'était pas suffisamment préoccupante. L'on se souviendra que lorsqu'il était question de constituer cette mission, la communauté ...
 
DDRRR : 11.577 ex-combattants FDLR et leurs dépendants déjà rapatriés
(Radio Okapi 21/08/2009)
De janvier à août 2009, 11.577 ex-combattants hutus rwandais et leurs dépendants ont pu être rapatriés par le bureau de la Division pour la Démobilisation, le Rapatriement, la Réinsertion et la Réinstallation, DDRRR, de la Monuc et le HCR. Un chiffre record par rapport aux années antérieures, ...
 
En Rd-Congo : la 33ème réunion de l'ABCA a posé les bases d'une intégration monétaire, financière et économique
(L'Avenir Quotidien 21/08/2009)
Les pères des indépendances africaines ont rêvé d'un continent devant aspirer à une Afrique sans murailles monétaires. Une Afrique où les facteurs de la croissance économique joueront pleinement pour permettre aux États respectifs de relever les cinq défis majeurs dont la stimulation des ...

Source: africatime.com/rdc

Le "général" semi-analphabete John Numbi Banza et le «bon de ristourne»

 

Le "général"  semi-analphabete John Numbi Banza de la Police nationale.
La tracasserie policière connue sous l'appellation de «bon de ristourne» perpétuée par certains éléments inciviques de la Police spéciale de roulage (PSR) sur les artères principales de la ville de Kinshasa se consolide davantage, au fils des jours, a constaté l'ACP depuis un certains temps.

Cette pratique s'applique généralement aux véhicules commun et autres véhicules des commerçants sur les carrefours et aux autres coins des avenues occasionnant un blocage ou un bouclage express de la circulation dans un sens comme dans l'autre par les éléments de la police routière qui en profitent pour rançonner les conducteurs de ces véhicules.

Souvent, c'est auprès des conducteurs qui desservent le même itinéraire pendant toute une journée que des inciviques de la PSR s'abattent sur eux. Les conducteurs qui s'accommodent à cette pratique sont d'office protégés par les agents rançonneurs de la PSR et sont, ipto facto, «exceptés» du contrôle des documents de bord et des sanctions en cas de violation du code de la route.

Les carrefours les plus utilisés pour cette pratique se trouvent être la route des poids lourds à l'entrée du camps militaire de la marine appelé communément «arrêt Baramoto», au croisement des avenues Kabambare et Kasaï, Kasaï et Kato et Kasa- Ruakadingi dans la commune de Barumbu, à l'entrée du port privé «Appolo» voire à la Nationale n° 1 (Matadi-Kinshasa) et (Bandundu - Kinshasa).

Interrogés par l'ACP, quelques conducteurs affirment que dans un carrefour, ils remettent à chaque agent 200fc, 300fc, parfois 500fc. Un agent femme affectée souvent au carrefour des avenues du Kasaï et Rwakadingi dans la commune de Barumbu, qui refuse catégoriquement de prendre 200fc exige plutôt 500fc alors que ses co-équipiers acceptent volontiers 200fc.

Cette situation créé une familiarité ente les conducteurs corrupteurs et les agents corrompus de la PSR, si bien que la loi perd sa rigueur et l'impunité s'installe. Seuls les conducteurs, qui ne s'apprêtent pas à cette pratique déshonorante, subissent la rigueur de la loi.

L'opinion en appelle à l'intervention des autorités publiques compétentes et plus particulièrement aux responsables de ce corps de police de mettre tout en œuvre pour sévir les coupables avec la dernière énergie car l'honneur du pays en dépend.

(D'après ACP)
© Congoindépendant 2003-2009

... l'élimination prochaine de Joseph Kabila !?

 
 
REVELATION: Une voyante britannique annonce et prédit l'élimination prochaine de Joseph  Kabila. Réponses aux questions posées: S'agit-il d'une disparution "politique" ou "physique" ? Quels en sont les signes précurseurs a observer ? Qui seront les "auteurs" de cette disparution ? Qui en seront les bénéficiaires immédiats ? Dans son tres proche entourage, on rappelle que Joseph Kabila Kanambe a  lui-meme souvent évoqué sa crainte d'une mort subite, notament lors de ses visites a Cambridge aux USA, a Séoul en Corée du Sud et au Nord Kivu.
Joseph Kabila est hanté en permanence par une peur quasi maladive d'un assassinat ou empoisenement. Il se méfie meme de ses parrains rwandais. Que dit exactement la voyante britannique et qu'en pensent les congolais a Londres ? 
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Des faussaires et escrocs congolais a Dallas

 
Des faussaires et escrocs congolais a Dallas
 
ATTENTION: Raphael Katende, chef d'un groupe de faussaires et escrocs congolais a Dallas (USA) collecte actuellement de l'argent des naifs de la diaspora. Il est inconnu de la Communauté Congolaise de Dallas (www.ccdfw.org). Ses pseudo sur internet sont "Papa Alidor" et  "Papa Kalala". Exigez de connaitre son adresse, son téléphone et son emploi. Vous serez alors édifié. Ne donnez pas votre argent naivement. Vérifiez d'abord !  Cliquez >>>
 
 
 
 

Thursday, August 20, 2009

Encore Colette Braeckman ? L'esclavage mental du Congolais

Encore Colette Braeckman ? L'esclavage mental du Congolais

Encore Colette Braeckman ?
Les congolais doivent murir et aiguiser leur intelligence. Il est temps que les congolais cessent de toujours s'interesser a ce que LES AUTRES disent ou pensent d'eux. Il est temps qu'ils arretent de depenser leurs energies a commenter les actions ou pensees des autres a propos du Congo.

Les PATRIOTES CONGOLAIS doivent se focaliser principalement sur ce ce que LES CONGOLAIS pensent, disent et font a propos du Congo. Il est pitoyable et alarmant de constater que nos journaux, blogs, listes et sites internet sont majoritairement composes des pensees et des actions des AUTRES a propos du Congo.

Les congolais passent ainsi leur temps a commenter l'influence ou l'ingerence etrangere et a se preoccuper DES AUTRES au lieu de parler d'eux-memes, de leur vision et de leurs actions dans ou pour leur pays. L'histoire du Congo doit etre ecrite par les congolais pour les congolais et avec les congolais. Nous devons, nous congolais, nous assummer, creer nos propres reperes et cesser de nous refererer aux AUTRES.

Le Congo doit chaque jour se construire avec les pensees, les paroles et les actions des Congolais d'abord. LES AUTRES peuvent se reveler utiles mais en tant que simple complement. C'est cela la vraie independance.

L'independance nationale commence avec et est garantie par l'independance mentale de chaque congolais. La souverainete nationale ne sera possible que lorsque chaque congolais sera individuellement libre a tous les niveaux et pleinement responsable de son destin.

Lambert Ngoi
Citoyen de la RD Congo
Japon


2009/8/21 Kadari Mwene Kabyana <kadari.mwenekabyana@gmail.com>

Colette Braeckman:

« Si les Congolais n'avaient pas résisté,

le Congo aurait déjà été démembré depuis longtemps »


Revue Solidaire (Bruxelles), 17 août 2009

Début août: rencontre entre les présidents Kabila (Congo) et Kagame (Rwanda). Tous deux dirigent des pays qui, depuis des années, sont sur le pied de guerre. D'importants événements au Congo passent toutefois presque inaperçus ici, en Belgique. Tentons de mieux comprendre avec la principale journaliste belge spécialiste du Congo.

Tony Busselen


Spécialiste du Congo, Colette Braeckman, s'est parfois heurtée à la diplomatie belge. Journaliste engagée, elle cherche à faire connaître la réalité congolaise. (Photo Le Soir)


Depuis de nombreuses années, Colette Braeckman suit de très près la situation au Congo pour le quotidien Le Soir. Elle écrit également dans des publications comme Le Monde Diplomatique. Colette est une journaliste engagée. L'an dernier, quand l'ancien ministre des Affaires étrangères Karel De Gucht s'est dirigé vers une rupture diplomatique avec le Congo, il s'est heurté à la journaliste du Soir. À deux reprises, il a estimé nécessaire de devoir réagir à ses articles par des billets d'humeur. Plus tôt, il avait déjà déclaré qu'elle ne pourrait plus jamais l'accompagner lors de ses voyages à l'étranger. Cela n'a guère fait impression. C'est une dame très aimable mais bien décidée que je rencontre et, manifestement, elle a choisi le camp du peuple congolais.

Quand on lit la presse belge (en dehors du Soir), on a l'impression que le Congo est un pays où se passent depuis de longues années des événements horribles et, surtout, où tout reste bloqué. Votre dernier livre a pourtant comme titre « Vers la deuxième indépendance » ? D'où vient votre optimisme ?

Colette Braeckman. Il découle de la réalité. Je voyage plusieurs fois par an au Congo et je vois les choses que l'on y construit. Lors de mes derniers passages, j'ai vu les chantiers des boulevards à Kinshasa. La semaine passée, le chantier de la route de Beni à Kisangani a démarré. On a commencé à installer la fibre optique à partir de Matadi vers Kinshasa, c'est un bond formidable pour le développement dans le secteur de la télécommunication… Quand on pense à la situation au début de la guerre en 1998, en 1999 en 2001… Si j'avais par exemple osé dire en 2001 que dans dix ans on verrait le retrait des troupes étrangères, des élections, le début de la reconstruction des routes et infrastructures, etc., les gens m'auraient déclarée folle. Le Congo a connu et connaît toujours des problèmes et des injustices énormes, mais c'est un pays qui peut très vite remonter, qui peut surprendre par sa capacité à récupérer. Le pire a été possible, mais le meilleur l'est aussi. Il n'y a pour le moment pas une rue à Kinshasa sans immeuble en construction. Si les Congolais riches et vivant à l'étranger commencent à ramener leur argent dans leur pays, c'est un signe important. Il est vrai qu'il reste beaucoup d'inégalités, une grande misère pour le plus grand nombre, mais le progrès est indéniable.

Le 7 août, il y a eu une rencontre entre Kabila et Kagame à Goma. Au début de cette année, il y a eu l'opération Umoja Wetu, quand les armées rwandaise et congolaise ont collaboré pour neutraliser des rebelles à l'Est du Congo. Nkunda, l'ancien dirigeant des rebelles pro-Kagame, a été arrêté au Rwanda. Ensuite, on a vécu l'échange des ambassadeurs entre le Rwanda et la RDC (République démocratique du Congo). C'est un revirement spectaculaire quand on compare avec la guerre et les tensions entre les deux pays dans la période 1998-2008. Selon vous, d'où vient ce revirement ?

Colette Braeckman. La déstabilisation de la RDC par le Rwanda et l'Ouganda a été rendue possible grâce à l'aval des gouvernements américains dans cette période 1998-2008. Mais il faut dire que les Américains d'aujourd'hui ne sont plus les Américains de 1998-2008.

Depuis lors, il y a eu la crise économique suivie par la victoire d'Obama. Les Américains réalisent en outre aujourd'hui que la Chine devient de plus en plus active en Afrique et que cela change la donne stratégique. Il faut aussi dire que d'importants pays africains comme l'Angola et l'Afrique du Sud ont réalisé que, si le démembrement du Congo avait lieu, le continent n'aurait aucune chance de se développer. Apparemment, les Américains savent aujourd'hui que s'ils continuent à cautionner le pillage du Congo par le Rwanda et l'Ouganda, cela nuira à leurs intérêts en Afrique.

Lors de la conférence de presse à Goma de Kabila et de Kagame, ce dernier a dit : « Je ne suis pas ici pour parler du passé, mais pour parler du futur ». Cela a choqué beaucoup de Congolais, victimes de l'agression. Il existe un grand scepticisme chez les Congolais quant à la volonté de paix de Kagame. Que leur répondez-vous ?

Colette Braeckman. Qu'ils ont raison d'être vigilants sinon sceptiques… On a vu tout ce que le Rwanda et l'Ouganda ont fait au Congo pendant toutes ces années. Mais il faut faire une distinction entre un accord politique réaliste qui apporte la paix, d'un côté, et les crimes contre l'humanité et les crimes de génocide, de l'autre. De tels crimes ont été commis, ils sont imprescriptibles et aucun accord politique ne peut les effacer. On l'a vu avec Bemba, qui a commis des crimes et avec lequel Kabila a conclu un accord politique. On a vu Bemba participer au gouvernement 1+4 et on l'a vu rivaliser avec Kabila lors des élections. Or, après tout cela, il se trouve aujourd'hui en prison à La Haye. Si un accord politique peut amener la paix et rendre la reprise de l'agression plus difficile, tant mieux, mais aucun accord politique ne pourra jamais effacer les crimes qui ont été commis. Un autre exemple, c'est Bosco Ntanganda : Kabila a expliqué que pour lui, aujourd'hui, la paix est plus importante que la justice. Mais c'est une position à court terme, dictée par le réalisme politique, cela n'efface rien de ce qui a été commis. Il y aura toujours des gens qui vont se souvenir de ces crimes et tôt ou tard vont traîner les criminels devant la justice.

On aurait pensé que la rencontre aurait lieu sous le patronage de Hillary Clinton à l'exemple de son mari qui avait réconcilié Arafat et Barak à Camp David. Mais les deux présidents ont tenu à se voir avant l'arrivée de la secrétaire d'État américaine. Comment peut-on interpréter cela ?

Colette Braeckman. Je crois qu'aussi bien Kabila que Kagame sont jaloux de leur indépendance et leur autonomie. Ils ont des racines communes. Tous les deux ont été influencés par la Tanzanie de Nyerere. Kabila a connu l'exemple de son père qui était un anticolonialiste convaincu et qui s'est battu toute sa vie pour l'indépendance du Congo. Mais peu de gens se rendent compte que Kagame a aussi été influencé dans sa jeunesse par ce courant nationaliste africain. Quand il avait 18 ans, il est allé se battre avec le Frelimo au Mozambique et a reçu une formation à Cuba. Malgré le fait qu'après, il est devenu un grand ami des Américains et malgré tout ce qu'il a fait au Congo, il y a toujours quelque chose de cette période qui est resté chez lui. Ce type de dirigeant africain accepte de moins en moins le patronage des soi-disant faiseurs de paix occidentaux. Même l'ancien président nigerian, Obasandjo, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon, n'était pas au courant de la rencontre et s'est vu obligé de se précipiter à Goma pour apprendre ce qui s'est passé.

Souvent on a l'impression que le peuple congolais est une victime passive et aucunement acteur, les vrais acteurs étant les dirigeants congolais, rwandais et occidentaux. Est-ce vrai?

Colette Braeckman. Non, pas du tout. Si les Congolais ont survécu à la guerre, aux violences sexuelles, aux pillages, c'est qu'ils se sont organisés entre eux. Le problème est que ceux qui captent la parole, ce sont souvent des ONG occidentales qui disent défendre les intérêts du peuple et qui parlent au nom de leurs partenaires. Mais il existe des milliers d'associations qui font que le peuple congolais continue à vivre et dont on n'entend jamais parler. Les élections, par exemple, n'auraient jamais pu avoir lieu s'il n'y avait pas eu des dizaines de milliers de Congolais qui ont transporté les urnes, parfois sur leur tête ou avec des pirogues, et qui ont été observateurs dans les locaux de vote. Durant la guerre, alors que l'armée rwandaise voulait occuper le Katanga, ce sont les Mai Mai, milices locales autour de Kabinda et personne d'autre qui les ont empêchés. Les femmes aussi réussissent à survivre à la violence sexuelle en s'entraidant. Si les Congolais n'avaient pas résisté, le Congo aurait déjà depuis longtemps été démembré.

L'année prochaine aura lieu le 50e anniversaire de l'indépendance. Dans votre dernier livre, vous décrivez comment la Belgique s'est de plus en plus détournée du Congo. On a connu l'année passée les ruptures des relations diplomatiques. Existe-t-il encore un futur pour les relations entre la Belgique et le Congo?

Colette Braeckman. Dans le passé, l'intérêt de la Belgique pour le Congo a toujours été inspiré par des motifs économiques. Or, le patronat belge ne semble plus aujourd'hui vraiment intéressé par le Congo. Thomas Leysen, le patron de la FEB, assure carrément que le patronat belge a tourné cette page. On le voit aujourd'hui encore quand, après la rencontre entre Kabila et Kagame, le gouvernement belge ne trouve même pas nécessaire de publier un communiqué ou de donner un commentaire. C'est comme si quand ce n'était pas une paix dans laquelle les Belges ont joué un rôle important, alors cette paix n'existe pas.

Il est vrai que dans certains milieux religieux et culturels belges, on est resté concerné par ce qui se passe au Congo. Aussi dans les milieux politiques, il y a une minorité de personnalités qui est convaincue que la Belgique garde des atouts à cause de son passé colonial en Afrique centrale. Atouts qui lui permettraient de jouer un rôle de premier plan au niveau international. Je reste convaincue que Louis Michel, par exemple, a joué un rôle positif au Congo pour aider à mettre fin à la guerre. Les Congolais eux-mêmes rêvent toujours que les Belges vont revenir pour reconstruire ensemble avec eux le pays. Mais je crois qu'ils se font des illusions. De l'autre côté, il existe une diaspora congolaise importante en Belgique. On estime jusqu'à 125 000 les congolais vivant en Belgique. C'est plus qu'il n'y a jamais eu de Belges au Congo sous la colonisation. Ils s'intègrent dans la vie sociale, culturelle et aussi politique. Chaque parti politique a des Congolais sur ses listes. C'est parce que cela rapporte des voix. Or ces gens restent toujours attachés à leur pays.

Mais je pense qu'au fur et à mesure que le Congo va renaître, la Belgique va perdre de l'importance et c'est peut-être mieux comme ça, vu ce que la Belgique a fait dans le passé dans ce pays.

Vous êtes connue pour vos analyses critiques et indépendantes vis-à-vis des autorités, surtout vis-à-vis de la diplomatie belge. Comment réussissez-vous à rester comme ça et à survivre aux pressions ?

Colette Braeckman. C'est grâce à mon journal qui me publie et qui respecte l'indépendance du journaliste. En ce qui concerne la pression et des réactions parfois colériques, je pense souvent que « l'actualité reste et les ministres passent ». La situation en Belgique est aussi différente qu'en France ou en Grande Bretagne. Quand on voit comment la presse française est resté docile lors du génocide au Rwanda, ou comment le presse britannique manque souvent de crédibilité lorsqu'elle parle du Zimbabwe ou de l'Afrique du Sud, alors je pense qu'en Belgique les autorités ne sont pas si fortes que dans ces pays-là.

Colette Braeckman est l'auteur de divers ouvrages sur l'Afrique centrale, Colette Braeckman a publié trois livres cette année : « Les nouveaux prédateurs » (une seconde édition complétée), « Lumumba, un crime d'État », tous deux chez Aden, et « Vers la deuxième indépendance du Congo » aux éditions Le Cri–Afrique.

Texte distribué par:

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Wednesday, August 19, 2009

Le rwandais Ruberwa du RCD traduit en justice a Kinshasa

RCD, Ruberwa traduit en justice
(7sur7.cd 18/08/2009)

Le rwandais Ruberwa du RCD traduit en justice a Kinshasa  __  C'est peut-être le point de non retour dans le conflit de leadership qui déchire le Rassemblement Congolais pour la Démocratie. Depuis jeudi jeudi 13 août, l'affaire est portée devant les cours et tribunaux de Kinshasa.

Le comité de crise présidé par Trésor Kapuku a assigné le camp adverse pour obtenir l'annulation en bonne et due forme des décisions de révocation et de cooptation de nouveaux co-fondateurs du parti, prises par Azarias Ruberwa à la veille de la date anniversaire de la création de l'ex rébellion, le 2 août dernier. L'ancien vice-président de la République tentait
ainsi de contrecarrer le désaveu de 38 des 44 membres co-fondateurs du parti, qui avaient désavoué son leadership semaines plus tôt. Motif : l'avocat s'accrochait indûment à la présidente, pourtant tournante du parti depuis 2005, année de la fin de son second mandat. Les révocations de Ruberwa sont jugées anti-statutaires.

« La cooptation irrégulière de membres du Collègue des fondateurs et l'exclusion cavalière des autres en violation flagrante des textes, est sans le moindre doute, une énième tentative qui cache mal les visées du camarade Azarias Ruberwa de se reconstituer une majorité alimentaire acquise à sa cause dans l'unique dessein de se maintenir à la tête du parti, alors qu'il a déjà été désavoué et que, du reste, le mandat dont il se prévaut n'est pas régulier », assure un communiqué rendu public à cet effet. Le 2 août, date anniversaire de la création du RCD, des sympathisants du Comité de crise qui s'étaient trop approché du siège du parti à la Gombe ont été mis aux arrêts sur ordre de Ruberwa. ET le comité de crise s'en est allé célébrer l'événement dans un bistrot de la commune de Lingwala.

Cela sentait déjà le roussi.

Sous les dehors d'une guerre de leadership entre un ou deux individus, c'est l'essence même de ce parti longtemps allié de Kigali qui se joue aujourd'hui. Le camp Trésor Kapuku, ce jeune gouverneur de la province du Kasai Occidental qui préside le comité de crise, lutte contre une tentative de réduction d'un parti politique à une ethnie et de sa lutte pour la conquête du pouvoir à un antagonisme ethnique. «On ne peut pas ramener les avantages d'un président de parti politique à des entrées dans les chancelleries occidentales », déplorait Kapuku au cours d'un meeting populaire à la Fikin. En fait, c'est toute la politique du RCD,depuis sa création, qui était ainsi désavouée en public : elle consistait, largement,à présenter une tribu, celle des banyamulenge, comme la bête noire de toutes autres tribus de la Rd Congo. Et dans une large mesure, à réserver les avantages politiques dus au parti à une élite tribale.On se le cache un peu moins aujourd'hui, au sein du comité de crise qui ne compte quasiment pas de membre cofondateur munyamulenge. Le parti n'est pas la représentation d'une ethnie.

C'est celle d'une mosaïque d'ethnies rd congolaises. Que Ruberwa et les 8 confondateurs du RDC qui lui sont encore fidèles l'entendent ainsi ou pas. Au-delà de la récusation des décisions de révocation et de cooptation des membres cofondateurs, l'assignation du 13 août appelle également la justice à constater la fin du mandat présidentiel de l'ancien vice-président de la République depuis 2005.

« Il n'existe, en effet, aucune décision de l'organe compétent,désignant formellement Monsieur Azarias Ruberwa à la tête du parti conformément aux dispositions des statuts en vigueur tels qu'amendés et adoptés en décembre 2005 », rappelait déjà la déclaration du Comité de crise du 17 juillet dernier.

 

 

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Monday, August 17, 2009

APARECO: renseignements !?

L'APARECO a-t-elle reellment un reseau implante en RDC ?

Mesdames / Messieurs,
un etudiant/prof congolais de l' unikin avait pose une question tres importante a hillary clinton mais la question a ete mal traduite, provoquant une colere injustifiee de h. clinton. le pauvre etudiant ou prof a ete accuse d' impolitesse et de macho dans la presse francophone ( afp, france24, etc.) sans que la diaspora ne reagisse avec indignation. CNN et d'autres medias anglophones ont heureusement tenu a corriger et blamer clinton pour une reaction primaire.

QUESTION: l' apareco qui dit avoir un reseau de renseignement en rdc peut-il retrouver l etudiant inconnu, communiquer son telephone et e-mail a toute la diaspora afin que toute la diaspora puisse le feliciter pour son courage, sa perspicacite et la pertinence de ses propos ? voici un cas ou l'apareco peut prouver son utilite et son efficacite. ca permettra de laver l'apareco de sa reputation d'organe de propagation de bobars et de manipulations.
Donnons donc 10 jours a l'apareco pour retrouver ce patriote congolais que tout le monde semble avoir ignore.

Lambert Ngoi
citoyen de la RD Congo