Thursday, June 04, 2009

Joseph KASA-VUBU tel que vu par ANICET MOBE

Joseph KASA-VUBU, homme d'Etat, par ANICET MOBE part 1
émission du 17-05-2009 à 23:32
Radio MANGEMBO commémore les 40 ans du décès du Président Joseph KASA-VUBU en invitant Anicet MOBE, expert socio-politique et intellectuel congolais, à nous parler de Joseph KASA-VUBU le leader de l'ABAKO, de Joseph KASA-VUBU le participant à la Table Ronde de Bruxelles, de Joseph KASA-VUBU Premier Président de la République Démocratique du Congo. Il ressort de cet entretien que selon Anicet MOBE, le peuple congolais est en devoir de se remobiliser, à l'instar de la lutte pour l'indépendance, afin de créer les conditions de l'émergence d'hommes d'Etat de la stature et de la qualité des Joseph KASA-VUBU, des Joseph ILEO, des Cyrille ADOULA.

http://www.mangembo-fm.com/podcast.php?id_pod=x794252704&limite=10
 
 
Joseph KASA-VUBU, homme d'Etat, par ANICET MOBE part 2
émission du 17-05-2009 à 23:41
Radio MANGEMBO commémore les 40 ans du décès du Président Joseph KASA-VUBU en invitant Anicet MOBE, expert socio-politique et intellectuel congolais, à nous parler de Joseph KASA-VUBU le leader de l'ABAKO, de Joseph KASA-VUBU le participant à la Table Ronde de Bruxelles, de Joseph KASA-VUBU Premier Président de la République Démocratique du Congo. Il ressort de cet entretien que selon Anicet MOBE, le peuple congolais est en devoir de se remobiliser, à l'instar de la lutte pour l'indépendance, afin de créer les conditions de l'émergence d'hommes d'Etat de la stature et de la qualité des Joseph KASA-VUBU, des Joseph ILEO, des Cyrille ADOULA.
http://www.mangembo-fm.com/podcast.php?id_pod=x349596096&limite=10
 

1969: Massacres des Etudiants a Kinshasa

Pour ne jamais rien oublier

 

1969: Massacres des Etudiants a Kinshasa

Ngbanda, etudiant, participait deja a la planification des tueries

4 juin 69 - 4 juin 2009 : 40 ans les premiers étudiants de Lovanium
sont massacrés par la soldatesque Mobutu

Par Jacques Mangalaboy

Eh oui, les anniversaires se répètent, mais ne se ressemblent.
Ce qui
devrait être un grand jour de souvenir pour les uns, est un jour de
récupération pour les autres.


Rappel des faits: le 04 juin1969

 
A cette heure-là, nous avions déjà dévalé la colline
du Mont-Amba et avions déjà dépassé le premier  barrage militaire sur le
rond point Righini. J'avais repris le camion conduit par mon
condisciple en 1ère année de MBCG, Roger Manono, aujourd'hui médecin
et ex-médecin chef de l'Hôpital Général. Le premier barrage sérieux a
été pour nous vers 7 heures sur la rue Capela, la séparation entre
Yolo Nord et Yolo Sud. A Edzo, les militaires avaient réussi à nous
faire descendre des camions. Nous entamions donc ce trajet au pas de
course avec nos slogans révolutionnaires. J'étais avec des amis du
collège Saint-Joseph dont mon ami Martin Epembe, un garçon du Lac, une
vraie tête brulée. Martin avait l'habitude de porter un beau blouson
noir et, en raison de son opposition farouche au pouvoir, nous
l'avions surnommé le Che. Au croisement Avenue de l'Université/Avenue
Capela, un deuxième barrage de PM se dressa devant nous en tirailleurs.
Nous avions drainé avec nous tous les petits enfants de Yolo, et
Quartier Mombele, tandis que les adultes se moquaient de nous : nous
ne voulions dénoncer qu'une chose la mise en place petit à petit du
pouvoir dictatorial de Mobutu. A la vue de ce barrage, le camarade qui
nous commandait, cria : <<Avancez, camarades, nous sommes invincibles !>>
A ce moment, les PM reçurent un ordre de sommation et tirèrent en l'air.
N'entendant que notre bravoure, nous avancions et j'étais au premier
rang avec Martin. Le deuxième ordre fut donné, les PM pointèrent leurs
armes vers nous et tirèrent une seconde fois. Un jeune garçon du
quartier qui était à coté de nous se tint le bras et nous remarquâmes
un filet de sang sortir de sa chemise. A ce moment-là, notre
commandant cria :<< Camarades, couchez-vous, ce sont des balles réelles!>>
C'est ce que nous fîmes tous et cela fut interprété par nos
agresseurs, comme le leur faisaient croire Mobutu et ses sbires, que
nous avions reçu un entrainement des Chinois.
Le groupe se désintégra. Je perdis Martin et les autres amis. A cette
heure-là le massacre commença partout. Comme la stratégie des
organisateurs était de disperser les groupes des étudiants : en effet, nous
étions parmi les derniers pelotons puisque d'autres étaient déjà en
ville avec les étudiants des instituts supérieurs et les vaillantes
filles de l'ISG.
Témoignages macabres

1.Mon ami Martin fut tué à bout portant par un militaire qui le suivait le prennant pour un muluba.
Il se dirigeait vers sa commune à Dendale, il habitait rue Irebu.
2. Je perdis aussi mon ainé du collège, Symphorien Mwamba, qui était effectivement mon aîné au Collège Saint-Joseph
. On ne pouvait le rater : il était un vrai muluba, clair de peau et déjà un
grand poète qui avait sorti des recueils. J'habitais la première aile du home 10, au numéro 1274.

3. Mon voisin d'à côté, un grand Muluba aussi fut abattu sans ménagement
.
4. Et notre ami animateur du Homme 30 - qui  ne le connaissait pas ?- ce grand muluba qu'on avait surnommé Odjuku,
tomba aussi sous les balles de la soldatesque Mobutu.

- Trois amis sur 12 tués officiels sur un total de 3000 étudiants qu'on était.
Aujourd'hui : je ne travaillerai pas à l'hôpital.
- Un étudiant était avec nous : il s'appelait Ngbanda Honoré et habitait le home 30. Lui avait été au séminaire de Lisala. Je le connaissais, comme d'autres, par l'entremise d'un grand ami, aujourd'hui magistrat au Congo : Maurice Lingbegbe.

Je suis choqué que cet anniversaire soit détourné par lui au profit de son parti politique. Il a le droit d'en avoir et
de combattre, mais une telle attitude crée les appartements insupportables. Il devrait avoir honte. Jusqu'à ce jour, nous n'avions
jamais enterré nos camarades, disparus comme Lumumba avant! Ngbanda
aurait dû au moins nous restituer les corps pour leur faire un sépultre.

Conséquences:


- L'université fut fermée, tous les étudiants devaient rentrer dans
leurs provinces respectives.
 
-
Pour les étudiants du Kasaï qui avaient
beaucoup payé, le sinistre Mobutu avait demandé à un de ses ministres
de se retrouver à l'aéroport de Ndjili pour les  réconforter.
Ce ministre leur remettait une petite enveloppe d'argent pour le voyage : ce ministre de Mobutu s'appelait Etienne Tshisekedi. Il est certes
devenu un farouche opposant à Mobutu, mais il ne faut pas oublier l'histoire.
- Quant à Ngbanda, il fut mêlé dans une autre histoire dans laquelle nous avions perdu aussi des amis militaires, dont le colonel Mwepu, exécuté matinalement, alors que son innocence était reconnue.

A mes amis du CAC, quelqu'un avait dit qu'il ne fallait pas ignorer
l'histoire pour construire l'aveni
r
.

 
Mais  s'efforce-t-on de connaitre
cette histoire qui est pervertie de jour en jour et dont les témoins
ne cessent de disparaitre sans laisser un témoignage pour l'histoire.
J'attends avec beaucoup d'impatience un vrai livre de témoignage de
Tshisekedi qui a connus des heures de gloire et de torture.
Ce sera
sain pour l'esprit.

Gardons une pensée pour nos morts.

Jacques Mangalaboy
 
 
 
Pour la jeunesse estudiantine congolaise d'aujourd'hui:
 
L'avenir de la République Démocratique du Congo sera ce qu'on fait de sa jeunesse aujourd'hui!
Le passé est riche d'enseignements et la jeunesse congolaise, en l'occurrence estudiantine, est le fer de lance de cet avenir! A ce titre, la jeunesse doit se prendre en charge pour défendre l'avenir déjà hypothéqué par des pratiques politiciennes négatives imposées au peuple congolais en ce moment! Ce souvenir ci-après, évoqué par le docteur Jacques Mangalaboy est une interpellation adressée à la jeunesse congolaise au travers la démonstration d'engagement de leurs ainés qui, effectivement, avaient pris conscience, à l'époque, pour défendre l'avenir en défiant le pouvoir dictatorial! Malheureusement, l'environnement international soumis aux conditions de la guerre froide n'était pas propice à provoquer le changement!
Tout congolais qui aime son pays et qui a suivi le dimanche 24 mai 2009 sur la télévision française TF1 l'émission  Sept à Huit vers 19hrs00, les images tragiques de jeunes filles mineures sacrifiées sur l'autel de la prostitution et des viols à Kinshasa, où se trouvent toutes les institutions de la république, incapables d'agir pour arrêter ce fléaux qui dévastent la jeunesse, n'a pas manqué d'écraser une larme de dépit! Voire du fait de l'impression d'être enfermé dans une bulle de mélancolie honteuse face à ce spectacle qui montrent à quel point l'avenir est hypothéqué et qu'il y a nécessité à le défendre!
Cliquez ici :
http://videos. tf1.fr/sept- a-huit/les- enfants-perdues- de-kinshasa- 4420732.html

Paul Kagame, un nouveau Hitler?

 
 Paul Kagame, un nouveau Hitler? - 18-04-09 12:40
 
 
 
 Le Rwanda, clé de la paix - 15-02-09 22:14
 
 
 

Quelle honte: L'Afrique honore Louis Michel !

 
 
Le commissaire européen Louis Michel va recevoir un prix pour la paix en Afrique (05.06.09)
Quelle honte: L'Afrique honore Louis Michel !
 

BRUXELLES, Royaume de Belgique, 2 juin 2009/African Press Organization (APO)/ — Louis Michel, membre de la Commission européenne chargé du développement et de l'aide humanitaire, va recevoir le prix «Afrique, le temps pour la paix»..

Ce prix, qui sera remis pour la première fois, sera décerné chaque année à trois personnalités et/ou institutions – deux originaires d'Afrique et une de l'étranger – qui se sont distinguées par leurs réalisations en faveur de la paix en Afrique et de la solidarité mondiale.

«Je suis sincèrement honoré de recevoir cette récompense et de figurer parmi des lauréats aussi éminents. L'Afrique et les populations de ce continent méritent de vivre dans la paix et la prospérité. Je déploie des efforts dans ce sens depuis de nombreuses années par l'intermédiaire des partenariats que j'ai mis en place avec les pays africains. Je vais continuer à travailler avec toute mon énergie et ma détermination pour que le prix pour la paix et une plus grande prospérité reviennent, en fin de compte à l'Afrique, à ses nombreuses nations et à ses multiples peuples» a déclaré M. Louis Michel.

L'Union africaine, Nelson Mandela, ancien président sudafricain, et Louis Michel sont les lauréats de cette année. Chacun d'eux, ou son représentant, recevra une sculpture en or, symbolisant le continent africain, lors de la cérémonie de remise des prix. Le commissaire Louis Michel sera récompensé pour les efforts en faveur de la paix en Afrique qu'il a déployés tout au long de sa carrière politique, d'abord en qualité de ministre belge des affaires étrangères et maintenant en tant que membre de la Commission européenne chargé du développement et de l'aide humanitaire. La date de la cérémonie de remise des prix n'est pas encore connue.

Le prix «Afrique, le temps pour la paix» a été créé pour sensibiliser le public aux questions afférentes à la paix, défendre les valeurs de solidarité et valoriser les initiatives en faveur de la paix et du développement en Afrique.

La sélection des candidats repose sur leurs réalisations dans les domaines culturel, institutionnel, économique, social et politique. Le jury est composé des membres du bureau du «Temps pour la paix», à savoir: Lazare Sehoueto (ancien ministre, Bénin), Dr André Tolentino (ancien ministre, CapVert), Professeur Mbulelo Mzamane (Afrique du Sud), Dr. Nestor Bidadanure (journaliste), Aubin Godjo (Kilimandjaro Institute) et David Gakunzi (spécialiste dans les domaines des médias et du développement).

Ce prix est parrainé par la fondation pour la paix en Afrique, organisation apolitique à but non lucratif qui aspire à œuvrer en faveur d'une paix durable en Afrique en s'attaquant aux causes profondes des conflits et en insistant sur les aspects politiques, sociaux, économiques et culturels des conflits.

Source: http://www.saverwanda.org/index.php?id=74&tx_ttnews%5Btt_news%5D=595&cHash=fb41d78f46 

Interview au deputé Justin Bitakwira

Interview au deputé Justin Bitakwira :  "La traque des FDLR n'a été qu'un grain de sable dans la mer" 

Par  Le Potentiel, 7 mars 2009 

 Insécurité au Nord et au Sud-Kivu

7 mars, 2009, 11:00
Enregistré dans : Interview

Le député de la majorité, Justin Bitakwira, reste dubitatif sur les résultats de l'opération militaire conjointe RDC-Rwanda contre les FDLR sur le sol congolais. Il s'est exprimé hier vendredi 6 mars dans une interview accordée à RFI captée à Kinshasa.

 

Vous êtes député de la majorité et pourtant vous avez signé cette fameuse pétition sur l'intervention des troupes rwandaises au Congo, pourquoi?  

C'est d'abord un droit constitutionnel autour des questions très sensibles, engageant la nation congolaise. Comme l'entrée des troupes rwandaises en République démocratique du Congo. Elle a été réclamée par la moitié de députés constituant l'Assemblée nationale. Et nous avons eu 262 signatures. C'est largement suffisant.  

Cet accord entre Joseph Kabila et Paul Kagame, n'a-t-il pas permis de neutraliser les rebelles Hutu-rwandais des FDLR, et donc de faire baisser la violence au Nord-Kivu? 

Si cela a été le cas, nous ne devons dire que coup de chapeau. Mais je suis sûr que l'opération militaire conjointe n'a été qu'un grain de sable dans la mer, par rapport à l'insécurité qui règne dans le Nord-Kivu en général et dans le Sud-Kivu en particulier. 

Par cette pétition, vous demandiez l'ouverture d'une session extraordinaire de l'Assemblée nationale, mais vous n'aviez pas été entendus. Qu'est-ce que vous allez faire à la reprise des travaux ordinaires, le 15 mars prochain? 

A la rentrée du 15 mars que beaucoup de gens considèrent comme une date fatidique, nous nous disons que l'auguste plénière aura lieu et sera présidée par son président. Effectivement, cette question sera d'ailleurs traitée, qu'on le veuille ou pas.  

Vous parliez du président de la chambre basse. Justement à la suite de votre pétition, un grave différend est apparu au sommet de l'Etat entre le président de
la République et le président de l'Assemblée nationale. Joseph Kabila souhaite la démission de Vital Kamerhe, Qu'est-ce que vous en pensez?
 

 

Le mérite du président Joseph Kabila, c'est d'avoir organisé les élections. Et donc, le président Kabila a inscrit son nom en lettres d'or dans l'histoire en organisant les premières élections multipartistes au Congo. Et s'il prend la gomme pour effacer, j'estime qu'il est en train d'effacer son nom dans l'histoire du Congo. Et c'est ici le lieu même de demander au chef de l'Etat et à son entourage qui le pousse en ce moment à cette erreur, de revoir leur politique parce que c'est une politique catastrophique qui ne nous mènera nulle part.  

Il ne faut pas que Vital Kamerhe s'en aille, c'est cela? 

Je pense qu'autant nous respectons la présidence de
la République, autant
la présidence de
la République doit respecter l'institution Assemblée nationale.
 

Mais visiblement, le président Kabila souhaite que Vital Kamerhe quitte le perchoir au plus vite avant l'ouverture des travaux ordinaires de la chambre, le 15 mars? 

Je compare cette pression au mariage traditionnel en Afrique. En Afrique, naturellement polygamique, un homme peut avoir trois, cinq, dix, vingt femmes. Et s'il prend un verre de trop, il peut rentrer et chasser chacune d'elles quand et comme il veut. Mais la première femme pour qui la famille s'est investie, pour la chasser, il faut des cérémonies et la famille doit donner un dernier mot. Nous considérons donc que Kamerhe serait la première femme légitime: pour la faire partir, il faut le mot de la famille. Et le mot de la famille, c'est l'Assemblée nationale.  

Alors si Vital Kamerhe est encore au perchoir, qu'est-ce qui va se passer le 15 mars? 

Nous irons à cette Assemblée nationale. Et s'il va démissionner, nous prendrons acte, par vote secret, pour accepter ou refuser sa démission. 

Et que voterez-vous? 

Le vote sera secret, faut-il que je le dise dorénavant à RFI, je ne crois pas.  

Et s'il y a un risque d'éclatement de la coalition au pouvoir-Alliance pour la majorité présidentielle-(AMP), voire du parti au pouvoir-Parti du peuple pour la reconstruction et le démocratie (PPRD)? 

Je ne crois pas que le chef de l'État, Joseph Kabila, va gouverner ce pays avec seulement ceux qui lui disent "oui", et ceux qui disent "non" sont des ennemis et des adversaires ou ils deviennent de l'opposition et ne lui croient pas. Le chef de l'Etat a besoin du choc des idées, des gens qui peuvent dire "non", "plus ou moins", ou "assez bien". Et pas ceux qui disent tous les jours "oui, oui, oui", même quand ça va très mal.  

Avez-vous reçu de menaces, depuis que vous avez signé cette pétition? 

Oui. Je peux dire qu'on tend à vouloir menacer les députés dont moi-même. Et je connais une réunion qui s'est tenue au sommet de l'Etat, il n'y a pas longtemps, où les services de sécurité disaient subitement que nous étions en train d'intoxiquer l'opinion. Mais nous disons que nous jouons notre rôle d'élus du peuple, donnons nos opinions et convictions et nous savons qu'elles sont positives pour l'avenir du Congo.  

Diaspora Patriotique a Rotterdam

 

Diaspora Patriotique pour la Liberation du Congo
Rassemblement le 30 JUIN 2009 a ROTTERDAM
Celebration du 49eme anniversaire de l'independance
Ca va bouger a Rotterdam !!!
Pour plus d'infos soyez a l'ecoute de Congonet Radio
ce samedi a partir de 15H30 GMT
TEL 003228889193- (bruxelles)
 

Tuesday, June 02, 2009

Derives a l'UDPS !!!

UDPS: A PROPOS DE L'ARTICLE : LE 1er CONGRES DE L'UDPS , CE QU'IL FAUT SAVOIR SIGNÉ PAR LE PROFESSEUR AKA , MONSIEUR JEAN MUNTUABU RÉAGIT
2009-06-02 17:52:48 http://www.udpsonline.com/article.php?id_art=1401

Monsieur Aka le Faussaire,
Si j'étais à votre place, je me tairais car j'aurais eu honte de parler du Président National ou en son nom. Et encore, je n'oserais même pas évoquer le nom de Mgr Mulumba, son frère, que vous et votre gourou aviez failli manipuler, profitant de son manque d'informations sur la situation qui prévaut au sein de notre Parti pour lui remettre le rapport de votre machination abusivement nommée « 1er Congrès ». Dieu merci, les révélations lui faites sur votre imposture et surtout l'attitude du PN à l'endroit de votre ramassis de contre-vérités ont fini par le persuader sur votre vraie nature (que je vais bientôt publier à l'intention de tout notre peuple). Vous devriez vous souvenir, cher monsieur le Faussaire, que le PN à un assistant et Porte Parole avec lequel vous aviez, en son temps, effectué une remise et reprise dont le PV de la cérémonie a été dûment signé par vous en présence de quelques témoins. Oser ignorer aujourd'hui le porte Parole du PN n'est que la manifestation de votre félonie longtemps contenue à l'endroit du Chef mais qui, depuis votre messe noire, apparaît de plus en plus au grand jour. C'est aussi la confirmation de la rébellion que vous avez engagée à l'intérieur du Parti, et qui, croyez-moi, va bientôt se terminer en eau de boudin pour vous et vos comparses.


Monsieur Aka le Faussaire, dire que vous êtes un menteur est un euphémisme. Et ce n'est pas du tout vous insulter, loin de là, car le mensonge est carrément une seconde nature chez vous. Dire que vous êtes un falsificateur c'est définir dans les détails votre personnalité de Faussaire qui vous sied bien d'ailleurs. En effet, vous avez introduit à l'UDPS la culture de l'usage du faux et de faux en écritures, du trafic d'influence, de la manipulation, du clientélisme et de la corruption. Cela est d'autant plus grave que vous agissiez ainsi dans l'entourage immédiat du PN et au nom de ce dernier, profitant de son indisponibilité et du fait qu'il a toujours, de coutume, accordé une totale confiance en ses proches collaborateurs. Les attestations fantaisistes délivrées au nom du PN, en faveur des demandeurs d'asile congolais vivant à l'étranger, les actes de nomination de certains cadres du parti (le cas du mythomane Matanda Jacques illustre bien mon propos), la découverte du nombreux courrier adressé à des personnalités du régime, quémandant l'aumône pour votre rassemblement de fossoyeurs (ce qui constitue d'ailleurs la vraie raison de votre fureur à l'égard de M. Albert Moleka qui a découvert le pot-aux-roses), et je n'évoque pas le matériel que vous et vos complices du cabinet de l'époque (Dominique, Vovo et Gorges) avez fait disparaître (appareils photos, caméras,pc...)


Vous devriez avoir honte ! Car si l'UDPS est dans la situation de crise actuelle c'est d'abord et avant tout à vous que nous le devons. Aveuglé par votre haine envers M. Valentin Mubake, vous aviez réussi à trouver un alter ego, qui lui, pour des raisons de complexes d'infériorité (sa défaite cuisante face au même Mubake en 2005, à l'occasion d'élections du Bureau du Comité National) vous a rejoint dans cette « bitshikila tuboya » (politique de la terre brûlée) impitoyable, aidés en cela, par le fameux Me Mukendi qui, sous ses airs de Bouddha, cache en réalité un véritable poison prêt à tout pour assouvir ses nombreux besoins, à la dimension de son embonpoint. Dans un article intitulé : PREMIER CONGRES DE L'UDPS : CE QU'IL FAUT SAVOIR publié le lundi 25/05/2009 sur UDPSonline (site par excellence de la propagande Beltchikiste et de son futur nouveau Parti), vous écriviez, je cite : Le Président a bel et bien accepté et apprécié les travaux du Congrès qu'il a, d'ailleurs lui-même, qualifié de véritable Congrès du peuple. Fin de citation. Permettez-moi de dire encore que vous êtes un menteur. Lorsque Monseigneur Mulumba a parlé au PN des documents qui lui ont été remis par monsieur Beltchika au Centre Nganda, le PN lui a bonnement répondu que les canaux officiels pour lui transmettre les documents existent et sont connus de Beltchika et qu'il fallait les utiliser. Donc le PN n'a pas reçu vos documents et ceux-ci se trouvent bien dans les mains de son Assistant qui a reçu les instructions de les renvoyer à l'expéditeur.


Monsieur Aka le Faussaire, après avoir foulé aux pieds l'honneur de la famille du PN, et « dénoncé » la prétendue immixtion de celle-ci dans les affaires du parti, vous recourez à un membre de cette même famille pour transmettre les conclusions de votre messe noire ? Qu'est devenue l'immixtion chère à votre propagandiste Kabeya Nkashama ? Ou alors, devrions-nous comprendre qu'un membre de la famille du PN n'est « bon » que lorsqu'il a été manipulé par votre gourou ? En effet, il faut que l'opinion sache que F-X Beltchika, le maître à penser de votre organisation, a presque harcelé Mgr Mulumba, midi et soir à Mweka pour savoir à quelle date il voyagerait pour Bruxelles. Le hasard aidant, celui-ci avait prévu son voyage pour fin avril. C'est ainsi qu'à son arrivée à Kinshasa Beltchika l'a de nouveau assiégé pendant plus de 2 heures pour lui parler du bien fondé de son congrès. N'étant pas au courant de ce qui se passait, il a cru au discours mielleux du Roi de l'ex COC et a accepté d'amener ces documents. Arrivé à Bruxelles, la propagande de l'ex COC l'a suivi jusqu'ici. En fait, le gourou avait ordonné à un de ses complices, abbé de surcroît, et qui avait aussi assisté à la messe noire de Righini, de poursuivre ce harcèlement à Bruxelles. Tout cela a été anéanti, l'évêque étant aujourd'hui, édifié. D'où je vous demanderais d'aller jouer ailleurs.


Enfin, M. le Faussaire, pensez-vous que c'est à vous et à votre président de décréter qui fréquenter ou ne pas fréquenter dans la famille du PN ? Pensez-vous que vous aimez le PN plus que ne peut l'aimer sa propre famille, elle qui a traversé avec lui les pires épreuves de sa vie ? Pensez-vous qu'en insultant publiquement Mme Tshisekedi et son fils Félix comme vous l'avez fait dernièrement dans votre « lettre ouverte » (faussement attribuée à un groupe fantôme du Katanga) que vous entamerez leur détermination à faire triompher la vérité et à démasquer votre complot ? Non monsieur, ces actes vous ridiculisent encore plus et montrent combien vous êtes incapables d'assumer votre perfidie. Le PN reprendra sa place active à la tête du parti, ne vous en déplaise, et vous serez confondus. Votre vraie nature sera dévoilée et vos épouses et vos enfants auront même honte de porter votre nom. Vous récolterez l'opprobre de tout notre peuple à qui vous avez fait croire en un faux congrès pour les uns, et que vous avez trahi, pour les autres, et ça en sera fini pour vous. Il ne vous restera qu'une seule chose : c'est de créer votre parti. Chose que je vous recommande vivement.

JEAN MUNTUABU

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JACQUES MATANDA: A la bienveillante attention de
Mr Jean Muntuabu « Membre de la belle famille » du Président national de l'UDPS
et de Mr Alexis Mutanda, Haut Cadre de l'UDPS,

Mon très cher Monsieur Jean Muntuabu,
Membre de la « belle famille » du Président National de l'UDPS
et aussi « Beau-frère » de Mr Alexis Mutanda, Haut cadre de l'UDPS


Concerne :
Mes avis et considérations consécutifs aux traitements injurieux que vous réservez à ma personne dans la Communication politique que vous avez distribuée sur le réseau internet dans le cadre de votre lettre adressée au 1er Vice-Président honoraire du 1er Congrès souverain de l'UDPS,

O LUKAKA MAKAMBO … YO JEAN MUNTUABO O KO ZUA MAKAMBO ATA NDELE!


Le Processus de libération et démocratisation dans notre pays ne peut évoluer et aboutir à sa pleine réussite sans un débat libre, transparent et démocratique pour le plus grand essor de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social en République Démocratique du Congo : voilà pourquoi j'apprécie l'initiative de votre Communication qui m'offre une excellente opportunité de faire une mise au point.
En attendant la Décision 0000 a prendre par vous, leurs Excellences de la nouvelle Instance politique dirigeante « Belle famille » s'apprêtant à rendre publique la désignation de Monsieur Alexis Mutanda au poste de Président national de l'UDPS conformément aux prérogatives que vous vous êtes arrogées,- vous, les Jean Muntuabo, Raphaël Kashala et vos nombreux acolytes opérant sous les ordres de votre Patron de Beau-frère Alexis Mutanda et vos mentors congolais et étrangers de la multinationale étrangère (très sincères remerciements au très cher « beau-fils » Bona … pour la masse d'informations fournies),
Je viens de prendre connaissance de la Communication que vous avez adressée à Monsieur Aka Mantsia, ancien Vice-Président de la Commission chargée de l'Organisation du Congrès Souverain de l'UDPS,- convoqué par le Président national de l'UDPS, le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba.


J'aimerais partager avec vous ma plus grande admiration pour votre courage politique et aussi ma plus grande joie à faire la découverte des informations contenues dans la Communication que vous-même, Monsieur Jean Muntuabo et vos mentors, une bande de lâches et criminels, rédacteurs du document en question paru sous votre signature !


Vos mentors auraient dû avoir tout au moins le courage d'opérer a découvert. En tout état de cause, cette bande de lâches et vous-même, Monsieur Jean Muntuabo avez très bien fait de mettre vos points de vue sur le réseau internet.


Bien que ces débats sont limites a l'infime poignée d'individus qui ont accès à ce réseau, j'apprécie au plus haut niveau cet exercice qui constitue notre apprentissage de la démocratie. Aussi, aimerais-je qu'à compter de ce jour, vous m'accordiez de vous suivre dans le très bel exemple que vous venez de me donner dans le cadre de la recherche de la Vérité sur cet extraordinaire processus politique de clarification en cours au sein de notre Parti, l'UDPS.

Cher Monsieur Jean Muntuabu, Membre de la « belle famille » du Président National de l'UDPS et aussi « Beau-frère » de Monsieur Alexis Mutanda, Haut cadre de l'UDPS,


Pour une meilleure intelligence des uns et des autres sur ce qui sera la philosophie générale de mes prises de position futures par rapport à vous, Monsieur Jean Muntuabo, Membre de « la belle famille », et vos mentors rédacteurs du document en question paru sous votre signature,- je voudrais partager avec vous la «relecture» de vos propos sur ma personne. En effet, vous écrivez ceci dans votre Communication adressée a Mr Aka Mantsia :


« … En effet, vous avez introduit à l'UDPS la culture de l'usage du faux et de faux en écritures, du trafic d'influence, de la manipulation, du clientélisme et de la corruption. Cela est d'autant plus grave que vous agissiez ainsi dans l'entourage immédiat du PN et au nom de ce dernier, profitant de son indisponibilité et du fait qu'il a toujours, de coutume, accordé une totale confiance en ses proches collaborateurs. Les attestations fantaisistes délivrées au nom du PN, en faveur des demandeurs d'asile congolais vivant à l'étranger, les actes de nomination de certains cadres du parti (le cas du mythomane Matanda Jacques illustre bien mon propos) »


« Le cas du mythomane Matanda Jacques » avez-vous écrit,- outre le fait qu'agissant en votre qualité de « Membre de la belle famille », vous poussez votre outrecuidance au point de faire entendre que le Président national de l'UDPS, le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba ne serait pas l'auteur de la décision politique portant sur ma désignation au poste du Représentant de l'UDPS auprès de l'Administration américaine et auprès de l'Organisation des Nations-Unies !


Le jour ou vous, Jean Muntuabo et vos mentors-rédacteurs prendrez connaissance des faits politiques constitutifs de ma modeste contribution à la lutte dont vous parlez aujourd'hui en qualité de Membres de la belle famille,- votre connaissance de la langue française vous contraindra à modifier l'énonce de vos phrases du genre « Le cas du mythomane Matanda Jacques » : cette phrase est la preuve de votre ignorance et de votre absence totale sur le terrain de la lutte que mène notre Peuple.


A ce stade, je voudrais me limiter a faire savoir que, sans fausse modestie,- et sans crainte d'être valablement contredit, j'ose affirmer haut et fort, ce qui suit : Moi, Jacques Matanda ma-Mboyo Kudia Kubanza, je suis l'un de deux seules personnalités politiques congolaises, Membres de l'UDPS, à avoir servi loyalement et fidèlement sans jamais se céder aux offres les plus attrayantes et sans jamais trahir la cause nationale et l'idéal du Peuple congolais pour lequel le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba a fait le don des 27 dernières années de sa vie et de son leadership politique.


Vous le savez aussi bien que moi : prenant en compte le Capital politique qui fut mien, je serai aujourd'hui « riche » en millions de dollars,- si j'avais, tant soit peu, consenti à faire comme « tout le monde » a eu a faire. J'aurais moi aussi pu consentir à trahir le leadership politique du Président Étienne Tshisekedi wa Mulumba pour me faire l'un des artisans du Système de gouvernement kleptomane, génocidaire et terroriste en place dans notre pays. J'aurais pu moi aussi avoir ma part du butin provenant des subventions du Parti socialiste belge et de ses Ministres.


Du reste, je demeure encore et toujours convaincu que le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba saura toujours faire la part de choses et apprécier : ma lutte politique est un apostolat sans aucune … aucune commune mesure avec une désignation au poste de Représentant du Parti aux USA !


Mon très cher Monsieur Jean Muntuabu, Membre de la « belle famille » du Président National de l'UDPSet aussi « Beau-frère » de Mr Alexis Mutanda, Haut cadre de l'UDPS


A l'instar de votre beau-frère, Alexis Mutanda, vous Jean Muntuabo, vous auriez fait le choix de trahir le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba si l'occasion vous avait été offerte. J'imagine que vous avez toujours en mémoire les détournements ou ponctions (vols) qui vous aviez l'habitude d'opérer à Kinshasa, sur les petites sommes d'argent que vous confiait le Président national pour l'aider à des petites opérations financières.


Puisqu'on dit : QUI VOLE UN OEUF, VOLE UN BOEUF,- vos larcins à Limite sont les seuls et uniques souvenirs que je garde de vous, Jean Muntuabo, très cher Membre de la belle famille de Mr Alexis Mutanda :


Ceci dit, j'en suis à me poser la question de savoir si, en âme et conscience, le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba aurait jamais pu apposer sa signature au bas d'un document politique portant désignation de Jean Muntuabo au poste de Représentant de l'UDPS auprès de l'Administration américaine et auprès de l'Organisation des Nations-Unies !


Sans disposer d'une quelconque adhésion populaire dans votre fief politique de base au Kasai-oriental et encore moins dans la ville de Kinshasa, Capitale nationale,- vous de la belle famille de Alexis Mutanda êtes en train de jouer avec le feu en tentant de faire main basse sur le Patrimoine politique national que sont l'UDPS et le leadership politique du Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba : seul le processus politique de clarification en cours vous aidera à sortir de votre état de somnolence. Votre réveil risque d'être des plus atroces si vous ne revenez à la raison en faisant le choix d'anticiper.


Vous, Jean Muntuabo et votre beau-frère Alexis Mutanda tentez de vous servir du martyr consenti par le Peuple de l'UDPS comme une baguette magique devant vous assurer votre participation au partage du « Gateau-Pouvoir de l'État congolais » seul moyen pour justifier les « dons » en nature et en argent reçus de la multinationale des extrémistes génocidaires opérant dans notre pays.


Tirant abusivement profit de votre qualité de « Membre de la belle famille » du Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba et aussi de son bourreau, votre actuel bienfaiteur Alexis Mutanda,- vous, Jean Muntuabu et consorts, vous versez mains et pieds lies dans la criminalité politique. Si l'on n'y prend garde, vous réussirez les exploits criminels que ni Joseph Désiré Mobutu, ni Laurent Désiré Kabila ni Hypolitte Kanambe alias Joseph Kabila n'avait jamais réussi. Vous êtes en train de jouer avec le feu !


Sans aller trop dans les détails du moins à ce stade de mon intervention,- je voudrais que vous, « Membre de la famille », Jean Muntuabu, vous cessiez de transposer au niveau politique national congolais votre haine et votre intégrisme ethniciste contre un individu « Monsieur François-Xavier Beltchika » et contre l'ethnie dont est issu ce dernier, à savoir l'ethnie « Bakwa Kalondji. »


A Mbuji-Mayi et sur toute l'étendue de la Province martyre du Kasai-oriental … à Kinshasa … et dans chacune des Provinces congolaises,- personne …. absolument personne ne sera à vos cotés pour apporter sa caution au complot de votre « Bande de quatre » . Alexis Mutanda et vous, Jean Muntuabo, avez-vous lu l'un et l'autre ouvrage relatant ce qu'il en était advenu de la « Bande de quatre » de l'époque de Mao Tse Toung !

Mon très cher Monsieur Jean Muntuabu,
Membre de la « belle famille » du Président National de l'UDPS
et aussi « Beau-frère » de Mr Alexis Mutanda, Haut cadre de l'UDPS


A l'instar de Patrice Emery Lumumba que l'Histoire désigne comme l'élu du Peuple congolais dans la Province Orientale,- le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba, l'élu du Peuple congolais dans la Kabinda a toujours combattu le genre de déviationnisme ethniciste et ségrégationniste que vous Jean Muntuabo et Alexis Mutanda et votre Belle famille êtes en train de mettre en œuvre au chevet du Président national de l'UDPS convalescent.


Oui.- Tshikas a été et demeure l'adepte et le Martyr de la vraie Unité nationale congolaise. L'Union nationale vraie et de libre adhésion. Tshikas n'est pas l'Homme de ce semblant d'union nationale des esclavagistes criminels de triste mémoire » !


Errare humanum est,- sed perseverare diabolicum : oui, si vous, « la belle famille » vous vous entêtez, le Peuple congolais vous réservera un sort identique à celui que le Peuple chinois avait en son temps réservé à la « Bande de quatre » : cessez … cessez … cessez vos obstructions consistant à vous constituer en obstacle et point de rupture entre le Peuple congolais et son Leader maximo, le Docteur Étienne Tshisekedi wa Mulumba.


Mon très cher Monsieur Jean Muntuabu, Membre de la « belle famille du Président National de l'UDPS et aussi « Beau-frère » de Mr Alexis Mutanda, Haut cadre de l'UDPS,- d'autres devoirs m'appellent … Je vais suspendre ici et vous laisser à vos autres ouvrages … !


A suivre …
A très bientôt.

Jacques Matanda ma-Mboyo Kudia Kubanza

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PREMIER CONGRES DE L'UDPS.

CE QU'IL FAUT SAVOIR.

Souhaité et convoqué par le Président National, le Premier Congrès de l'UDPS a été organisé avec succès pendant 20 mois, du 28 juin 2OO7 au 21 avril 2009.

Les travaux du Congrès ont connu trois temps importants à savoir : le temps de la Commission préparatoire(septembre2007),le temps du Comité Organisateur(du 28 Octobre2007au 15Avril 2009) le temps de la tenue proprement dite du congrès (du 15 au 21 avril 2009).

I. IMPORTANCE DE LA PARTICIPATION

Le Congrès a réuni 888 délégués avec mandat validé. Les organes centraux du Parti, 40 Fédérations de l'intérieur et 5 Fédérations de l'extérieur sur un total de 52, y ont été représentés. Des invités, au nombre de 26, sont venus représenter des partis politiques et des associations du pays principalement.

Les Partis frères et amis de l'extérieur invités au Congrès n'ont pu faire le déplacement pour diverses raisons : i) changement en février 2009 de la date des assises, dans l'espoir de voir revenir le Président National ; ii) délai très court laissé à nos partenaires extérieurs pour préparer leur participation ; iii) agendas chargés pour les uns et les autres de nos partenaires; et iv) campagne de désinformation menée à l'extérieur par les cadres de l'UDPS farouchement opposés à la tenue du 1er Congrès.

Les représentations diplomatiques invitées n'ont pu venir, à cause du changement brusque du lieu du Congrès, et sans doute à cause de la menace que la police faisait peser sur la sécurité des participants. À ce sujet, le COC a présenté ses profonds regrets à l'Ambassadeur de l'Union Européenne et à celui de la Confédération Helvétique ; il a sollicité et obtenu, en faveur des participants, la protection discrète d'un détachement des casques bleus de la MONUC. 2 I. DÉROULEMENT DES TRAVAUX

Les travaux du Congrès se sont déroulés sans incident, dans l'unité et l'euphorie des délégués, mais sur fond d'un profond regret partagé pour l'absence du Président National empêché.

Les assises ont été ouvertes et clôturées par l'honorable Bernard NKWEDI LUSIELO, président de séance du Collège des Fondateurs et membre du Directoire National.

Sur la base des diverses instructions et notes d'orientation du Président National, le Président du Comité Organisateur du 1er Congrès, BELTCHIKA KALUBYE François-Xavier, a lu aux Congressistes, au nom et à la place du Président National empêché, le texte du projet du discours d'orientation que le COC avait déjà pris soin d'envoyer au Président National lui-même pour approbation.

C'est à la suite de ce discours, très écouté et entrecoupé d'ovations, que les différentes délégations des congressistes et des invités ont adressé leurs messages au Congrès.

Les travaux ont été dirigés par un bureau provisoire que présidait M. Albert MFWAMBA, membre d'honneur et doyen d'âge, à la tête d'une équipe de 5 membres. Ce bureau a accompli trois tâches : i) désigner la Commission de vérification et de validation des mandats, ii) faire valider les mandats des délégués, et iii) faire élire le bureau définitif du Congrès.

Le bureau définitif du Congrès a été élu par la plénière dans la compétition démocratique. Il a été composé de 7 membres conformément aux Statuts. Érigé avec un souci réel de représentativité, il a été présidé par le Pr KABEYA TSHIKUKU Léonard, membre du Comité National.

Sous la direction du bureau définitif, le Congrès a accompli les tâches ci-après : i) adoption du programme du Congrès ; ii) adoption du Règlement Intérieur du Congrès ; iii) constitution des Commissions et des Sous-Commissions du Congrès et élection de leurs bureaux respectifs ; iv) audition et approbation du rapport moral et de gestion du COC ; v) présentation en plénière des travaux des Commissions et des Sous-Commissions ; vi) adoption des Statuts, Projet de Société, Actes, Décisions, Résolutions et Recommandations du Congrès ; vii) lecture et adoption du Rapport Général du 1er Congrès ; viii) audition de l'adresse finale du bureau à la plénière du Congrès ; et ix) audition du mot de clôture officielle du 1er Congrès. 3

III. PRINCIPAUX RÉSULTATS DU 1er CONGRÈS DE L'UDPS

L'ensemble des résultats du 1er Congrès de l'UDPS seront rendus publics incessamment sous la signature du Président National. Mais exécutoires après adoption par la plénière sous la signature du Président et du Rapporteur Général du Bureau définitif du 1er Congrès.

Un rapport synthétique a été envoyé, sous pli, au Président National pour son information en vue de la publication.

Ci-après les principaux résultats :

1. M. Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA a été plébiscité Président National de l'UDPS à quatre moments distincts : i) dans les 28 messages abondamment ovationnés des diverses délégations, ii) à l'occasion de l'adoption du texte des nouveaux Statuts de l'UDPS, iii) par un vote formel unanime des délégués, aussitôt que les mandats de ceux-ci étaient validés ; et iv) dans les poèmes, cantiques et chansons marquant la cérémonie de clôture du 1er Congrès. Ce mandat court jusqu'au 1er Congrès Ordinaire du Parti.

Le Président National est, de droit, Président du Bureau du Conseil National, organe d'inspiration, d'orientation et de décision du Parti.

2. Dans les dispositions finales des nouveaux Statuts adoptés au 1er Congrès, la plénière a, à l'unanimité et debout, octroyé un statut spécial à la personne d'Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA, faisant d'elle un organe statutaire à part entière. Cette position demeure exceptionnelle. Elle lui est conférée en reconnaissance de son courage exemplaire, de son rôle crucial et de sa position centrale dans le combat du peuple congolais en faveur de sa liberté, sa dignité et son progrès confisqués.

3. Par un vote unanime, les Décisions du 1er Congrès sont déclarés opposables à tous les membres du Parti, de stricte application à compter du jour de leur adoption, et à rendre publiques sous la signature du Président National.

4. Le 1er Congrès a décidé que le Parti participe à l'enrôlement et aux élections municipales de 2010, ainsi qu'aux élections législatives, sénatoriales et présidentielles de 2011.

5. Le 1er Congrès a plébiscité Étienne TSHISEKEDI wa MULUMBA comme le seul et l'unique candidat de l'UDPS aux élections présidentielles de 2011.

6. Le 1er Congrès a restructuré les organes du Parti comme suit (dans leur ordre de préséance) : i) le Congrès, ii) le Président National, iii) le Conseil National, et iv) le Comité Exécutif National.

À ce sujet, il convient de noter quatre observations : i) le Congrès est un Organe suprême qui est au dessus de tous les autres organes , ses décisions son obligatoires et opposables à tous les membres du Parti qui qu'il soit.

ii)2ème organe a été créé intuitu personae. Les congressistes ont ainsi décidé, souverainement et à l'unanimité, de renouveler la confiance et la reconnaissance du Parti au héros du combat en faveur

de la liberté, la dignité et le progrès ; iii) les prérogatives exceptionnelles reconnues à cet organe exceptionnel sont précisées dans les dispositions transitoires et finales des nouveaux Statuts ; iv) de nos honorables Fondateurs, le Congrès a également salué l'engagement, la bravoure, la fidélité le rôle irremplaçable dans notre lutte ; à leur rôle traditionnel d'autorité morale et de garde-fou, il a été ajouté celui de membres de droit du Bureau du Conseil National, organe d'inspiration, d'orientation et de décision du Parti. Une disposition finale et transitoire des Statuts définit cette prérogative.

7. Le 1er Congrès a regretté et condamné le laxisme, la paresse, le subjectivisme, l'irresponsabilité et l'indiscipline dans les rangs de l'UDPS. Les délégués ont vu dans ces défauts les principaux maux qui minent l'efficacité, la crédibilité et les fondements du Parti.

Désormais, le Congrès a renforcé et généralisé le principe et l'obligation de la discipline collective et de la sanction. Cette rigueur doit être affirmée et soulignée aussi bien dans le Règlement Intérieur du Parti, dans le barème des sanctions que dans le mandat explicite de la Commission d'arbitrage et de contrôle du Parti (fonctionnant au sein du Conseil National).

8. Pendant la période séparant la clôture du 1er Congrès et la mise en place des nouveaux organes statutaires, le Parti ne pouvait flotter dans le vide, le Président National étant loin du pays.

Le 1er Congrès a, à ce sujet, pris une décision : la décision chargeant le COC, dans sa structure et sa composition fixées par la Décision 068/UDPS/PN/07 et la Décision 069/UDPS/08, d'assurer l'intérim du Comité Exécutif National, et ce jusqu'à la mise sur pied de ce dernier organe (60 jours au maximum, à dater de la clôture du 1er Congrès).

9. La mise en place des organes devant commencer par le Conseil National, le 1er Congrès a, en vertu des dispositions transitoires reprises aux nouveaux Statuts, élu le Secrétaire Permanent et le Secrétaire Permanent Adjoint du Conseil National, ainsi que 273 membres de cet organe au-delà des 5 membres Fondateurs.

Près du tiers restant des membres de cet organe seront cooptés plus tard, sur des listes attendues des Fédérations dans 30 jours à dater de la clôture des travaux du 1er Congrès.

IV. TÂCHES ATTENDUES DU PRÉSIDENT NATIONAL

Dans la mise en place des organes du Parti ainsi refondé, il existe des tâches qui correspondent aux attributions spécifiques du Président National.

Il rend publics, dans les 30 jours suivant leur réception, les documents suivants :

i) les textes des Statuts et du Projet de Société ;

ii) les Actes, Décisions, Recommandations et Résolutions du 1er Congrès ;

iii) les listes des membres du Conseil National.

Il s'agit également de :

i) convoquer une session extraordinaire du Conseil National, avec pour ordre du jour la mise en place des nouveaux organes du Parti,

ii) désigner le candidat Secrétaire Exécutif National,

iii) solliciter l'avis conforme du Conseil National en session et, le cas échéant,

iv) nommer le Secrétaire Exécutif National ;

v) signer et rendre publique la composition du Comité Exécutif National, telle qu'elle aura été approuvée par le Conseil National en session extraordinaire.

V. ANALYSE CRITIQUE SUR LA DÉMARCHE DE LA BANDE A MUTANDA ET CONSORT.

i. Volonté manifeste de faire échec à la tenue du Congrès

Depuis le début des travaux du Congrès la bande à Mutanda s'est ralliée avec le pouvoir pour empêcher l'UDPS de tenir son Congrès , beaucoup des faits l'attestent notamment :

- La campagne mensongère et politicienne menée sans scrupule contre le COC , laquelle campagne avait fini par avoir raison du Président National, jusqu'à l'emmener à prendre une Cyrielle des décisions aussi confuses que contradictoires 076,078,079,080,081 ,082et 083.

Aujourd'hui, suite à ce Cyrielle des décisions mal inspirées, mal conçues et mal agencées, l'autorité du Président National est écorchée, et l'ampleur de la crise au sein du Parti généralisée, beaucoup des cadres ont laissé tomber les bras depuis lors exprimant leur désarroi, leur découragement sur la marche et l'avenir du Parti. Malgré tout, et contre vents et marais , avec la détermination et la volonté inébranlable des combattants le Congrès s'est tenu.

- Des lettres mensongères à nos partenaires pour les décourager et les contraindre à ne pas aider financièrement et matériellement le COC à réaliser le Congrès.

ii. Manœuvres sordides du pouvoir avec ses collabos(la bande à Mutanda)

Le 15 avril , jour de l'ouverture des travaux du Congrès, le pouvoir et ses collabos ont tout fait pour empêcher l'UDPS à tenir son Congrès. Les combattantes et combattants ainsi que les invités ont été chassés du Parc de Boock où devaient se dérouler lesdits travaux.

iii. Raisons qui expliquent le comportement du pouvoir et ses collabos.

Comme pendant la période de la transition lors du processus électoral, grâce au service appréciable de ses collabos au sein du parti, le pouvoir de l'époque avait réussit à écarter l'UDPS du processus électoral pour assurer la victoire de Kabila et lui garantir d'une majorité parlementaire confortable. Kabila a été élu faute d'un concurrent de poids à l'instar du Président Tshisekedi, et le parlement bénéficie d'une majorité confortable avec une opposition très corrompues et très affaiblie ; tout cela parce que l'UDPS a été écartée.

Aujourd'hui comme l'histoire se répète, le pouvoir affaibli déjà par la situation sociale, et économique catastrophique, voit en l'UDPS requinquée par les résultats du 1er Congrès un danger réel. Plus grave encore, les décisions et recommandations prises par les congressistes, comme la décision de s'enrôler et celle de participer aux élections locales de 2010 et législative de 2011, présagent un bon départ politique pour l'UDPS .

Ainsi, le pouvoir, se servant encore une fois de plus de ses collabos au sein du parti, a mis en circulation des billets de banques en vue de gêner toute action de l'UDPS .

N'ayant pas réussit à empêcher le COC à organiser son Congrès, malgré tous les obstacles mis sur le chemin de la tenue du congrès, le congrès du peuple a eu quand même lieu , le pouvoir multiplie toutes les stratégies pour discréditer et affaiblir UDPS et au besoin l'empêcher d'aller aux élections ou au pire la dissoudre. Il a créé au sein du parti des intervenants du genre de Mutanda, Muleka pour diffuser des informations confuses, mensongères et contradictoires comme ce fut le cas avec Mubake lors des élections de 2006.

iv. Le renvoi des travaux du Congrès par le Président national.

Il s'agit d'un mensonge grossier pour créer un doute dans les combattants et dans le peuple qui croient en l'UDPS.

- D'abord du point de vue administratif, cela ne s'explique pas étant donné que le porteur du courrier chez le Président n'est pas encore de retour pour confirmer les propos de Moleka,il s'agit d'un Mgr., et il est difficilement acceptable que le Président puisse se servir d'un autre canal pour renvoyer les documents ;

- Le président ne peut pas renvoyer les documents sans une note explicative sur les raisons de renvoi , lors de son exposé Moleka n'a pas exhibé cette lettre, il s'agit invraisemblablement des documents chipés et photocopiés par le cordon qui est auprès du Président pour jouer cette comédie, déjà nous étions informés de ce renvoi depuis le début du mois de mai cela veut dire que la stratégie était bien monté aussitôt que la bande a eu vent de l'expédition des documents chez le Président à Bruxelles ;

- Les collabos ont justement attendu l'annonce de préparatifs sur l'installation officielle et solennelle du Conseil National qui était prévue pour le 23 mai pour jouer leur pièce de théâtre en même temps que le pouvoir qui, en réponse à notre demande lui adressée depuis le 6 mai d'organiser cette manifestation au Parc de Boock, nous exprime son refus ce même 22 mai prétextant les raisons sécuritaires ;


  • Il s'agit là, la manière la plus honteuse de ridiculiser le PN en le présentant pour un confusionniste et un faux démocrate aux allures d'un dictateur qui refuse la volonté de la majorité, si tel est le cas cela veut dire que le Président a refusé le plébiscite des congressistes le nommant Président du Parti et unique candidat aux élections présidentielles de 2011, peut on vraiment croire à ce montage grossier ? Tshisekedi n'a jamais désavoué ni agit de la sorte, c'est mal le connaître ou alors c'est un autre Étienne Tshisekedi ;

v. LA VÉRITÉ EST AILLEURS.

Le Président a bel et bien accepté et apprécié les travaux du Congrès qu'il a, d'ailleurs lui-même, qualifié de véritable Congrès du peuple.

En effet, les explications de Mgr.sur les travaux du congrès et la détermination des délégués au Congrès qui ont bravé tous les obstacles jusqu'à dormir à la belle étoile, ont émerveillé et réconforté le Président National. Que ceux qui doutent, ils n'ont qu'attendre le retour d'ici la fin du mois de Mgr. et peut être avec le Président lui-même, car la vérité est têtue, beaucoup des partisans du mensonge et leurs apôtres s'en prendront à eux-mêmes.

Fait à Kinshasa, le 23/05/2009.

AKA MANTSIA

Directeur Honoraire du Président National et 2ème Vice Président du COC.





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